| Titre : | PAS MAINTENANT | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Arthur CRAVAN, Auteur | | Editeur : | Grenoble [FRANCE] : Editions Cent Pages | | Année de publication : | 2014 | | Importance : | n.p. - 35 lettres à Sophie Treadwell (inédites) | | Présentation : | Photos et Ill. N&B | | Format : | 30 cm | | Accompagnement : | Affiche format jaquette + pochette comprenant des textes, des dessins et des cartes | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-916390-37-6 | | Prix : | 40 € | | Langues : | Français (fre) | | Catégories : | Littératures des langues romanes - Littérature française
| | Index. décimale : | 849.912 Ecrits divers français - (1945-1999) | | Résumé : | New York 1917. C’est le printemps à Manhattan et le 22 mai Arthur Cravan va avoir trente ans. Un an plus tôt, à Barcelone, il se mesurait au champion du monde de boxe Jack Johnson. Fabian Lloyd, alias Cravan, ne comprend pas qu’un colosse de deux mètres beau comme lui, un génie qui plus est, doive travailler pour vivre, ruser pour éviter la guerre et errer dans les salons chics pour trouver de quoi manger. À Paris, il comptait devenir riche et célèbre en écrivant de la poésie et s’en prenait publiquement à Apollinaire. Avec sa revue Maintenant, le neveu d’Oscar Wilde bluffait Cendrars, Fénéon et les futurs dadaïstes. À New York, pour pouvoir s’acheter une automobile, il tente de devenir une star du muet.
En ce printemps 1917, on croyait que la poétesse Mina Loy, qui deviendra sa femme quelques mois plus tard à Mexico, occupait seule son esprit : c’était sans compter ces trente-cinq lettres inédites, écrites en français, ressurgies d’une bibliothèque universitaire américaine, adressées à Sophie Treadwell, ancienne correspondante de guerre, journaliste, future dramaturge à succès. C’est à Sophie que sont adressées les dernières lignes connues de la main d’Arthur Cravan, le 3 septembre 1918, avant de partir pour un « long voyage » dont il ne reviendra jamais, celui qui devait le mener à Buenos Aires et qui s’est achevé dans les flots de l’océan Pacifique.
Le « prosopoème » Notes est probablement le dernier poème d’Arthur Cravan. C’est une liasse de 24 pages arrachées à un cahier. À l’encre noire et au crayon de papier repassé à l’encre le titre Notes souligné. Le texte a été relu et complété : mots en surcharge, propositions alternatives, alexandrins abandonnés, blancs attendant qu’un mot vienne s’y loger : un texte que Cravan comptait publier qui le sera par André Breton en 1943, vingt-cinq ans après sa disparition dans le Pacifique. | | Note de contenu : | Description du Produit
256 p/21×30 cm/Isbn 978-2-9163-9037-6
Ce projet d’édition rassemble trois pièces du géant Arthur Cravan, en dehors de la revue Maintenant, de nombreuses fois rééditée.
1. Golpeador : série de 40 images d’Arthur Cravan à Barcelone, 1916, en tenue de boxeur s’exhibant avant son combat contre Jack Johnson.
2. 35 lettres inédites à Sophie Treadwell (25 avril 1917 – 3 septembre 1918).
3. Notes (1917), son dernier très long poème, publié par André Breton en revue pour la première fois en 1943. |
PAS MAINTENANT [texte imprimé] / Arthur CRAVAN, Auteur . - Grenoble (FRANCE) : Editions Cent Pages, 2014 . - n.p. - 35 lettres à Sophie Treadwell (inédites) : Photos et Ill. N&B ; 30 cm + Affiche format jaquette + pochette comprenant des textes, des dessins et des cartes. ISBN : 978-2-916390-37-6 : 40 € Langues : Français ( fre) | Catégories : | Littératures des langues romanes - Littérature française
| | Index. décimale : | 849.912 Ecrits divers français - (1945-1999) | | Résumé : | New York 1917. C’est le printemps à Manhattan et le 22 mai Arthur Cravan va avoir trente ans. Un an plus tôt, à Barcelone, il se mesurait au champion du monde de boxe Jack Johnson. Fabian Lloyd, alias Cravan, ne comprend pas qu’un colosse de deux mètres beau comme lui, un génie qui plus est, doive travailler pour vivre, ruser pour éviter la guerre et errer dans les salons chics pour trouver de quoi manger. À Paris, il comptait devenir riche et célèbre en écrivant de la poésie et s’en prenait publiquement à Apollinaire. Avec sa revue Maintenant, le neveu d’Oscar Wilde bluffait Cendrars, Fénéon et les futurs dadaïstes. À New York, pour pouvoir s’acheter une automobile, il tente de devenir une star du muet.
En ce printemps 1917, on croyait que la poétesse Mina Loy, qui deviendra sa femme quelques mois plus tard à Mexico, occupait seule son esprit : c’était sans compter ces trente-cinq lettres inédites, écrites en français, ressurgies d’une bibliothèque universitaire américaine, adressées à Sophie Treadwell, ancienne correspondante de guerre, journaliste, future dramaturge à succès. C’est à Sophie que sont adressées les dernières lignes connues de la main d’Arthur Cravan, le 3 septembre 1918, avant de partir pour un « long voyage » dont il ne reviendra jamais, celui qui devait le mener à Buenos Aires et qui s’est achevé dans les flots de l’océan Pacifique.
Le « prosopoème » Notes est probablement le dernier poème d’Arthur Cravan. C’est une liasse de 24 pages arrachées à un cahier. À l’encre noire et au crayon de papier repassé à l’encre le titre Notes souligné. Le texte a été relu et complété : mots en surcharge, propositions alternatives, alexandrins abandonnés, blancs attendant qu’un mot vienne s’y loger : un texte que Cravan comptait publier qui le sera par André Breton en 1943, vingt-cinq ans après sa disparition dans le Pacifique. | | Note de contenu : | Description du Produit
256 p/21×30 cm/Isbn 978-2-9163-9037-6
Ce projet d’édition rassemble trois pièces du géant Arthur Cravan, en dehors de la revue Maintenant, de nombreuses fois rééditée.
1. Golpeador : série de 40 images d’Arthur Cravan à Barcelone, 1916, en tenue de boxeur s’exhibant avant son combat contre Jack Johnson.
2. 35 lettres inédites à Sophie Treadwell (25 avril 1917 – 3 septembre 1918).
3. Notes (1917), son dernier très long poème, publié par André Breton en revue pour la première fois en 1943. |
|