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Titre : L'art impossible Type de document : texte imprimé Auteurs : Geoffroy DE LAGASNERIE, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF - Presses universitaires de France Année de publication : 2020 Collection : Des mots Importance : 80 p. Format : 12.5 x 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-082546-3 Prix : 8,00 € Langues : Français (fre) Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle
4. Sciences Sociales et Humaines:4.05 Sciences sociales:Sociologie
Philosophie et théorie des Beaux-Arts et Arts DécoratifsMots-clés : sociologie, philosophie, arts, éthique, culture, domination culturelle, Marguerite Duras, La Douleur, exploitation, capitalisme, honte, Index. décimale : 700.103 Philosophie et Théorie des Arts - Influences des Conditions et des Facteurs Sociaux sur les Arts. Résumé : Parce qu’il n’y a pas de non-participation possible au monde, tout créateur doit se poser la question de savoir comment ne pas être complice, volontairement ou involontairement, des systèmes de pouvoir. Pour cela, il est nécessaire de substituer une éthique des œuvres à l’idée largement partagée d’une valeur inconditionnelle de la culture.
Dans Penser dans un monde mauvais, Geoffroy de Lagasnerie proposait de placer au cœur des sciences sociales et de la philosophie la production de «savoirs oppositionnels». Il remet ici en cause les idées et concepts traditionnellement admis dans le champ de la culture et s’interroge : peut-on définir un « art oppositionnel » ? Sur quelles valeurs reposerait cet art oppositionnel et contre quelles valeurs s’affirmerait-il ? Dès lors que l’on confronte l’art à la brutalité du monde et au fonctionnement de la domination culturelle, n’est-on pas amené à devenir sceptique sur la valeur de la création artistique et son sens ?
Geoffroy de Lagasnerie est philosophe et sociologue. Il est professeur à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy. Il a publié récemment Penser dans un monde mauvais (Puf, 2017) et La Conscience politique (Fayard, 2019).En ligne : https://www.puf.com/content/Lart_impossible L'art impossible [texte imprimé] / Geoffroy DE LAGASNERIE, Auteur . - Paris (France) : PUF - Presses universitaires de France, 2020 . - 80 p. ; 12.5 x 19 cm. - (Des mots) .
ISBN : 978-2-13-082546-3 : 8,00 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle
4. Sciences Sociales et Humaines:4.05 Sciences sociales:Sociologie
Philosophie et théorie des Beaux-Arts et Arts DécoratifsMots-clés : sociologie, philosophie, arts, éthique, culture, domination culturelle, Marguerite Duras, La Douleur, exploitation, capitalisme, honte, Index. décimale : 700.103 Philosophie et Théorie des Arts - Influences des Conditions et des Facteurs Sociaux sur les Arts. Résumé : Parce qu’il n’y a pas de non-participation possible au monde, tout créateur doit se poser la question de savoir comment ne pas être complice, volontairement ou involontairement, des systèmes de pouvoir. Pour cela, il est nécessaire de substituer une éthique des œuvres à l’idée largement partagée d’une valeur inconditionnelle de la culture.
Dans Penser dans un monde mauvais, Geoffroy de Lagasnerie proposait de placer au cœur des sciences sociales et de la philosophie la production de «savoirs oppositionnels». Il remet ici en cause les idées et concepts traditionnellement admis dans le champ de la culture et s’interroge : peut-on définir un « art oppositionnel » ? Sur quelles valeurs reposerait cet art oppositionnel et contre quelles valeurs s’affirmerait-il ? Dès lors que l’on confronte l’art à la brutalité du monde et au fonctionnement de la domination culturelle, n’est-on pas amené à devenir sceptique sur la valeur de la création artistique et son sens ?
Geoffroy de Lagasnerie est philosophe et sociologue. Il est professeur à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy. Il a publié récemment Penser dans un monde mauvais (Puf, 2017) et La Conscience politique (Fayard, 2019).En ligne : https://www.puf.com/content/Lart_impossible Exemplaires
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Titre : Écologies déviantes Titre original : Voyage en terres queers Type de document : texte imprimé Auteurs : Cy LECERF MAULPOIX, Auteur Editeur : Paris [France] : Éditions Cambourakis Année de publication : 2021 Collection : Sorcières Importance : 272 p. Présentation : ill. N&B Format : 14 x 20,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-366-24599-8 Prix : 22,00 € Langues : Français (fre) Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle Mots-clés : activisme, homosexualité, politique, queer, militantisme, LGBT, écologie, crise climatique, lutte, sociologie, sexualités, minorités, Index. décimale : 306.766 Homosexualité Résumé : Tout à la fois voyage, enquête, cheminement personnel, réflexion politique sur l’articulation des luttes contemporaines, ce livre de Cy Lecerf Maulpoix, journaliste engagé dans les luttes LGBTQI et pour la justice climatique, nous entraîne dans les jardins anglais de l’artiste Derek Jarman, de l’écrivain socialiste Edward Carpenter, du Bloomsbury Group, sur les traces des Radical Faeries de l’Arizona à San Francisco jusqu’aux zones de cruising des lisières des grandes villes.
Parce qu’il met au jour des généalogies oubliées, ce texte permet de reconnaître la dette de l’écologie politique à ces précurseurEUSEs déviantEs. À l’heure où chacunE est concernéE par les enjeux écologiques planétaires, ce livre nécessaire propose de nouvelles pistes militantes et trace une ligne de crête sur laquelle construire, à partir de perspectives minoritaires, un mouvement réellement inclusif.Note de contenu : SOMMAIRE
P. 11 — INTRODUCTION : VERS D'AUTRES RIVAGES
P. 23 — CONTRE LA NATURE ?
1) Une histoire de destruction — p. 23
2) Vulnérabilités et oppressions croisées — p. 37
3) Les jardins de l'antitechnicisme — p. 47
4) Maladie ou ressource de la modernité — p. 63
5) Paradoxe de la ville transfuge — p. 77
P. 89 — GÉNÉALOGIES ET HISTOIRES
1) Rappeler la nature à soi, écarter les risques d'une nature autoritaire — p. 91
2) L'uranisme face aux maux de la civilisation — p. 103
3) Vers une écologie du quotidien — p. 117
4) Un jardin à soi — p. 135
5) Esprit gay es-tu là ? — p. 151
6) "Back to the land" — p. 167
P. 183 — ET MAINTENANT ?
1) Alliances et stratégies pour des luttes écologistes et sociales — p. 185
2) Vers une révolution du soin — p. 205
3) Nos refuges — p. 219
4) Let's talk about ecosex ! — p. 231
5) De nouvelles parentés — p. 243
P. 259 — CONCLUSION
P. 265 — QUELQUES RESSOURCES POUR ALLER PLUS LOINEn ligne : https://www.cambourakis.com/tout/sorcieres/ecologies-deviantes/ Écologies déviantes = Voyage en terres queers [texte imprimé] / Cy LECERF MAULPOIX, Auteur . - Paris (62 rue du Faubourg Saint-Antoine, 75012, France) : Éditions Cambourakis, 2021 . - 272 p. : ill. N&B ; 14 x 20,5 cm. - (Sorcières) .
ISBN : 978-2-366-24599-8 : 22,00 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle Mots-clés : activisme, homosexualité, politique, queer, militantisme, LGBT, écologie, crise climatique, lutte, sociologie, sexualités, minorités, Index. décimale : 306.766 Homosexualité Résumé : Tout à la fois voyage, enquête, cheminement personnel, réflexion politique sur l’articulation des luttes contemporaines, ce livre de Cy Lecerf Maulpoix, journaliste engagé dans les luttes LGBTQI et pour la justice climatique, nous entraîne dans les jardins anglais de l’artiste Derek Jarman, de l’écrivain socialiste Edward Carpenter, du Bloomsbury Group, sur les traces des Radical Faeries de l’Arizona à San Francisco jusqu’aux zones de cruising des lisières des grandes villes.
Parce qu’il met au jour des généalogies oubliées, ce texte permet de reconnaître la dette de l’écologie politique à ces précurseurEUSEs déviantEs. À l’heure où chacunE est concernéE par les enjeux écologiques planétaires, ce livre nécessaire propose de nouvelles pistes militantes et trace une ligne de crête sur laquelle construire, à partir de perspectives minoritaires, un mouvement réellement inclusif.Note de contenu : SOMMAIRE
P. 11 — INTRODUCTION : VERS D'AUTRES RIVAGES
P. 23 — CONTRE LA NATURE ?
1) Une histoire de destruction — p. 23
2) Vulnérabilités et oppressions croisées — p. 37
3) Les jardins de l'antitechnicisme — p. 47
4) Maladie ou ressource de la modernité — p. 63
5) Paradoxe de la ville transfuge — p. 77
P. 89 — GÉNÉALOGIES ET HISTOIRES
1) Rappeler la nature à soi, écarter les risques d'une nature autoritaire — p. 91
2) L'uranisme face aux maux de la civilisation — p. 103
3) Vers une écologie du quotidien — p. 117
4) Un jardin à soi — p. 135
5) Esprit gay es-tu là ? — p. 151
6) "Back to the land" — p. 167
P. 183 — ET MAINTENANT ?
1) Alliances et stratégies pour des luttes écologistes et sociales — p. 185
2) Vers une révolution du soin — p. 205
3) Nos refuges — p. 219
4) Let's talk about ecosex ! — p. 231
5) De nouvelles parentés — p. 243
P. 259 — CONCLUSION
P. 265 — QUELQUES RESSOURCES POUR ALLER PLUS LOINEn ligne : https://www.cambourakis.com/tout/sorcieres/ecologies-deviantes/ Exemplaires
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Titre : La gentrification des esprits : témoin d'un imaginaire perdu Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah SCHULMAN, Auteur ; Vanina GÉRÉ, Auteur ; Émilie NOTÉRIS, Traducteur ; Mathieu KLEYEBE ABONNENC, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris [France] : Éditions B42 Année de publication : 2018 Collection : Culture, ISSN 2645-9906 Importance : 166 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-490-07704-5 Prix : 20€ Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle Mots-clés : activisme, États-Unis, homosexualité, politique, queer, sida, urbanisation, act up, militantisme, LGBT Index. décimale : 306.766 Homosexualité Résumé : La Gentrification des esprits est un retour captivant sur la crise du sida et l’activisme d’ACT UP dans le New York des années 1980 et 1990. Sarah Schulman, elle-même new-yorkaise et militante de la cause LGBT, se souvient de la disparition du centre-ville, pratiquement du jour au lendemain, de la culture rebelle queer, des loyers à bas coût et du prolifique mouvement artistique qui se développait au cœur de Manhattan, remplacés par des porte-parole gays conservateurs, ainsi que par le consumérisme de masse. Elle décrit avec précision et engagement le « remplacement d’une communauté par une autre » et le processus de gentrification qui toucha ces quartiers concomitamment à la crise du sida. Sarah Schulman fait revivre pour nous le Lower East Side qu’elle a connu. Elle ravive autant le souvenir de ses ami•e•s de l’avant-garde queer que celui de l’ombre inquiétante des premières années de la crise du sida, telles que vécues par une militante. Les souvenirs personnels s’entremêlent à une analyse percutante des deux phénomènes, et du poids invisible qu’ils font aujourd’hui peser sur la société américaine. L’auteure rend compte de son expérience en tant que témoin de la « perte de l’imagination » de toute une génération, et des conséquences entraînées par cette perte. (note de l'éditeur) En ligne : https://editions-b42.com/produit/la-gentrification-des-esprits-2/ La gentrification des esprits : témoin d'un imaginaire perdu [texte imprimé] / Sarah SCHULMAN, Auteur ; Vanina GÉRÉ, Auteur ; Émilie NOTÉRIS, Traducteur ; Mathieu KLEYEBE ABONNENC, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris (32, rue de Paradis, France) : Éditions B42, 2018 . - 166 p. ; 22 cm. - (Culture, ISSN 2645-9906) .
ISBN : 978-2-490-07704-5 : 20€
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle Mots-clés : activisme, États-Unis, homosexualité, politique, queer, sida, urbanisation, act up, militantisme, LGBT Index. décimale : 306.766 Homosexualité Résumé : La Gentrification des esprits est un retour captivant sur la crise du sida et l’activisme d’ACT UP dans le New York des années 1980 et 1990. Sarah Schulman, elle-même new-yorkaise et militante de la cause LGBT, se souvient de la disparition du centre-ville, pratiquement du jour au lendemain, de la culture rebelle queer, des loyers à bas coût et du prolifique mouvement artistique qui se développait au cœur de Manhattan, remplacés par des porte-parole gays conservateurs, ainsi que par le consumérisme de masse. Elle décrit avec précision et engagement le « remplacement d’une communauté par une autre » et le processus de gentrification qui toucha ces quartiers concomitamment à la crise du sida. Sarah Schulman fait revivre pour nous le Lower East Side qu’elle a connu. Elle ravive autant le souvenir de ses ami•e•s de l’avant-garde queer que celui de l’ombre inquiétante des premières années de la crise du sida, telles que vécues par une militante. Les souvenirs personnels s’entremêlent à une analyse percutante des deux phénomènes, et du poids invisible qu’ils font aujourd’hui peser sur la société américaine. L’auteure rend compte de son expérience en tant que témoin de la « perte de l’imagination » de toute une génération, et des conséquences entraînées par cette perte. (note de l'éditeur) En ligne : https://editions-b42.com/produit/la-gentrification-des-esprits-2/ Exemplaires
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Titre : Pourquoi sourit-on en photographie? Type de document : texte imprimé Auteurs : GUNTHERT, André, Auteur Editeur : LYON [FRANCE] : Editions 205 Année de publication : 2023 Collection : Milieux Importance : 84 p. Présentation : ill. N&B et coul. Format : 10,5 × 16,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-919380-74-9 Prix : 12,00€ Langues : Français (fre) Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle
3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art
3. Culture:3.50 Arts visuels:Photographie
PortraitMots-clés : photographie, sourire, sociologie, étude, Walter Benjamin, Marcel Astruc, Maria A. Arapova, Gilbert de Cambertrand, Shiry Ginosar, August Sander, Angus Trumble, Élisabeth Vigée Le Brun Index. décimale : 770.1 La Photographie Philosophie et Théorie Résumé : Pourquoi sourit-on en photographie? On a longtemps cru qu’il ne s’agissait que d’un problème de temps de pose. Mais derrière cette question simple se cache une énigme passionnante: une évolution restée longtemps invisible, à la croisée de l’anthropologie et de l’histoire visuelle.
Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, la photographie n’a fait que prolonger les conventions du portrait peint, où une mine sérieuse exprime la maîtrise des émotions en public. L’arrivée du cinéma muet impose de nouvelles règles. Intensifiée par l’effet de loupe du gros plan, l’expressivité du visage devient une clé de la narration visuelle.
À partir des années 1930, le succès de cette formule la fait adopter en photographie. L’alliance de l’authenticité et de la lisibilité nourrit l’essor de l’illustration de presse. Dans le portrait, le visage souriant apparaît comme le garant d’une sociabilité moderne et égalitaire. Du moins en apparence: marqueur d’une mutation de la présentation de soi dans l’espace occidental, le sourire forcé de la pose photographique n’est plus l’expression d’une émotion, mais un signe de communication normalisé. Il incarne la nouvelle influence des images, dans un monde de plus en plus médiatisé.
André Gunthert est historien des cultures visuelles, enseignant-chercheur à l’EHESS. Il est spécialiste des médias d’enregistre-ment, de l’édition illustrée et des cultures populaires contemporaines. Il a publié ou dirigé une dizaine d’ouvrages et fondé la première revue scientifique francophone consacrée à l’histoire de la photographie (Études photographiques, 1996-2017). Militant de l’éducation à l’image, il a notamment étudié la construction narrative des images médiatiques, le tournant de l’authenticité documentaire ou le basculement vers l’image numérique (L’Image partagée. La photographie numérique, Textuel, 2015). Ses recherches récentes portent sur la politisation des pratiques culturelles.Note de contenu : SOMMAIRE :
L'énigme du sourire photographique - p.7
Les conditions de l'expressivité - p.21
La révolution de la narration expressive - p.33
Quand l'image change la société - p.45
Un signe photographique - p.53
Du sourire forcé au sourire animé - p.61
Index des noms cités - p.73
Œuvres citées - p.75En ligne : https://www.editions205.fr/products/pourquoi-sourit-on-en-photographie Pourquoi sourit-on en photographie? [texte imprimé] / GUNTHERT, André, Auteur . - LYON (24 rue commandant Faurax, 69006, FRANCE) : Editions 205, 2023 . - 84 p. : ill. N&B et coul. ; 10,5 × 16,5 cm. - (Milieux) .
ISBN : 978-2-919380-74-9 : 12,00€
Langues : Français (fre)
Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle
3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art
3. Culture:3.50 Arts visuels:Photographie
PortraitMots-clés : photographie, sourire, sociologie, étude, Walter Benjamin, Marcel Astruc, Maria A. Arapova, Gilbert de Cambertrand, Shiry Ginosar, August Sander, Angus Trumble, Élisabeth Vigée Le Brun Index. décimale : 770.1 La Photographie Philosophie et Théorie Résumé : Pourquoi sourit-on en photographie? On a longtemps cru qu’il ne s’agissait que d’un problème de temps de pose. Mais derrière cette question simple se cache une énigme passionnante: une évolution restée longtemps invisible, à la croisée de l’anthropologie et de l’histoire visuelle.
Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, la photographie n’a fait que prolonger les conventions du portrait peint, où une mine sérieuse exprime la maîtrise des émotions en public. L’arrivée du cinéma muet impose de nouvelles règles. Intensifiée par l’effet de loupe du gros plan, l’expressivité du visage devient une clé de la narration visuelle.
À partir des années 1930, le succès de cette formule la fait adopter en photographie. L’alliance de l’authenticité et de la lisibilité nourrit l’essor de l’illustration de presse. Dans le portrait, le visage souriant apparaît comme le garant d’une sociabilité moderne et égalitaire. Du moins en apparence: marqueur d’une mutation de la présentation de soi dans l’espace occidental, le sourire forcé de la pose photographique n’est plus l’expression d’une émotion, mais un signe de communication normalisé. Il incarne la nouvelle influence des images, dans un monde de plus en plus médiatisé.
André Gunthert est historien des cultures visuelles, enseignant-chercheur à l’EHESS. Il est spécialiste des médias d’enregistre-ment, de l’édition illustrée et des cultures populaires contemporaines. Il a publié ou dirigé une dizaine d’ouvrages et fondé la première revue scientifique francophone consacrée à l’histoire de la photographie (Études photographiques, 1996-2017). Militant de l’éducation à l’image, il a notamment étudié la construction narrative des images médiatiques, le tournant de l’authenticité documentaire ou le basculement vers l’image numérique (L’Image partagée. La photographie numérique, Textuel, 2015). Ses recherches récentes portent sur la politisation des pratiques culturelles.Note de contenu : SOMMAIRE :
L'énigme du sourire photographique - p.7
Les conditions de l'expressivité - p.21
La révolution de la narration expressive - p.33
Quand l'image change la société - p.45
Un signe photographique - p.53
Du sourire forcé au sourire animé - p.61
Index des noms cités - p.73
Œuvres citées - p.75En ligne : https://www.editions205.fr/products/pourquoi-sourit-on-en-photographie Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Surf, histoire d'une (contre-)culture / Camille LELEU
Titre : Surf, histoire d'une (contre-)culture Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille LELEU, Auteur Editeur : Cambrai [France] : École Supérieure d'Art de Cambrai Année de publication : 2022 Importance : 78 p. Présentation : ill. N&B et coul. Format : 17 x 24 cm Accompagnement : 1 carte postale ISBN/ISSN/EAN : 6731 Note générale : Mémoire réalisé dans le cadre du Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique de l'École supérieure d'art et de communication de Cambrai, 2021-2022.
Camille Leleu
Directrice de mémoire : Catherine Chevalier
Tuteur·rices : Diane Boivin et Tomek JarolimLangues : Français (fre) Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle Mots-clés : mémoire, DNSEP, Ésac, surf, sport, glisse, culture, art, graphisme, Californie, contre-culture, hippie, création, société, Hawaï, surfeuse, vagues, océan, Beat Generation, Beach-Boys, pop skate, photographie Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Surfons sur la vague et laissons-on porter... Connaissez-vous le he'e nalu ? En Haïssien, le he'e nalu signifie 'glisser sur la vague'. Le surf est une coutume ancestrale originaire d'Hawaï qui est devenue un sport de glisse connu à travers le monde au début du XXe siècle grâce à son succès en Californie.
L'art de chevaucher les vagues est un héritage de ce peuple polynésien, révélé au monde par les explorateurs du XVIIIe siècle qui ont failli le faire disparaÎtre en même temps que la culture hawaïenne.
Passant d'un archipel perdu au milieu de l'Océan Pacifique aux côtes californiennes, le surf n'arrive en France qu'à la fin des années 1950. Le surf est "à la croisée des chemins", passant d'une contre-culture à une culture populaire qui influence encore les milieux sportifs, politiques, culturels et artistiques.
Que peut apporter l'image populaire du surf dans le champ de la création et au-delà, de la société ? Le surf peut-il encore prétendre à une forme de résistance et d'émancipation ? Comment les artistes se sont-ils appropriés cette passion pour la glisse ?Note de contenu : SOMMAIRE
07 — Introduction
11 — Le surf comme résistance
19 — La révolte de la glisse
25 — D'une contre-culture à la culture
33 — Les surfeuses
37 — Portraits de graphistes
Agathe Marcé
David Carson
51 — Métaphore de la société
55 — Conclusion
59 — Texte de Laurence Perrillat
63 — Miscéllanées
64 — Chronologie
70 — Bibliographie
71 — Crédits
73 — ColophonSurf, histoire d'une (contre-)culture [texte imprimé] / Camille LELEU, Auteur . - Cambrai (France) : École Supérieure d'Art de Cambrai, 2022 . - 78 p. : ill. N&B et coul. ; 17 x 24 cm + 1 carte postale.
ISSN : 6731
Mémoire réalisé dans le cadre du Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique de l'École supérieure d'art et de communication de Cambrai, 2021-2022.
Camille Leleu
Directrice de mémoire : Catherine Chevalier
Tuteur·rices : Diane Boivin et Tomek Jarolim
Langues : Français (fre)
Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle Mots-clés : mémoire, DNSEP, Ésac, surf, sport, glisse, culture, art, graphisme, Californie, contre-culture, hippie, création, société, Hawaï, surfeuse, vagues, océan, Beat Generation, Beach-Boys, pop skate, photographie Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Surfons sur la vague et laissons-on porter... Connaissez-vous le he'e nalu ? En Haïssien, le he'e nalu signifie 'glisser sur la vague'. Le surf est une coutume ancestrale originaire d'Hawaï qui est devenue un sport de glisse connu à travers le monde au début du XXe siècle grâce à son succès en Californie.
L'art de chevaucher les vagues est un héritage de ce peuple polynésien, révélé au monde par les explorateurs du XVIIIe siècle qui ont failli le faire disparaÎtre en même temps que la culture hawaïenne.
Passant d'un archipel perdu au milieu de l'Océan Pacifique aux côtes californiennes, le surf n'arrive en France qu'à la fin des années 1950. Le surf est "à la croisée des chemins", passant d'une contre-culture à une culture populaire qui influence encore les milieux sportifs, politiques, culturels et artistiques.
Que peut apporter l'image populaire du surf dans le champ de la création et au-delà, de la société ? Le surf peut-il encore prétendre à une forme de résistance et d'émancipation ? Comment les artistes se sont-ils appropriés cette passion pour la glisse ?Note de contenu : SOMMAIRE
07 — Introduction
11 — Le surf comme résistance
19 — La révolte de la glisse
25 — D'une contre-culture à la culture
33 — Les surfeuses
37 — Portraits de graphistes
Agathe Marcé
David Carson
51 — Métaphore de la société
55 — Conclusion
59 — Texte de Laurence Perrillat
63 — Miscéllanées
64 — Chronologie
70 — Bibliographie
71 — Crédits
73 — ColophonExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire

