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Auteur Elena LESPES MUÑOS
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Affiner la recherche Interroger des sources externesJournal d'exposition BS — n°33 : JUDITH HOPF, ÉNERGIES / Elena LESPES MUÑOS ; Emilie RENARD ; François AUBART ; Louise JABLONOWSKA ; Louise LEDOUR ; Xavier FRANCESCHI ; Judith HOPF
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Titre : Journal d'exposition BS — n°33 : JUDITH HOPF, ÉNERGIES Type de document : texte imprimé Auteurs : Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François AUBART, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Louise JABLONOWSKA, Traducteur ; Louise LEDOUR, Traducteur ; Xavier FRANCESCHI, Auteur ; Judith HOPF, Personne interviewée Editeur : Paris [France] : Bétonsalon Année de publication : 2022 Importance : 60 p. Présentation : ill. N&B Format : 15,5 x 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 7102 Prix : Gratuit Note générale : JUDITH HOPF, ÉNERGIES
Exposition du 22 septembre au 11 décembre 2022 à Bétonsalon et au Plateau, Frac Île-de-France, Paris
Commissariat: François Aubart, Xavier Franceschi, Émilie Renard
Bétonsalon s’associe avec Le Plateau, Frac Île-de-France pour accueillir une exposition en deux volets de Judith Hopf.

Depuis les années 2000, l’artiste allemande réalise des sculptures et des films alimentés par des réflexions sur les relations que les êtres humains entretiennent avec la technologie. Pour cette première exposition monographique en France, Judith Hopf réunit des œuvres existantes et inédites. Certaines se font en écho d’une exposition à l’autre. Son titre, Énergies, désigne ce qui alimente chacun de nos appareils électriques au quotidien, envisagé depuis un point de vue technique comme philosophique.
Alors qu’au Plateau, les œuvres tournent autour de la transformation du paysage en source d’énergie, c’est plutôt de sa consommation dont il est question à Bétonsalon. Une sculpture créée pour l’occasion représente un éclair, une explosion naturelle qui rappelle l’origine de l’électricité, sa puissance comme son danger. Son exploitation est au cœur d’Énergies où sculptures et films évoquent un monde dépendant d’une électricité consommée sans considération pour ses conditions de production. On y découvre ainsi les Phone Users, des figures humaines occupées à regarder leurs téléphones. Absorbées dans la contemplation de leurs écrans, elles semblent coupées de leur environnement immédiat qui est composé de sculptures d’épluchures de pommes surdimensionnées.
L’œuvre de Judith Hopf est pleine des paradoxes qui tapissent notre quotidien et qu’elle fait apparaitre dans toute leur étrangeté. Les nombreux retournements et déplacements qu’elle met en jeu dans son œuvre, en représentant des scènes si familières qu’elles en deviennent insolites voire sarcastiques, sont autant d’invitations à penser des alternatives, à voir autrement plutôt qu’à consommer toujours plus et plus vite.
D’ailleurs Énergies n’est pas sans rappeler qu’en cette période de communication par visioconférence, il en faut de grandes quantités, électriques et humaines, pour monter des expositions. Les Phone Users en sont la métaphore, à supposer qu’ils cherchent à se joindre entre les deux expositions, et qu’ils tentent de communiquer jusqu’à s’annoncer les uns aux autres : « Y’a plus de réseau. »
Cette exposition en deux volets est coproduite avec Le Plateau, Frac Île-de-France et reçoit le soutien de l’Institut für Auslandsbeziehungen, ainsi que des galeries Deborah Schamoni, Munich et kaufmann repetto, Milan et New York.Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, humain, outils, production, consommation, sculptures, films, situation, technologie, fétichisme, capitalisme, matériaux, carton, hybride Note de contenu :
SOMMAIRE :
7 Avis de tempête
FRANÇOIS AUBART, XAVIER FRANCESCHI, ÉMILIE RENARD
13 Inversion des énergies
ENTRETIEN AVEC JUDITH HOPF PAR FRANÇOIS AUBART, XAVIER FRANCESCHI ET ÉMILIE RENARD
22 Notices
FRANÇOIS AUBART, ELENA LESPES MUÑOZ, ÉMILIE RENARDEn ligne : https://betonsalon.net/IMG/pdf/bs_no33_journal_d_exposition_e_nergies_judoth_hop [...] Journal d'exposition BS — n°33 : JUDITH HOPF, ÉNERGIES [texte imprimé] / Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François AUBART, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Louise JABLONOWSKA, Traducteur ; Louise LEDOUR, Traducteur ; Xavier FRANCESCHI, Auteur ; Judith HOPF, Personne interviewée . - Paris (9 esplanade Pierre Vidal-Naquet, 75013, France) : Bétonsalon, 2022 . - 60 p. : ill. N&B ; 15,5 x 24 cm.
ISSN : 7102 : Gratuit
JUDITH HOPF, ÉNERGIES
Exposition du 22 septembre au 11 décembre 2022 à Bétonsalon et au Plateau, Frac Île-de-France, Paris
Commissariat: François Aubart, Xavier Franceschi, Émilie Renard
Bétonsalon s’associe avec Le Plateau, Frac Île-de-France pour accueillir une exposition en deux volets de Judith Hopf.

Depuis les années 2000, l’artiste allemande réalise des sculptures et des films alimentés par des réflexions sur les relations que les êtres humains entretiennent avec la technologie. Pour cette première exposition monographique en France, Judith Hopf réunit des œuvres existantes et inédites. Certaines se font en écho d’une exposition à l’autre. Son titre, Énergies, désigne ce qui alimente chacun de nos appareils électriques au quotidien, envisagé depuis un point de vue technique comme philosophique.
Alors qu’au Plateau, les œuvres tournent autour de la transformation du paysage en source d’énergie, c’est plutôt de sa consommation dont il est question à Bétonsalon. Une sculpture créée pour l’occasion représente un éclair, une explosion naturelle qui rappelle l’origine de l’électricité, sa puissance comme son danger. Son exploitation est au cœur d’Énergies où sculptures et films évoquent un monde dépendant d’une électricité consommée sans considération pour ses conditions de production. On y découvre ainsi les Phone Users, des figures humaines occupées à regarder leurs téléphones. Absorbées dans la contemplation de leurs écrans, elles semblent coupées de leur environnement immédiat qui est composé de sculptures d’épluchures de pommes surdimensionnées.
L’œuvre de Judith Hopf est pleine des paradoxes qui tapissent notre quotidien et qu’elle fait apparaitre dans toute leur étrangeté. Les nombreux retournements et déplacements qu’elle met en jeu dans son œuvre, en représentant des scènes si familières qu’elles en deviennent insolites voire sarcastiques, sont autant d’invitations à penser des alternatives, à voir autrement plutôt qu’à consommer toujours plus et plus vite.
D’ailleurs Énergies n’est pas sans rappeler qu’en cette période de communication par visioconférence, il en faut de grandes quantités, électriques et humaines, pour monter des expositions. Les Phone Users en sont la métaphore, à supposer qu’ils cherchent à se joindre entre les deux expositions, et qu’ils tentent de communiquer jusqu’à s’annoncer les uns aux autres : « Y’a plus de réseau. »
Cette exposition en deux volets est coproduite avec Le Plateau, Frac Île-de-France et reçoit le soutien de l’Institut für Auslandsbeziehungen, ainsi que des galeries Deborah Schamoni, Munich et kaufmann repetto, Milan et New York.
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, humain, outils, production, consommation, sculptures, films, situation, technologie, fétichisme, capitalisme, matériaux, carton, hybride Note de contenu :
SOMMAIRE :
7 Avis de tempête
FRANÇOIS AUBART, XAVIER FRANCESCHI, ÉMILIE RENARD
13 Inversion des énergies
ENTRETIEN AVEC JUDITH HOPF PAR FRANÇOIS AUBART, XAVIER FRANCESCHI ET ÉMILIE RENARD
22 Notices
FRANÇOIS AUBART, ELENA LESPES MUÑOZ, ÉMILIE RENARDEn ligne : https://betonsalon.net/IMG/pdf/bs_no33_journal_d_exposition_e_nergies_judoth_hop [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Journal d'exposition BS — n°34 : KATIA KAMELI, HIER REVIENT ET JE L’ENTENDS / Elena LESPES MUÑOS ; Emilie RENARD ; Bérénice SALIOU ; Louise JABLONOWSKA ; Bariza KHIARI ; Stéphanie CHAZALON ; Katia KAMELI ; Leili ANWAR ; Vanessa BRITO
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Titre : Journal d'exposition BS — n°34 : KATIA KAMELI, HIER REVIENT ET JE L’ENTENDS Type de document : texte imprimé Auteurs : Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Bérénice SALIOU, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Louise JABLONOWSKA, Traducteur ; Bariza KHIARI, Auteur ; Stéphanie CHAZALON, Auteur ; Katia KAMELI, Personne interviewée ; Leili ANWAR, Auteur ; Vanessa BRITO, Auteur Editeur : Paris [France] : Bétonsalon Année de publication : 2023 Importance : 72 p. Présentation : ill. N&B Format : 15,5 x 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 7100 Prix : Gratuit Note générale : KATIA KAMELI, HIER REVIENT ET JE L’ENTENDS
Exposition du 19 janvier au 16 avril 2023 à Bétonsalon et à l’ICI– Institut des Cultures d’Islam, Paris
Commissaires: Émilie Renard pour Bétonsalon et Bérénice Saliou pour l’ICI.
Artiste, réalisatrice et productrice, Katia Kameli mène un travail dense et protéiforme depuis le début des années 2000. Forte d’une double culture française et algérienne, elle se fait passeuse entre différents territoires et questionne les points aveugles de l’Histoire. Suivant ses propres cheminements, elle relie des faits éloignés, renoue des liens distendus, donne à entendre des paroles silenciées pour écrire des contre-récits. Ses recherches se mêlent, s’enchâssent et tissent entre elles une multiplicité de perspectives. À l’intersection d’un langage poétique, d’études visuelles et de techniques artisanales, la pratique artistique de Katia Kameli est le fruit d’une grande fabrique de relations par affinités, proximités, et amitiés. Sa première exposition personnelle dans deux institutions parisiennes réunit un ensemble d’œuvres existantes et de nouvelles productions.
À l’ICI, l’exposition met un coup de projecteur sur vingt ans de créations. Elle souligne la cohérence d’une démarche où les récits circulent, se transforment, se transposent et se superposent, à travers le monde et les époques. L’artiste y embrasse le rôle de traductrice : ses photographies, vidéos, dessins et installations mettent en jeu un vocabulaire formel et conceptuel qui se conjugue au sein d’un espace intermédiaire entre les langues, les sons, les esthétiques et les cultures. Le projet Le Cantique des oiseaux, co-produit avec La Criée, centre d’art contemporain à Rennes, inclut une vidéo réalisée à la Goutte d’Or en partenariat avec le Conservatoire du 18ème Gustave Charpentier. L’œuvre Stream of Stories, sur les métamorphoses des fables de Kalîla wa Dimna qui ont inspiré Jean de La Fontaine, est augmentée d’une extension en tuft conçue en collaboration avec l’artiste-textile, Manon Daviet.
L’exposition à Bétonsalon s’organise autour du Roman algérien ; elle présente les trois vidéos qui le composent, réalisées entre 2016 et 2019 et déploie une recherche en acte pour un quatrième chapitre qui prend pour point de départ le film La Nouba des femmes du mont Chenoua réalisé par l’écrivaine et cinéaste algérienne Assia Djebar en 1977. En prenant appui sur ce premier film algérien réalisé par une femme, qui circule aujourd’hui d’une copie à une autre, Katia Kameli semble prolonger le geste de celle qui revient sur les traces de femmes résistantes pendant la guerre de l’indépendance dans la ville et les montagnes de Cherchell. Par le recueil de paroles de femmes de différentes générations, elle compose un récit polyphonique vivant où les histoires intimes et collectives se donnent à entendre par-dessus les complexités du passé colonial.
Le titre de l’exposition, « Hier revient et je l’entends », est issu de Femmes d’Alger dans leur appartement, roman d’Assia Djebar de 1980.Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, artiste, Algérie, passé, archive, perspective personnelle, rétro-perspectif, vidéo, cinéma, femmes, indépendance, enquête, ALger, Franz Fanon, colonie, propagande, colonial, national, nationalisme, images, traces, histoire, double, identité, France, mémoire, orient, humanisme, aquarelle, collage, sérigraphie, installation, sculpture, théâtre, tuft, photographie Note de contenu :
SOMMAIRE :
9 Éditos
ÉMILIE RENARD, BARIZA KHIARI, STÉPHANIE CHAZALON
11 Les poursuites de Katia Kameli
ÉMILIE RENARD ET BÉRÉNICE SALIOU
13 Des histoires sans fin
ENTRETIEN AVEC KATIA KAMELI PAR ÉMILIE RENARD ET BÉRÉNICE SALIOU
23 Désir d’envol
LEILI ANVAR
27 “Le Roman algérien” · Une enquête en cours d’écriture
VANESSA BRITOEn ligne : https://www.betonsalon.net/IMG/pdf/00_be_tonsalon_journal_d_exposition_katia_kam [...] Journal d'exposition BS — n°34 : KATIA KAMELI, HIER REVIENT ET JE L’ENTENDS [texte imprimé] / Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Bérénice SALIOU, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Louise JABLONOWSKA, Traducteur ; Bariza KHIARI, Auteur ; Stéphanie CHAZALON, Auteur ; Katia KAMELI, Personne interviewée ; Leili ANWAR, Auteur ; Vanessa BRITO, Auteur . - Paris (9 esplanade Pierre Vidal-Naquet, 75013, France) : Bétonsalon, 2023 . - 72 p. : ill. N&B ; 15,5 x 24 cm.
ISSN : 7100 : Gratuit
KATIA KAMELI, HIER REVIENT ET JE L’ENTENDS
Exposition du 19 janvier au 16 avril 2023 à Bétonsalon et à l’ICI– Institut des Cultures d’Islam, Paris
Commissaires: Émilie Renard pour Bétonsalon et Bérénice Saliou pour l’ICI.
Artiste, réalisatrice et productrice, Katia Kameli mène un travail dense et protéiforme depuis le début des années 2000. Forte d’une double culture française et algérienne, elle se fait passeuse entre différents territoires et questionne les points aveugles de l’Histoire. Suivant ses propres cheminements, elle relie des faits éloignés, renoue des liens distendus, donne à entendre des paroles silenciées pour écrire des contre-récits. Ses recherches se mêlent, s’enchâssent et tissent entre elles une multiplicité de perspectives. À l’intersection d’un langage poétique, d’études visuelles et de techniques artisanales, la pratique artistique de Katia Kameli est le fruit d’une grande fabrique de relations par affinités, proximités, et amitiés. Sa première exposition personnelle dans deux institutions parisiennes réunit un ensemble d’œuvres existantes et de nouvelles productions.
À l’ICI, l’exposition met un coup de projecteur sur vingt ans de créations. Elle souligne la cohérence d’une démarche où les récits circulent, se transforment, se transposent et se superposent, à travers le monde et les époques. L’artiste y embrasse le rôle de traductrice : ses photographies, vidéos, dessins et installations mettent en jeu un vocabulaire formel et conceptuel qui se conjugue au sein d’un espace intermédiaire entre les langues, les sons, les esthétiques et les cultures. Le projet Le Cantique des oiseaux, co-produit avec La Criée, centre d’art contemporain à Rennes, inclut une vidéo réalisée à la Goutte d’Or en partenariat avec le Conservatoire du 18ème Gustave Charpentier. L’œuvre Stream of Stories, sur les métamorphoses des fables de Kalîla wa Dimna qui ont inspiré Jean de La Fontaine, est augmentée d’une extension en tuft conçue en collaboration avec l’artiste-textile, Manon Daviet.
L’exposition à Bétonsalon s’organise autour du Roman algérien ; elle présente les trois vidéos qui le composent, réalisées entre 2016 et 2019 et déploie une recherche en acte pour un quatrième chapitre qui prend pour point de départ le film La Nouba des femmes du mont Chenoua réalisé par l’écrivaine et cinéaste algérienne Assia Djebar en 1977. En prenant appui sur ce premier film algérien réalisé par une femme, qui circule aujourd’hui d’une copie à une autre, Katia Kameli semble prolonger le geste de celle qui revient sur les traces de femmes résistantes pendant la guerre de l’indépendance dans la ville et les montagnes de Cherchell. Par le recueil de paroles de femmes de différentes générations, elle compose un récit polyphonique vivant où les histoires intimes et collectives se donnent à entendre par-dessus les complexités du passé colonial.
Le titre de l’exposition, « Hier revient et je l’entends », est issu de Femmes d’Alger dans leur appartement, roman d’Assia Djebar de 1980.
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, artiste, Algérie, passé, archive, perspective personnelle, rétro-perspectif, vidéo, cinéma, femmes, indépendance, enquête, ALger, Franz Fanon, colonie, propagande, colonial, national, nationalisme, images, traces, histoire, double, identité, France, mémoire, orient, humanisme, aquarelle, collage, sérigraphie, installation, sculpture, théâtre, tuft, photographie Note de contenu :
SOMMAIRE :
9 Éditos
ÉMILIE RENARD, BARIZA KHIARI, STÉPHANIE CHAZALON
11 Les poursuites de Katia Kameli
ÉMILIE RENARD ET BÉRÉNICE SALIOU
13 Des histoires sans fin
ENTRETIEN AVEC KATIA KAMELI PAR ÉMILIE RENARD ET BÉRÉNICE SALIOU
23 Désir d’envol
LEILI ANVAR
27 “Le Roman algérien” · Une enquête en cours d’écriture
VANESSA BRITOEn ligne : https://www.betonsalon.net/IMG/pdf/00_be_tonsalon_journal_d_exposition_katia_kam [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Journal d'exposition BS — n°35 : UN·TUNING TOGETHER. Pratiquer l'écoute avec Pauline Oliveros / Elena LESPES MUÑOS ; Emilie RENARD ; Maud JACQUIN ; Louise JABLONOWSKA ; Annie-Rose HARRISON-DUNN ; Mathilde BELOUALI-DEJEAN
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Titre : Journal d'exposition BS — n°35 : UN·TUNING TOGETHER. Pratiquer l'écoute avec Pauline Oliveros Type de document : texte imprimé Auteurs : Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Maud JACQUIN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Louise JABLONOWSKA, Traducteur ; Annie-Rose HARRISON-DUNN, Traducteur ; Mathilde BELOUALI-DEJEAN, Auteur Editeur : Paris [France] : Bétonsalon Année de publication : 2023 Importance : 64 p. Présentation : ill. N&B Format : 15,5 x 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 7101 Prix : Gratuit Note générale : UN·TUNING TOGETHER. Pratiquer l'écoute avec Pauline Oliveros
Exposition du 20 septembre au 2 décembre 2023
Curatrices: Maud Jacquin et Émilie Renard
Avec No Anger, Julia E Dyck, Célin Jiang, Konstantinos Kyriakopoulos, Anna Holveck, Violaine Lochu, Emily Mast, Lauren Tortil, Christopher Willes avec Ellen Furey et Brendan Jensen, avec des œuvres de Pauline Oliveros et les participations de IONE et des Deep Listeners Ximena Alarcón, Sylvie Decaux, Lisa Barnard Kelley
Cette exposition s’inspire d’une conception singulière de l’écoute que la compositrice expérimentale états-unienne Pauline Oliveros (1932-2016) désigne par le terme de Deep Listening ; une « écoute profonde » qui, selon elle, « suppose d’aller sous la surface de ce qui est entendu. » Au cœur de cette pratique, il y a une conscience aiguë du fait qu’il y a toujours plus à entendre dans les replis de l’environnement acoustique. L’expérience du Deep Listening ouvre à de nouvelles formes de sensorialités et représente un engagement à ne jamais cesser de développer ses capacités d’écoute à travers des partitions qui, plutôt que de guider l’interprétation de la musique, proposent des stratégies attentionnelles, des manières d’écouter soi-même, les autres et l’environnement. Dans l’œuvre d’Oliveros, la pratique de l’attention s’exerce le plus souvent au sein d’un groupe. Dans la plupart de ses compositions, elle offre des indications ouvertes qui doivent être négociées collectivement par les performeur·ses, ce qui implique une grande attention et réceptivité aux autres et à ce qui arrive.
L’exposition « Un· Tuning Together » met en dialogue la pratique de Pauline Oliveros avec celles d’artistes dont les recherches font écho et prolongent ses propositions. Chaque artiste est invité·e à habiter l’ensemble du lieu et à partager avec des publics participants des pratiques mettant en jeu des principes d’improvisation et d’écoute mutuelle au sein d’un groupe. Leurs propositions se succèdent en un programme alternant entre des temps de travail collectif et des temps d’ouverture publique. L’œuvre d’Oliveros sera également pratiquée à travers des séances régulières dédiées à l’expérience des Méditations Sonores. Son travail devient une sorte de catalyseur pour penser collectivement, – avec les artistes, chercheur·euses, publics participants et l’équipe de Bétonsalon –, la manière dont des corps engagés dans ces pratiques de l’écoute peuvent produire des transformations sur les plans à la fois intime et social.
Cette exposition est le second volet de l’exposition « Retirez vos bouchons d’oreilles », curatée par Maud Jacquin avec Anne-Marie St-Jean Aubre, au Musée d’art de Joliette, Québec, du 11 juin au 4 septembre 2023.
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, musique, Deep Learning, composition, son, sonore, musique électronique, nouvelles technologies, instrument, partition, protocole, instructions, pièce de théâtre, mise en scène, interprétation, improvisation collective, inclusion, féminisme, écoute, méditation, perception, artiste, performance, collectif Note de contenu :
SOMMAIRE :
7 “Écouter tout ce qu’il est possible d’entendre, de toutes les façons possibles”
MAUD JACQUIN, ÉMILIE RENARD
17 Notices
MATHILDE BELOUALI–DEJEAN, MAUD JACQUIN, ELENA LESPES MUÑOZ, ÉMILIE RENARDEn ligne : https://betonsalon.net/IMG/pdf/be_tonsalon_journal_pauline-oliveros.pdf Journal d'exposition BS — n°35 : UN·TUNING TOGETHER. Pratiquer l'écoute avec Pauline Oliveros [texte imprimé] / Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Maud JACQUIN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Louise JABLONOWSKA, Traducteur ; Annie-Rose HARRISON-DUNN, Traducteur ; Mathilde BELOUALI-DEJEAN, Auteur . - Paris (9 esplanade Pierre Vidal-Naquet, 75013, France) : Bétonsalon, 2023 . - 64 p. : ill. N&B ; 15,5 x 24 cm.
ISSN : 7101 : Gratuit
UN·TUNING TOGETHER. Pratiquer l'écoute avec Pauline Oliveros
Exposition du 20 septembre au 2 décembre 2023
Curatrices: Maud Jacquin et Émilie Renard
Avec No Anger, Julia E Dyck, Célin Jiang, Konstantinos Kyriakopoulos, Anna Holveck, Violaine Lochu, Emily Mast, Lauren Tortil, Christopher Willes avec Ellen Furey et Brendan Jensen, avec des œuvres de Pauline Oliveros et les participations de IONE et des Deep Listeners Ximena Alarcón, Sylvie Decaux, Lisa Barnard Kelley
Cette exposition s’inspire d’une conception singulière de l’écoute que la compositrice expérimentale états-unienne Pauline Oliveros (1932-2016) désigne par le terme de Deep Listening ; une « écoute profonde » qui, selon elle, « suppose d’aller sous la surface de ce qui est entendu. » Au cœur de cette pratique, il y a une conscience aiguë du fait qu’il y a toujours plus à entendre dans les replis de l’environnement acoustique. L’expérience du Deep Listening ouvre à de nouvelles formes de sensorialités et représente un engagement à ne jamais cesser de développer ses capacités d’écoute à travers des partitions qui, plutôt que de guider l’interprétation de la musique, proposent des stratégies attentionnelles, des manières d’écouter soi-même, les autres et l’environnement. Dans l’œuvre d’Oliveros, la pratique de l’attention s’exerce le plus souvent au sein d’un groupe. Dans la plupart de ses compositions, elle offre des indications ouvertes qui doivent être négociées collectivement par les performeur·ses, ce qui implique une grande attention et réceptivité aux autres et à ce qui arrive.
L’exposition « Un· Tuning Together » met en dialogue la pratique de Pauline Oliveros avec celles d’artistes dont les recherches font écho et prolongent ses propositions. Chaque artiste est invité·e à habiter l’ensemble du lieu et à partager avec des publics participants des pratiques mettant en jeu des principes d’improvisation et d’écoute mutuelle au sein d’un groupe. Leurs propositions se succèdent en un programme alternant entre des temps de travail collectif et des temps d’ouverture publique. L’œuvre d’Oliveros sera également pratiquée à travers des séances régulières dédiées à l’expérience des Méditations Sonores. Son travail devient une sorte de catalyseur pour penser collectivement, – avec les artistes, chercheur·euses, publics participants et l’équipe de Bétonsalon –, la manière dont des corps engagés dans ces pratiques de l’écoute peuvent produire des transformations sur les plans à la fois intime et social.
Cette exposition est le second volet de l’exposition « Retirez vos bouchons d’oreilles », curatée par Maud Jacquin avec Anne-Marie St-Jean Aubre, au Musée d’art de Joliette, Québec, du 11 juin au 4 septembre 2023.
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, musique, Deep Learning, composition, son, sonore, musique électronique, nouvelles technologies, instrument, partition, protocole, instructions, pièce de théâtre, mise en scène, interprétation, improvisation collective, inclusion, féminisme, écoute, méditation, perception, artiste, performance, collectif Note de contenu :
SOMMAIRE :
7 “Écouter tout ce qu’il est possible d’entendre, de toutes les façons possibles”
MAUD JACQUIN, ÉMILIE RENARD
17 Notices
MATHILDE BELOUALI–DEJEAN, MAUD JACQUIN, ELENA LESPES MUÑOZ, ÉMILIE RENARDEn ligne : https://betonsalon.net/IMG/pdf/be_tonsalon_journal_pauline-oliveros.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Journal d'exposition BS — n°36 : JEAN-NOËL HERLIN, UN JUNK MAIL JUNKIE / Elena LESPES MUÑOS ; Emilie RENARD ; Sara MARTINETTI ; Boris KREMER ; Jean-Noël HERLIN
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Titre : Journal d'exposition BS — n°36 : JEAN-NOËL HERLIN, UN JUNK MAIL JUNKIE Type de document : texte imprimé Auteurs : Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sara MARTINETTI, Concepteur ; Boris KREMER, Traducteur ; Jean-Noël HERLIN, Auteur Editeur : Paris [France] : Bétonsalon Année de publication : 2024 Importance : 64 p. Présentation : ill. N&B Format : 15,5 x 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 7099 Prix : Gratuit Note générale : JEAN-NOËL HERLIN, UN JUNK MAIL JUNKIE
Exposition du 20 janvier au 20 avril 2024
Recherche et conception : Sara Martinetti
Installation audiovisuelle et musique : Cengiz Hartlap
Mise en espace : MPM Architecture (Jeanne Lefrand et Charles Marmion)
Graphisme : Emma Kildea
L’exposition est co-produite avec l’École supérieure d’art et de design d’Amiens et reçoit le soutien de la Villa Albertine. Sara Martinetti a bénéficié d’une bourse de Philip E. Aarons en 2017 et du soutien à la recherche en théorie et critique d’art du Centre national des arts plastiques en 2022.
« En matière d’art, je suis un junk mail junkie. Et cela depuis près de trente-cinq ans. Enfin, trente-quatre ans, pour être exact, pendant lesquels j’ai constitué une archive de près de 300 000 documents ayant trait aux arts visuels et aux arts performatifs à l’échelle internationale depuis 1950. Si les chiffres veulent dire quelque chose, elle contient des documents sur plus de 50 000 artistes, s’étend sur près de 200 mètres linéaires et pèse cinq tonnes. Une folie ! Une folie qui a suscité la “gratitude éternelle” d’artistes, d’universitaires et de commissaires d’exposition, tandis que d’autres en ont eu les yeux écarquillés ou sont restés bouche bée de stupéfaction », écrit Jean-Noël Herlin en 2007 dans l’introduction d’un article publié dans la revue Art on Paper, où il explique « comment le junk mail d’hier devient l’ephemera de demain ».
Cette première exposition monographique consacrée à Jean-Noël Herlin rassemble une sélection de cinq cents documents et œuvres provenant principalement de ses archives personnelles et regroupés selon ses quatre « pratiques d’écriture » principales : lecture/écriture/indexation, librairie, archive, expertise. La présentation a été pensée en conjonction avec une installation audio-visuelle immersive dont le scénario se déploie sur huit heures et croise plusieurs fils : une journée de travail de Jean-Noël Herlin, les quatre séquences de son parcours de vie dans l’écrit, des évènements et rencontres à New York et Paris. En suivant les écrits, l’exposition fait émerger la complexité et les implications parfois troublantes d’un engagement radical, pensé par le principal intéressé comme « utopique ».
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, affiches, communiqués, brochures, coupures de presse, photographies, ephemera, New York, archive, collecte, imprimés, livre, périodiques, arts visuels, performatifs, cinéma, librairie, recherche, index, junk mail, corbeille, archivistique, bibliographie, art conceptuel Résumé :
Pour le journal de cette exposition, Jean-Noël Herlin partage différents aspects de son travail : les étapes de sa vie de libraire, une conférence sur son Archive Project, ainsi qu’une suite de listes toutes personnelles, format caractéristique de sa méthode archivistique. Enfin, Sara Martinetti détaille dans une note, l’enquête au long cours qu’elle mène autour de cet archiviste singulier.Note de contenu :
SOMMAIRE :
7 Jean-Noël Herlin de J à H
ÉMILIE RENARD
9 Étapes d’une vie de libraire, racontées par lui-même
17 “Moins c’est moins et plus c’est plus” propos sur une “archive trouvée” JEAN-NOËL HERLIN
23 Anthropologie visuelle des pratiques d’un papivore
SARA MARTINETTI
26 Chronologie personnelle
56 Bibliography, exhibitions and selected appraisals
JEAN-NOËL HERLINEn ligne : https://betonsalon.net/IMG/pdf/be_tonsalon_journal_d_exposition_jnherlin.pdf Journal d'exposition BS — n°36 : JEAN-NOËL HERLIN, UN JUNK MAIL JUNKIE [texte imprimé] / Elena LESPES MUÑOS, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilie RENARD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sara MARTINETTI, Concepteur ; Boris KREMER, Traducteur ; Jean-Noël HERLIN, Auteur . - Paris (9 esplanade Pierre Vidal-Naquet, 75013, France) : Bétonsalon, 2024 . - 64 p. : ill. N&B ; 15,5 x 24 cm.
ISSN : 7099 : Gratuit
JEAN-NOËL HERLIN, UN JUNK MAIL JUNKIE
Exposition du 20 janvier au 20 avril 2024
Recherche et conception : Sara Martinetti
Installation audiovisuelle et musique : Cengiz Hartlap
Mise en espace : MPM Architecture (Jeanne Lefrand et Charles Marmion)
Graphisme : Emma Kildea
L’exposition est co-produite avec l’École supérieure d’art et de design d’Amiens et reçoit le soutien de la Villa Albertine. Sara Martinetti a bénéficié d’une bourse de Philip E. Aarons en 2017 et du soutien à la recherche en théorie et critique d’art du Centre national des arts plastiques en 2022.
« En matière d’art, je suis un junk mail junkie. Et cela depuis près de trente-cinq ans. Enfin, trente-quatre ans, pour être exact, pendant lesquels j’ai constitué une archive de près de 300 000 documents ayant trait aux arts visuels et aux arts performatifs à l’échelle internationale depuis 1950. Si les chiffres veulent dire quelque chose, elle contient des documents sur plus de 50 000 artistes, s’étend sur près de 200 mètres linéaires et pèse cinq tonnes. Une folie ! Une folie qui a suscité la “gratitude éternelle” d’artistes, d’universitaires et de commissaires d’exposition, tandis que d’autres en ont eu les yeux écarquillés ou sont restés bouche bée de stupéfaction », écrit Jean-Noël Herlin en 2007 dans l’introduction d’un article publié dans la revue Art on Paper, où il explique « comment le junk mail d’hier devient l’ephemera de demain ».
Cette première exposition monographique consacrée à Jean-Noël Herlin rassemble une sélection de cinq cents documents et œuvres provenant principalement de ses archives personnelles et regroupés selon ses quatre « pratiques d’écriture » principales : lecture/écriture/indexation, librairie, archive, expertise. La présentation a été pensée en conjonction avec une installation audio-visuelle immersive dont le scénario se déploie sur huit heures et croise plusieurs fils : une journée de travail de Jean-Noël Herlin, les quatre séquences de son parcours de vie dans l’écrit, des évènements et rencontres à New York et Paris. En suivant les écrits, l’exposition fait émerger la complexité et les implications parfois troublantes d’un engagement radical, pensé par le principal intéressé comme « utopique ».
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : journal, exposition, cartons d’exposition, affiches, communiqués, brochures, coupures de presse, photographies, ephemera, New York, archive, collecte, imprimés, livre, périodiques, arts visuels, performatifs, cinéma, librairie, recherche, index, junk mail, corbeille, archivistique, bibliographie, art conceptuel Résumé :
Pour le journal de cette exposition, Jean-Noël Herlin partage différents aspects de son travail : les étapes de sa vie de libraire, une conférence sur son Archive Project, ainsi qu’une suite de listes toutes personnelles, format caractéristique de sa méthode archivistique. Enfin, Sara Martinetti détaille dans une note, l’enquête au long cours qu’elle mène autour de cet archiviste singulier.Note de contenu :
SOMMAIRE :
7 Jean-Noël Herlin de J à H
ÉMILIE RENARD
9 Étapes d’une vie de libraire, racontées par lui-même
17 “Moins c’est moins et plus c’est plus” propos sur une “archive trouvée” JEAN-NOËL HERLIN
23 Anthropologie visuelle des pratiques d’un papivore
SARA MARTINETTI
26 Chronologie personnelle
56 Bibliography, exhibitions and selected appraisals
JEAN-NOËL HERLINEn ligne : https://betonsalon.net/IMG/pdf/be_tonsalon_journal_d_exposition_jnherlin.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire

