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Auteur LUGON, Olivier
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Affiner la recherche Interroger des sources externesFIXE / ANIME / Laurent GUIDO
Titre : FIXE / ANIME : Croisements de la phitographie et du cinéma au XXè siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent GUIDO, Directeur de publication, rédacteur en chef ; LUGON, Olivier, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Lausanne [Suisse] : l'Age d'Homme Année de publication : 2010 Collection : Histoire et théorie du cinéma Sous-collection : Travaux Importance : 449 pages Présentation : Couv. et Ill. N&B Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8251-4052-9 Prix : 49 € Langues : Français (fre) Catégories : Cinéma - Philosophie, Théorie, Esthétique Index. décimale : 791.430 1 Philosophie, théorie, esthétique Résumé : Ce livre aborde de front les échanges entre les deux médias de la photographie et du cinéma, en décloisonnant des domaines d’étude longtemps séparés. Un dialogue s’ouvre en effet aujourd’hui entre les spécialistes des deux champs, alors même qu’avec l’arrivée des nouveaux médias, les frontières tendent à éclater, et les échanges entre image fixe et animée à se faire de plus en plus nourris. Ce rapprochement actuel est envisagé ici dans une perspective historique, en analysant les multiples façons dont les deux médias se sont croisés tout au long du XXe siècle. FIXE / ANIME : Croisements de la phitographie et du cinéma au XXè siècle [texte imprimé] / Laurent GUIDO, Directeur de publication, rédacteur en chef ; LUGON, Olivier, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Lausanne (Suisse) : l'Age d'Homme, 2010 . - 449 pages : Couv. et Ill. N&B ; 24 cm. - (Histoire et théorie du cinéma. Travaux) .
ISBN : 978-2-8251-4052-9 : 49 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Cinéma - Philosophie, Théorie, Esthétique Index. décimale : 791.430 1 Philosophie, théorie, esthétique Résumé : Ce livre aborde de front les échanges entre les deux médias de la photographie et du cinéma, en décloisonnant des domaines d’étude longtemps séparés. Un dialogue s’ouvre en effet aujourd’hui entre les spécialistes des deux champs, alors même qu’avec l’arrivée des nouveaux médias, les frontières tendent à éclater, et les échanges entre image fixe et animée à se faire de plus en plus nourris. Ce rapprochement actuel est envisagé ici dans une perspective historique, en analysant les multiples façons dont les deux médias se sont croisés tout au long du XXe siècle. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire STYLE DOCUMENTAIRE (LE) / LUGON, Olivier
Titre : STYLE DOCUMENTAIRE (LE) : D'August Sander à Walker Evans, 1920-1945 Type de document : texte imprimé Auteurs : LUGON, Olivier, Auteur ; GUNTHERT, André, Directeur artistique Editeur : Paris [France] : Éditions Macula Année de publication : 2001 Collection : Le Champ de L'Image Importance : 397 pages Présentation : Ill. en n&b Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86589-065-1 Prix : 30 euros Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Photographie, études Index. décimale : 770.904 Photographie - Histoire et Géographie du Sujet - XXe Siècle Résumé : Sander, Evans : ils ont produit quelques-unes des icônes du XXe siècle tout en prétendant n'y être pour rien. Le " Style documentaire " (la formule est d'Evans, 1935) relève du paradoxe. Par quel miracle ces photographes qui présentent leurs œuvres comme des duplications du monde, de purs reflets, qui assurent que c'est le motif qui fait la photo, que c'est le modèle qui dicte l'image, par quel miracle ces réductionnistes, ces objectivistes ont-ils non seulement engendré une suite infinie de disciples mais aussi fourni les témoignages les plus durables sur l'Allemagne de Weimar (Sander) et sur l'Amérique de la Dépression (Evans) ? Comment interpréter cette " neutralité " efficace ? Comment cette " absence " de l'auteur a-t-elle suscité l'excès de présence des œuvres ? Par quelle alchimie l' " effacement " radical de l'artiste a-t-il pu devenir le comble de l'art ? Olivier Lugon a consacré plusieurs années au Style documentaire, tant aux États-Unis qu'en Allemagne. Il a travaillé à Berlin et à Cologne (en particulier sur le fonds Sander), dépouillé à Washington les archives de la FSA (Farm Security Administration), interrogé les survivants. Il a lu les périodiques, les correspondances, les catalogues, les livres de l'entre-deux guerres. Il a rassemblé une masse d'informations sans équivalent dans l'édition française et internationale. Le paradoxe du Style documentaire ne pouvait s'éclairer que par le contexte institutionnel, esthétique et politique de la période. Il fallait reprendre de fond en comble l'histoire de la photographie entre 1920 et 1945. Olivier Lugon nous décrit le rôle et l'accrochage des grandes expositions internationales en Allemagne, l'activité des premières galeries, les fluctuations de la FSA pendant le New Deal, les rapports de Sander avec le groupe des Artistes progressistes de Cologne ; il nous révèle la qualité et l'ardeur polémique d'une prose critique souvent rédigée par les photographes eux-mêmes (W. Evans, B. Abbott, A. Renger-Patzsch, R. Hausmann) ou par des théoriciens (W. Petry, W. Benjamin, S. Kracauer en Allemagne, L. Kirstein ou E. MacCausland aux États-Unis). Ceux-là s'interrogent sur l'impersonnalité comme valeur, sur les notions de vérité et de témoignage, sur la spécificité supposée du médium, sur la pertinence de la série et de la séquence, sur le statut de la légende, sur le portrait avec et sans pose, sur la photo de famille, sur la prise de vue à l'aveugle, etc. Du même coup, les photographes du Style documentaire inventent leur passé en sortant de l'oubli les grandes figures qui les ont précédés Eugène Atget (dont Berenice Abbott acquiert le fonds), Lewis Hine, Mathew Brady, Julia Cameron... Ils promeuvent la carte postale, les clichés anonymes, en appellent aux photographes amateurs. Eclipsé pendant la guerre, le Style documentaire resurgira vingt ans plus tard, relayé par Diane Arbus, Lee Friedlander, Garry Winogrand, Bernd et Hilla Becher, ainsi que par leurs élèves Thomas Ruff, Thomas Struth, Andreas Gursky... Mais son rayonnement ne se limite pas à la photo. Le Style documentaire - en premier lieu le travail de W. Evans - influencera durablement l'art américain d'après-guerre, du pop art au minimalisme, de Jasper Johns à l'art conceptuel. Jamais le rôle fondateur de la photographie dans l'histoire de la représentation figurative n'aura été à ce point manifeste. STYLE DOCUMENTAIRE (LE) : D'August Sander à Walker Evans, 1920-1945 [texte imprimé] / LUGON, Olivier, Auteur ; GUNTHERT, André, Directeur artistique . - Paris (6, rue Coëtlogon, 75006, France) : Éditions Macula, 2001 . - 397 pages : Ill. en n&b ; 23 cm. - (Le Champ de L'Image) .
ISBN : 978-2-86589-065-1 : 30 euros
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Photographie, études Index. décimale : 770.904 Photographie - Histoire et Géographie du Sujet - XXe Siècle Résumé : Sander, Evans : ils ont produit quelques-unes des icônes du XXe siècle tout en prétendant n'y être pour rien. Le " Style documentaire " (la formule est d'Evans, 1935) relève du paradoxe. Par quel miracle ces photographes qui présentent leurs œuvres comme des duplications du monde, de purs reflets, qui assurent que c'est le motif qui fait la photo, que c'est le modèle qui dicte l'image, par quel miracle ces réductionnistes, ces objectivistes ont-ils non seulement engendré une suite infinie de disciples mais aussi fourni les témoignages les plus durables sur l'Allemagne de Weimar (Sander) et sur l'Amérique de la Dépression (Evans) ? Comment interpréter cette " neutralité " efficace ? Comment cette " absence " de l'auteur a-t-elle suscité l'excès de présence des œuvres ? Par quelle alchimie l' " effacement " radical de l'artiste a-t-il pu devenir le comble de l'art ? Olivier Lugon a consacré plusieurs années au Style documentaire, tant aux États-Unis qu'en Allemagne. Il a travaillé à Berlin et à Cologne (en particulier sur le fonds Sander), dépouillé à Washington les archives de la FSA (Farm Security Administration), interrogé les survivants. Il a lu les périodiques, les correspondances, les catalogues, les livres de l'entre-deux guerres. Il a rassemblé une masse d'informations sans équivalent dans l'édition française et internationale. Le paradoxe du Style documentaire ne pouvait s'éclairer que par le contexte institutionnel, esthétique et politique de la période. Il fallait reprendre de fond en comble l'histoire de la photographie entre 1920 et 1945. Olivier Lugon nous décrit le rôle et l'accrochage des grandes expositions internationales en Allemagne, l'activité des premières galeries, les fluctuations de la FSA pendant le New Deal, les rapports de Sander avec le groupe des Artistes progressistes de Cologne ; il nous révèle la qualité et l'ardeur polémique d'une prose critique souvent rédigée par les photographes eux-mêmes (W. Evans, B. Abbott, A. Renger-Patzsch, R. Hausmann) ou par des théoriciens (W. Petry, W. Benjamin, S. Kracauer en Allemagne, L. Kirstein ou E. MacCausland aux États-Unis). Ceux-là s'interrogent sur l'impersonnalité comme valeur, sur les notions de vérité et de témoignage, sur la spécificité supposée du médium, sur la pertinence de la série et de la séquence, sur le statut de la légende, sur le portrait avec et sans pose, sur la photo de famille, sur la prise de vue à l'aveugle, etc. Du même coup, les photographes du Style documentaire inventent leur passé en sortant de l'oubli les grandes figures qui les ont précédés Eugène Atget (dont Berenice Abbott acquiert le fonds), Lewis Hine, Mathew Brady, Julia Cameron... Ils promeuvent la carte postale, les clichés anonymes, en appellent aux photographes amateurs. Eclipsé pendant la guerre, le Style documentaire resurgira vingt ans plus tard, relayé par Diane Arbus, Lee Friedlander, Garry Winogrand, Bernd et Hilla Becher, ainsi que par leurs élèves Thomas Ruff, Thomas Struth, Andreas Gursky... Mais son rayonnement ne se limite pas à la photo. Le Style documentaire - en premier lieu le travail de W. Evans - influencera durablement l'art américain d'après-guerre, du pop art au minimalisme, de Jasper Johns à l'art conceptuel. Jamais le rôle fondateur de la photographie dans l'histoire de la représentation figurative n'aura été à ce point manifeste. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Transbordeur : photographie histoire / JOSCHKE, Christian
Titre : Transbordeur : photographie histoire : Histoire société Numéro 1 2017 Type de document : texte imprimé Auteurs : JOSCHKE, Christian, Auteur ; LUGON, Olivier, Auteur Editeur : Paris [France] : Macula Année de publication : 2017 Importance : 230p. Présentation : couv. coul.illu.coul.noir&blanc Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86589-094-1 Prix : 29 € Langues : Français (fre) Catégories : Musée Index. décimale : 779.092 Photographie, recueils de Photographies de Personnes dont l'Activité est reliée au Sujet Biographies Professionnelles Note de contenu : Transbordeur : photographie histoire société. n° 1, Musées de photographies documentaires
Responsable(s) : Estelle Sohier, Olivier Lugon, Anne Lacoste
Une nouvelle revue annuelle consacrée à l'histoire de la photographie qui s'adresse aux lecteurs intéressés par la culture de l'image sous tous ses aspects. Le présent numéro propose une quinzaine d'articles autour des musées de photographies documentaires avec une description et une analyse de leurs fonds. ©Electre 2017
La diffusion de la photographie, l’invention du cinéma et le développement d'appareils à enregistrer le son ont permis la création d’un volume considérable d'images fixes, d'images animées et d'enregistrements sonores à travers le monde à la fin du XIXe siècle. Différentes institutions ont alors été fondées pour collecter et archiver ces matériaux afin de garder des traces visuelles et sonores de l'histoire, de la géographie et des phénomènes sociaux observés à un niveau local, national ou mondial. Ce numéro revient sur ce bouillonnement – sur ses acteurs, ses réseaux, sur leurs visées scientifiques, éducatives, patrimoniales et politiques, ainsi que sur les nouvelles façons de penser l’archive, les collections et le musée qu’ils mirent en place.
Transbordeur est une revue d’histoire de la photographie. Elle s’adresse à tous ceux qui sont intéressés par les images, leur histoire, leur sociologie, leur évolution technique, leurs significations et matérialités multiples, leur rapport au temps et à l’histoire, leur circulation ; à tous ceux qui veulent comprendre le monde contemporain à travers l’histoire de la culture ; à tous ceux qui jettent un regard critique et curieux sur les phénomènes visuels qui les entourent. Plutôt que d’approcher la photographie d’un point de vue strictement esthétique, la revue Transbordeur a pour ambition de montrer sa place dans toutes les activités de la société, d’analyser comment elle a transformé en profondeur notre rapport au monde. La photographie s’est imposée en effet dans l’école, la science, l’art, l’information, le commerce, la politique, l’industrie, la guerre, les transports, l’espace privé et public. Elle s’est étendue au livre et à la presse, à la scénographie d'exposition et au cinéma, à la production des savoirs, à la prose et à la poésie. Ce sont tous ces aspects de notre culture de l’image qu’il s’agit de comprendre et d’analyser.
Le présent numéro de Transbordeur regroupe une quinzaine d’articles composant un volume de 236 pages richement illustré. Il est divisé en quatre sections : un dossier thématique – Musées de photographies documentaires – regroupant huit études ; une section « collections » où sont décrits et analysés succinctement des fonds photographiques, faisant une large part aux archives et musées ; une sélection d’articles libres (varia), faisant une large place aux traductions de textes de chercheurs internationaux ; une section « lectures », consacrée à des comptes rendus d’ouvrages.
Le titre de notre revue évoque le passage entre les rives, la traversée des frontières disciplinaires comme nationales. Il renvoie au pont transbordeur de Marseille, perçu par l’avant-garde des années 1920 tout à la fois comme un produit de la technique, un instrument de vision et un objet d’expérimentations photographiques. L’imaginaire de la mobilité et du décloisonnement qu’il mobilisait a pu devenir aussi un programme pour l’écriture même de l’histoire des images et des infrastructures techniques, projet qui porte également cette nouvelle revue.Transbordeur : photographie histoire : Histoire société Numéro 1 2017 [texte imprimé] / JOSCHKE, Christian, Auteur ; LUGON, Olivier, Auteur . - Paris (France) : Macula, 2017 . - 230p. : couv. coul.illu.coul.noir&blanc ; 28 cm.
ISBN : 978-2-86589-094-1 : 29 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Musée Index. décimale : 779.092 Photographie, recueils de Photographies de Personnes dont l'Activité est reliée au Sujet Biographies Professionnelles Note de contenu : Transbordeur : photographie histoire société. n° 1, Musées de photographies documentaires
Responsable(s) : Estelle Sohier, Olivier Lugon, Anne Lacoste
Une nouvelle revue annuelle consacrée à l'histoire de la photographie qui s'adresse aux lecteurs intéressés par la culture de l'image sous tous ses aspects. Le présent numéro propose une quinzaine d'articles autour des musées de photographies documentaires avec une description et une analyse de leurs fonds. ©Electre 2017
La diffusion de la photographie, l’invention du cinéma et le développement d'appareils à enregistrer le son ont permis la création d’un volume considérable d'images fixes, d'images animées et d'enregistrements sonores à travers le monde à la fin du XIXe siècle. Différentes institutions ont alors été fondées pour collecter et archiver ces matériaux afin de garder des traces visuelles et sonores de l'histoire, de la géographie et des phénomènes sociaux observés à un niveau local, national ou mondial. Ce numéro revient sur ce bouillonnement – sur ses acteurs, ses réseaux, sur leurs visées scientifiques, éducatives, patrimoniales et politiques, ainsi que sur les nouvelles façons de penser l’archive, les collections et le musée qu’ils mirent en place.
Transbordeur est une revue d’histoire de la photographie. Elle s’adresse à tous ceux qui sont intéressés par les images, leur histoire, leur sociologie, leur évolution technique, leurs significations et matérialités multiples, leur rapport au temps et à l’histoire, leur circulation ; à tous ceux qui veulent comprendre le monde contemporain à travers l’histoire de la culture ; à tous ceux qui jettent un regard critique et curieux sur les phénomènes visuels qui les entourent. Plutôt que d’approcher la photographie d’un point de vue strictement esthétique, la revue Transbordeur a pour ambition de montrer sa place dans toutes les activités de la société, d’analyser comment elle a transformé en profondeur notre rapport au monde. La photographie s’est imposée en effet dans l’école, la science, l’art, l’information, le commerce, la politique, l’industrie, la guerre, les transports, l’espace privé et public. Elle s’est étendue au livre et à la presse, à la scénographie d'exposition et au cinéma, à la production des savoirs, à la prose et à la poésie. Ce sont tous ces aspects de notre culture de l’image qu’il s’agit de comprendre et d’analyser.
Le présent numéro de Transbordeur regroupe une quinzaine d’articles composant un volume de 236 pages richement illustré. Il est divisé en quatre sections : un dossier thématique – Musées de photographies documentaires – regroupant huit études ; une section « collections » où sont décrits et analysés succinctement des fonds photographiques, faisant une large part aux archives et musées ; une sélection d’articles libres (varia), faisant une large place aux traductions de textes de chercheurs internationaux ; une section « lectures », consacrée à des comptes rendus d’ouvrages.
Le titre de notre revue évoque le passage entre les rives, la traversée des frontières disciplinaires comme nationales. Il renvoie au pont transbordeur de Marseille, perçu par l’avant-garde des années 1920 tout à la fois comme un produit de la technique, un instrument de vision et un objet d’expérimentations photographiques. L’imaginaire de la mobilité et du décloisonnement qu’il mobilisait a pu devenir aussi un programme pour l’écriture même de l’histoire des images et des infrastructures techniques, projet qui porte également cette nouvelle revue.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
