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Détail de l'indexation
704 : Caractères particuliers
704;9421 Sujets Particuliers des Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Corps Humain - Nus
704.03 Des groupes raciaux, ethniques, nationaux : ajouter les notations de la Table 5 : art arabe 704.039 27
704.039 915 - Aborigènes d'Australie Peuple autochtone de l'Australie et de la Tasmanie
704.0408 Arts - Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Caractères Particuliers - Individus Définis par leur État, de santé Physique et Mental.
704.042 Sujets Particuliers des Beaux-arts et Arts Décoratifs - Étude en Relation avec les Femmes.
704.08 Histoire et analyse en relation avec les diverses catégories particulières de personnes
704.082 4 Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Étude en Relation avec des Personnes Malades Mentales et Personnes Handicapés Mentales.
704.083 Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Étude en Relation avec les Jeunes.
704.087 4 Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Études en Relation avec des Personnes Malades Mentales et Personnes Handicapés Mentales.
704.092 Sujets Particuliers des Beaux-Arts et Arts Décoratifs- Autobiographie
704.3 Beaux-Arts et Arts Décoratif - Histoire et Analyse en Relation avec les Groupes Ethniques et Nationaux.
704.9 Iconographie
704.901 Beaux arts et arts décoratifs - Iconographie - Philosophie et théorie
704.94 Différents sujets des recueils iconographiques
704.942 Personnes humaines
704.942 1 Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Thème des Nus;
704.942 5 Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Thème des Enfants.
704.942.8
704.942.8. Érotisme Pornographie
704.9422 Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Thèmes des Corps Drapés
704.9428 Beaux-Arts at Arts Décoratifs - Caractères Particuliers - Thème de l'Érotisme
704.943 Natures vivantes et natures mortes
704.9435 Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Thème de la Nature Morte.
704.9436 Sujets Particuliers des Beaux-Arts et Arts Décoratifs - Thème des Paysages
704.944 Sujets architecturaux et paysages urbains
704.945 Sujets abstraits : classer à 709.04052
704.946 Symbolisme et allégorie
704.947 Sujets mythologiques et légendaires
704.947 (Sujets mythologiques et légendaires)
704.948 Sujets religieux
704.948 2 Iconographie - Religion Christianisme - Icônes, images pieuses, ex-voto
704.949 Autres sujets
704.949 33 Beaux-Art et Art Décoratif - Thème de l'Économie Politique.
704.949 52312 Beaux-arts et arts décoratifs - Thème de la cosmogonie
704.949 91 Beaux-Arts et Arts décoratifs. Thèmes de la Géographie et des Voyages.Ouvrages de la bibliothèque en indexation 704
Affiner la recherche Interroger des sources externesFabrice Hyber à l'Institut Pasteur / ROUSSEAU, Pascal
Titre : Fabrice Hyber à l'Institut Pasteur Type de document : texte imprimé Auteurs : ROUSSEAU, Pascal, Commissaire d'exposition ; Alice DAUTRY, Préfacier, etc. ; Olivier SCHWARTZ, Auteur de l'envoi Année de publication : 2010 Importance : 79 pages Présentation : Couv. coul. et Ill. coul. et N&B Format : 27 cm Prix : Don de Frédéric Vaesen Note générale : L'activité et la pensée artistique de Fabrice Hyber, qui se définit comme un artiste quantique, sont constamment traversées par les notions de mutation et de transformation. De formation scientifique avant d'entrer à l'Ecole des Beaux-Arts de Nantes, l'artiste conçoit son œuvre sous la forme d'un gigantesque rhizome qui se développe sur un principe d'échos. Partant invariablement de la pratique du dessin et de la peinture, il investit tous les modes d'expression et diffuse sans cesse son travail d'un médium à l'autre : « Peu importe la matérialité de l’œuvre, seule compte sa capacité à déclencher des comportements » .
On voit dans ses toiles des formes cellulaires, des arbres aux multiples ramifications, des êtres hybrides, des flèches suggérant un recyclage infini. Fasciné par le mode de fonctionnement viral Fabrice Hyber, dès les années 1980, préludait à notre mode de communication en réseaux – pour le passage à l'an 2000, il se voit confier l'Arc de Triomphe où il lance le site « inconnu.net, l'Encyclopédie de l'inconnu » : «Chacune de vos questions en amènera une autre. Cette arborescence nous fera tous avancer dans la même direction: vers l'inconnu.»
Interférences, interactions, influences sur les comportements...sont au cœur de sa démarche. Sa manière de procéder à géométrie variable s'enrichit chaque fois d'un dialogue avec de multiples disciplines (de la physique aux neurosciences, de l'astronomie à la phytothérapie...) pour renvoyer le spectateur/acteur à un chantier plus vaste.Langues : Français (fre) Mots-clés : 'art et science' 'fabrice ' hyber' 'pasteur' 'hypothèse' Index. décimale : 704 Caractères particuliers Résumé : Né en 1961 à Luçon (France). Vit à Paris. L’ensemble de l’œuvre de Fabrice Hyber est conçue sous la forme d’un gigantesque rhizome qui se développe sur un principe d’échos. En procédant par accumulations, hybridations, mutations l’artiste opère de constants glissements entre des domaines extrêmement divers. Chaque œuvre n’est qu’une étape intermédiaire et évolutive de ce « work in progress » qui se répand comme une prolifération de la pensée, établissant des liens et des échanges qui donnent ensuite lieu à d’autres articulations. « Prothèse mentale qui prolonge la pensée par le corps » ou « entreprise mettant en réseau des individus, des idées et des savoir-faire », son œuvre répond à de multiples définitions.
Note de contenu : art et science
Fabrice Hyber, Pasteur' Spirit, Institut Pasteur, Paris, 9-22 juillet 2010
Exposer dans un haut lieu de la recherche scientifique, n'est-ce pas une drôle d'idée ? En 2001 déjà, Fabrice Hyber avait montré son intérêt pour la recherche médicale en participant à la création d'un lieu de mémoire sur le sida. Le vaste ensemble de céramiques implanté dans le parc de la Villette à Paris y est encore visible. Pour l'Institut Pasteur, le but était de lancer l'opération Campus philanthropes afin d'accueillir de nouveaux donateurs prêts à aider la recherche, notamment en matière de lutte contre le cancer, les maladies infectieuses (le SRAS et le Chikungunya) et les pathologies neurodégéné- ratives liées au vieillissement.
Pour l'artiste et le commissaire (Pascal Rousseau), le pari était difficile, voire périlleux. Monter une exposition et produire un catalogue pour un institut dont l'accès est normalement réservé aux spécialistes, cela supposait une forte capacité à convaincre de nouveaux partenaires. Le résultat est à la hauteur des enjeux. À l'intérieur du campus, quatorze lieux différents ont été investis : après Pousse Pousse, vidéo-surveillance placée à l'accueil, les dessins programmatiques de la Palissade longent le centre de biologie ; sur le parvis, une benne recueille les morceaux du futur Savon du savant – allusion aux obsessions hygiénistes de Pasteur, mais aussi au Plus Gros Savon du monde (1991). À lui seul, le centre d'information scientifique accueille trois installations : POF 73 GIGOGNES (1997-2010), destinée à tester ses propres capacités à empiler des récipients sur le modèle du « sarcophage immortel », Phantom Pommery (du nom d'un des sponsors), et surtout l'imposant mural de Pasteur' Spirit, constitué d'un ensemble de tableaux peints à l'huile, écrits au fusain et fixés à la résine époxy. Suspendu à l'auditorium, le Grand Déplié (2010), bronze rouge de sept mètres de haut, évoque un « cerveau-estomac-intestin » déroulé, tandis que, plus loin, un dessin de Crâne occulte les fenêtres d'un important laboratoire. Bien nommée, la Peinture homéopathique n° 29, l'avant-réel (2010) nous introduit dans un univers poétique, où les dessins entretiennent une forte relation avec les mots écrits sur le tableau (« les ondes, les vibrations, les enregistrements, la mémoire », « la téléportation » « la fabrication du paysage pour les mythes »). Elle s'inscrit parfaitement dans le « parcours labyrinthique » d'une pensée qui prolifère par hypothèses et par associations d'idées, à partir de motifs très autobiographiques.
D'ailleurs, à l'est, la serre qui recèle trois corps humains Mutants (1989-2010), puis le pavillon Émile-Roux semblent contaminés par la présence de l'Homme de Bessines (1989) et de Ted Hyber (2010). Au fond du bâtiment social envahi de prototypes bizarres disposés sur des tables (« estomacs bouteilles », « gigognes tranchées », « homme de terre », « balance équilibre », « poterie paléophone »), trois autres autoportraits logés dans des aquariums confèrent un caractère très métaphorique au Labo-Atelier (1990-2010). Une fois de plus, Hyber atteint son but : réaliser une œuvre « ouverte » qui questionne nos modes de pensée, établir un rapport de « lien » et de « friction » entre des formes anciennes et de nouvelles recherches conceptuelles.
Carole BoulbèsFabrice Hyber à l'Institut Pasteur [texte imprimé] / ROUSSEAU, Pascal, Commissaire d'exposition ; Alice DAUTRY, Préfacier, etc. ; Olivier SCHWARTZ, Auteur de l'envoi . - 2010 . - 79 pages : Couv. coul. et Ill. coul. et N&B ; 27 cm.
Don de Frédéric Vaesen
L'activité et la pensée artistique de Fabrice Hyber, qui se définit comme un artiste quantique, sont constamment traversées par les notions de mutation et de transformation. De formation scientifique avant d'entrer à l'Ecole des Beaux-Arts de Nantes, l'artiste conçoit son œuvre sous la forme d'un gigantesque rhizome qui se développe sur un principe d'échos. Partant invariablement de la pratique du dessin et de la peinture, il investit tous les modes d'expression et diffuse sans cesse son travail d'un médium à l'autre : « Peu importe la matérialité de l’œuvre, seule compte sa capacité à déclencher des comportements » .
On voit dans ses toiles des formes cellulaires, des arbres aux multiples ramifications, des êtres hybrides, des flèches suggérant un recyclage infini. Fasciné par le mode de fonctionnement viral Fabrice Hyber, dès les années 1980, préludait à notre mode de communication en réseaux – pour le passage à l'an 2000, il se voit confier l'Arc de Triomphe où il lance le site « inconnu.net, l'Encyclopédie de l'inconnu » : «Chacune de vos questions en amènera une autre. Cette arborescence nous fera tous avancer dans la même direction: vers l'inconnu.»
Interférences, interactions, influences sur les comportements...sont au cœur de sa démarche. Sa manière de procéder à géométrie variable s'enrichit chaque fois d'un dialogue avec de multiples disciplines (de la physique aux neurosciences, de l'astronomie à la phytothérapie...) pour renvoyer le spectateur/acteur à un chantier plus vaste.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : 'art et science' 'fabrice ' hyber' 'pasteur' 'hypothèse' Index. décimale : 704 Caractères particuliers Résumé : Né en 1961 à Luçon (France). Vit à Paris. L’ensemble de l’œuvre de Fabrice Hyber est conçue sous la forme d’un gigantesque rhizome qui se développe sur un principe d’échos. En procédant par accumulations, hybridations, mutations l’artiste opère de constants glissements entre des domaines extrêmement divers. Chaque œuvre n’est qu’une étape intermédiaire et évolutive de ce « work in progress » qui se répand comme une prolifération de la pensée, établissant des liens et des échanges qui donnent ensuite lieu à d’autres articulations. « Prothèse mentale qui prolonge la pensée par le corps » ou « entreprise mettant en réseau des individus, des idées et des savoir-faire », son œuvre répond à de multiples définitions.
Note de contenu : art et science
Fabrice Hyber, Pasteur' Spirit, Institut Pasteur, Paris, 9-22 juillet 2010
Exposer dans un haut lieu de la recherche scientifique, n'est-ce pas une drôle d'idée ? En 2001 déjà, Fabrice Hyber avait montré son intérêt pour la recherche médicale en participant à la création d'un lieu de mémoire sur le sida. Le vaste ensemble de céramiques implanté dans le parc de la Villette à Paris y est encore visible. Pour l'Institut Pasteur, le but était de lancer l'opération Campus philanthropes afin d'accueillir de nouveaux donateurs prêts à aider la recherche, notamment en matière de lutte contre le cancer, les maladies infectieuses (le SRAS et le Chikungunya) et les pathologies neurodégéné- ratives liées au vieillissement.
Pour l'artiste et le commissaire (Pascal Rousseau), le pari était difficile, voire périlleux. Monter une exposition et produire un catalogue pour un institut dont l'accès est normalement réservé aux spécialistes, cela supposait une forte capacité à convaincre de nouveaux partenaires. Le résultat est à la hauteur des enjeux. À l'intérieur du campus, quatorze lieux différents ont été investis : après Pousse Pousse, vidéo-surveillance placée à l'accueil, les dessins programmatiques de la Palissade longent le centre de biologie ; sur le parvis, une benne recueille les morceaux du futur Savon du savant – allusion aux obsessions hygiénistes de Pasteur, mais aussi au Plus Gros Savon du monde (1991). À lui seul, le centre d'information scientifique accueille trois installations : POF 73 GIGOGNES (1997-2010), destinée à tester ses propres capacités à empiler des récipients sur le modèle du « sarcophage immortel », Phantom Pommery (du nom d'un des sponsors), et surtout l'imposant mural de Pasteur' Spirit, constitué d'un ensemble de tableaux peints à l'huile, écrits au fusain et fixés à la résine époxy. Suspendu à l'auditorium, le Grand Déplié (2010), bronze rouge de sept mètres de haut, évoque un « cerveau-estomac-intestin » déroulé, tandis que, plus loin, un dessin de Crâne occulte les fenêtres d'un important laboratoire. Bien nommée, la Peinture homéopathique n° 29, l'avant-réel (2010) nous introduit dans un univers poétique, où les dessins entretiennent une forte relation avec les mots écrits sur le tableau (« les ondes, les vibrations, les enregistrements, la mémoire », « la téléportation » « la fabrication du paysage pour les mythes »). Elle s'inscrit parfaitement dans le « parcours labyrinthique » d'une pensée qui prolifère par hypothèses et par associations d'idées, à partir de motifs très autobiographiques.
D'ailleurs, à l'est, la serre qui recèle trois corps humains Mutants (1989-2010), puis le pavillon Émile-Roux semblent contaminés par la présence de l'Homme de Bessines (1989) et de Ted Hyber (2010). Au fond du bâtiment social envahi de prototypes bizarres disposés sur des tables (« estomacs bouteilles », « gigognes tranchées », « homme de terre », « balance équilibre », « poterie paléophone »), trois autres autoportraits logés dans des aquariums confèrent un caractère très métaphorique au Labo-Atelier (1990-2010). Une fois de plus, Hyber atteint son but : réaliser une œuvre « ouverte » qui questionne nos modes de pensée, établir un rapport de « lien » et de « friction » entre des formes anciennes et de nouvelles recherches conceptuelles.
Carole BoulbèsExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Images de l'exil Type de document : texte imprimé Auteurs : FRÉCHURET, Maurice, Auteur Editeur : Dijon [France] : Les presses du réel Année de publication : 2021 Collection : Collection Oeuvres en Sociétés Importance : 216 p. Présentation : ill. N&B et coul. Format : 17 x 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-378-96231-9 Prix : 25,00 € Note générale : Les images de l'exil, de la fuite, de l'errance et de l'exclusion dans l'histoire de l'art, de la peinture classique à la production la plus contemporaine. Langues : Français (fre) Catégories : Etude historique, géographique, relative à des personnes des Beaux-Arts et Arts décoratifs Mots-clés : récits, terreur, légendes, errance, exil, fuite, réfugiés, exclusion, histoire de l'art, Moyen Âge, photographie, images d'actualité, photographie documentaire, sociale, politique, migration, migrant, nomade Index. décimale : 704 Caractères particuliers Résumé : Venues de très loin, certaines images ont durablement façonné notre imaginaire : celles de l'exilé, du réfugié ou encore du migrant, participent de cette structuration et font ainsi partie de notre patrimoine mental. Leur diffusion fut assurée par les contes et les légendes, par les chants, les prières et les comptines mais aussi par des représentations visuelles qui, au fil du temps, en ont précisé les contours. Les religions ont fourni les récits nécessaires pour que s'édifie une puissante iconographie de l'exil. Adam et Ève chassés du Paradis, La Fuite en Égypte, L'Exode, sont autant d'exemples que Duccio, Giotto, Masaccio ou Fra Angelico… vont peindre sur les murs des églises ou des monastères.
Dans la folle accélération qui caractérise les temps modernes, émerge une iconographie considérable de la fuite, de l'errance et de l'exclusion, provoquées par les guerres, les régimes de terreur ou la pénurie. Les peintres et les photographes, de Marc Chagall à Robert Capa, s'emparent du sujet et accueillent dans leurs œuvres ces « rayés de l'histoire » au destin aussi incertain qu'éprouvant. Les vidéos et les installations de nombreux artistes contemporains interrogent très opportunément aujourd'hui un phénomène qui ne cesse de prendre de l'ampleur. Mona Hatoum, Francis Alÿs, Kimsooja, Adrian Paci, Mohamed Bourouissa, Barthélémy Toguo, Zineb Sedira… et bien d'autres encore, produisent des œuvres riches de sens dans lesquelles les notions de frontières et d'identité font l'objet d'un traitement qui peut fluctuer entre le documentaire et le récit fictionnel et poétique.Note de contenu : SOMMAIRE
Introduction — p. 5
Ils surent qu'ils étaient nus — p. 13
Fuir le massacre — p. 25
En marche vers le pays où coulent le lait et le miel — p. 39
À la croisée des chemins — p. 45
Marcher dans l'éternité — p. 53
Proscrits — p. 69
Rendre compte — p. 79
À la frontière — p. 101
Lignes de démarcation — p. 109
De la plume à l'écran — p. 187
Conclusion ? — p. 197
Copyrights — p. 199
Index — p. 205
Remerciements — p. 213En ligne : https://www.lespressesdureel.com/ouvrage.php?id=8551 Images de l'exil [texte imprimé] / FRÉCHURET, Maurice, Auteur . - Dijon (France) : Les presses du réel, 2021 . - 216 p. : ill. N&B et coul. ; 17 x 24 cm. - (Collection Oeuvres en Sociétés) .
ISBN : 978-2-378-96231-9 : 25,00 €
Les images de l'exil, de la fuite, de l'errance et de l'exclusion dans l'histoire de l'art, de la peinture classique à la production la plus contemporaine.
Langues : Français (fre)
Catégories : Etude historique, géographique, relative à des personnes des Beaux-Arts et Arts décoratifs Mots-clés : récits, terreur, légendes, errance, exil, fuite, réfugiés, exclusion, histoire de l'art, Moyen Âge, photographie, images d'actualité, photographie documentaire, sociale, politique, migration, migrant, nomade Index. décimale : 704 Caractères particuliers Résumé : Venues de très loin, certaines images ont durablement façonné notre imaginaire : celles de l'exilé, du réfugié ou encore du migrant, participent de cette structuration et font ainsi partie de notre patrimoine mental. Leur diffusion fut assurée par les contes et les légendes, par les chants, les prières et les comptines mais aussi par des représentations visuelles qui, au fil du temps, en ont précisé les contours. Les religions ont fourni les récits nécessaires pour que s'édifie une puissante iconographie de l'exil. Adam et Ève chassés du Paradis, La Fuite en Égypte, L'Exode, sont autant d'exemples que Duccio, Giotto, Masaccio ou Fra Angelico… vont peindre sur les murs des églises ou des monastères.
Dans la folle accélération qui caractérise les temps modernes, émerge une iconographie considérable de la fuite, de l'errance et de l'exclusion, provoquées par les guerres, les régimes de terreur ou la pénurie. Les peintres et les photographes, de Marc Chagall à Robert Capa, s'emparent du sujet et accueillent dans leurs œuvres ces « rayés de l'histoire » au destin aussi incertain qu'éprouvant. Les vidéos et les installations de nombreux artistes contemporains interrogent très opportunément aujourd'hui un phénomène qui ne cesse de prendre de l'ampleur. Mona Hatoum, Francis Alÿs, Kimsooja, Adrian Paci, Mohamed Bourouissa, Barthélémy Toguo, Zineb Sedira… et bien d'autres encore, produisent des œuvres riches de sens dans lesquelles les notions de frontières et d'identité font l'objet d'un traitement qui peut fluctuer entre le documentaire et le récit fictionnel et poétique.Note de contenu : SOMMAIRE
Introduction — p. 5
Ils surent qu'ils étaient nus — p. 13
Fuir le massacre — p. 25
En marche vers le pays où coulent le lait et le miel — p. 39
À la croisée des chemins — p. 45
Marcher dans l'éternité — p. 53
Proscrits — p. 69
Rendre compte — p. 79
À la frontière — p. 101
Lignes de démarcation — p. 109
De la plume à l'écran — p. 187
Conclusion ? — p. 197
Copyrights — p. 199
Index — p. 205
Remerciements — p. 213En ligne : https://www.lespressesdureel.com/ouvrage.php?id=8551 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire ONS / Collectif
Titre : ONS : Un modèle por les collaborations possibles entre art et science Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : Paris [France] : École Nationale Supérieure d'Arts de Paris-Cergy Année de publication : 2014 Importance : 319 p. Présentation : ill. coul. et N&B Format : 24,4 cm ISBN/ISSN/EAN : 0000000002854 Langues : Français (fre) Catégories : Études et Enseignements : Ecoles d'Arts Mots-clés : 'art et science' 'théorie' 'oeuvres' 'art' Index. décimale : 704 Caractères particuliers Résumé : I : Introductions sur art et science p.5.
II : ONS, un modèle pour des collaborations possibles entre art et science : intentions, méthodologies p.95
III ONS à l'école Nationale Supérieure d'Arts de Paris Cergy p.115.
Inclus l'exposition YGREC en p. 239.Note de contenu : Comment penser une rencontre art et science ? Ce sont deux approches différentes de la vérité : l’œuvre d’art est un « bloc de sensations », la science propose des solutions, fournit des hypothèses explicatives au monde des perceptions. Le physicien Jean-Marc Lévy- Leblond suggère qu’art et science se retrouvent lors de « brèves rencontres », mais ne peuvent s’unir tant le fossé entre ces disciplines semble s’être creusé. Ces rencontres sont des événements à analyser plus en détails ; elles nécessitent en outre un « entretien infini », le soin que l’on prend pour conserver les choses et la conversation, selon l’expression de Maurice Blanchot. Ces questionnements ont été explorés dans un programme de recherche mené à l’ENSAPC et dont ONS, pour « Objet non standard », est le fruit. « Non-standard » comme l’opposé d’un modèle d’excellence ; « objet » pour sa dimension matérielle et, surtout, dans le sens qu’on lui connaît dans le domaine du droit – c’est-à-dire une des conditions pour la formation d'un contrat. Car le but d’une telle plate-forme est bien d’imaginer et d’établir de nouveaux contrats ou de nouvelles conventions souples entre étudiants et chercheurs, artistes et scientifiques. Comme le montre cet ouvrage qui mêle productions théoriques et plastiques, penser la recherche et, en parallèle, ses modes et ses codes de représentation, sa visibilité, force l’ensemble des artistes-chercheurs à changer leurs habitudes de travail, et permet d’expérimenter d’autres comportements et d’autres territoires « non- standards ». Dans le même temps, le processus permet, en travaillant l’union, de tenter de penser la différence entre un corps banal et un corps de vérité et, en s’appuyant sur la notion d’objet-frontière, de chercher à mettre en œuvre un processus collaboratif où les deux disciplines puissent trouver chacune leur chemin de vérité.
ONS : Un modèle por les collaborations possibles entre art et science [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - Paris (France) : École Nationale Supérieure d'Arts de Paris-Cergy, 2014 . - 319 p. : ill. coul. et N&B ; 24,4 cm.
ISSN : 0000000002854
Langues : Français (fre)
Catégories : Études et Enseignements : Ecoles d'Arts Mots-clés : 'art et science' 'théorie' 'oeuvres' 'art' Index. décimale : 704 Caractères particuliers Résumé : I : Introductions sur art et science p.5.
II : ONS, un modèle pour des collaborations possibles entre art et science : intentions, méthodologies p.95
III ONS à l'école Nationale Supérieure d'Arts de Paris Cergy p.115.
Inclus l'exposition YGREC en p. 239.Note de contenu : Comment penser une rencontre art et science ? Ce sont deux approches différentes de la vérité : l’œuvre d’art est un « bloc de sensations », la science propose des solutions, fournit des hypothèses explicatives au monde des perceptions. Le physicien Jean-Marc Lévy- Leblond suggère qu’art et science se retrouvent lors de « brèves rencontres », mais ne peuvent s’unir tant le fossé entre ces disciplines semble s’être creusé. Ces rencontres sont des événements à analyser plus en détails ; elles nécessitent en outre un « entretien infini », le soin que l’on prend pour conserver les choses et la conversation, selon l’expression de Maurice Blanchot. Ces questionnements ont été explorés dans un programme de recherche mené à l’ENSAPC et dont ONS, pour « Objet non standard », est le fruit. « Non-standard » comme l’opposé d’un modèle d’excellence ; « objet » pour sa dimension matérielle et, surtout, dans le sens qu’on lui connaît dans le domaine du droit – c’est-à-dire une des conditions pour la formation d'un contrat. Car le but d’une telle plate-forme est bien d’imaginer et d’établir de nouveaux contrats ou de nouvelles conventions souples entre étudiants et chercheurs, artistes et scientifiques. Comme le montre cet ouvrage qui mêle productions théoriques et plastiques, penser la recherche et, en parallèle, ses modes et ses codes de représentation, sa visibilité, force l’ensemble des artistes-chercheurs à changer leurs habitudes de travail, et permet d’expérimenter d’autres comportements et d’autres territoires « non- standards ». Dans le même temps, le processus permet, en travaillant l’union, de tenter de penser la différence entre un corps banal et un corps de vérité et, en s’appuyant sur la notion d’objet-frontière, de chercher à mettre en œuvre un processus collaboratif où les deux disciplines puissent trouver chacune leur chemin de vérité.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire

