| Titre : | Apprendre à voir. Le point de vue du vivant | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Estelle ZHONG MENGUAL, Auteur | | Editeur : | Arles [France] : Actes Sud | | Année de publication : | 2021 | | Importance : | 256 p. | | Présentation : | ill. en coul. | | Format : | 16,5 x 22,5 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-330-15164-5 | | Prix : | 29,00 € | | Note générale : | A l'égal d'un Baptiste Morizot alliant, sur le terrain, la philosophie et les sciences naturelles pour en dégager de nouvelles manières d'être vivant, Estelle Zhong Mengual œuvre à hybrider l'histoire de l'art et les savoirs naturalistes les plus contemporains.
Apprendre à voir est un livre érudit mais toujours accessible, passionnant, intimiste lorsque l'autrice partage ses émotions devant une fleur ou une mésange, un guide qui brouille les frontières entre musées et forêts, un vadémécum à avoir toujours avec soi pour renouveler notre lien à l'art et à la nature, raviver notre émerveillement et intensifier notre présence au monde. | | Langues : | Français (fre) | | Catégories : | 3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art:Esthétique
| | Mots-clés : | essai, documentaire, art, naturalisme, paysage, nature, histoire de l'art, philosophie, vivant, perspective, écologie, environnement, Philippe Descola, communication, Deep ecology, anthropocène | | Index. décimale : | 704.943 Natures vivantes et natures mortes | | Résumé : | Une forêt ? Un paysage charmant. Un corbeau ? Un sinistre présage. Une rose ? L’être aimé. Le monde vivant est à la fois omniprésent dans notre culture et décidément absent. Car percevoir le vivant comme un décor, un symbole ou un support de nos émotions sont autant de manières de ne pas le voir. Et si nous apprenions à voir le vivant autrement ? Si nous entrions dans un monde réanimé, repeuplé par les points de vue d’autres êtres que nous ? Ce livre se propose d’équiper notre oeil pour saisir le vivant autour de nous comme foisonnant d’histoires immémoriales, de relations invisibles et de significations insoupçonnées. Sur le chemin de cette métamorphose, nous avons pour guides celles et ceux qui ont passé leur vie à apprendre à voir le vivant dans son abondance de signes et de sens : des artistes peintres et des femmes naturalistes du XIXe siècle anglais et américain. Le livre enquête sur leurs arts de l’attention, différents mais complémentaires, qui ont su tisser ensemble savoirs et sensibilité. À travers cette exploration, c’est une autre disponibilité au monde qui fait surface.
Chaque jour est une occasion inouïe et renouvelée d’apprendre à voir. | | Note de contenu : | SOMMAIRE :
8 — Introduction
31 — Partie I : Du décor au monde peuplé : apprendre à voir qu’il y a quelqu’un
33 — Rendre le vivant inévitable. Éléments pour une histoire environnementale de l’art
57 — Des journées entières parmi les vivants. À la rencontre des femmes écrivaines et naturalistes
85 — Partie 2. De l’ennui à l’enquête : apprendre à voir le sens
87 — La fougère qu’un instant je suis devenue
133 — Si le sublime est habitable
179 — Partie 3 : De la séparation à la vie tissée : apprendre à voir l’invisible
181 — L’espace plein entre les corps
207 — Le recours aux fairies
236 — Conclusion |
Apprendre à voir. Le point de vue du vivant [texte imprimé] / Estelle ZHONG MENGUAL, Auteur . - Arles (Place Nina- Berberova, 13200, France) : Actes Sud, 2021 . - 256 p. : ill. en coul. ; 16,5 x 22,5 cm. ISBN : 978-2-330-15164-5 : 29,00 € A l'égal d'un Baptiste Morizot alliant, sur le terrain, la philosophie et les sciences naturelles pour en dégager de nouvelles manières d'être vivant, Estelle Zhong Mengual œuvre à hybrider l'histoire de l'art et les savoirs naturalistes les plus contemporains.
Apprendre à voir est un livre érudit mais toujours accessible, passionnant, intimiste lorsque l'autrice partage ses émotions devant une fleur ou une mésange, un guide qui brouille les frontières entre musées et forêts, un vadémécum à avoir toujours avec soi pour renouveler notre lien à l'art et à la nature, raviver notre émerveillement et intensifier notre présence au monde. Langues : Français ( fre) | Catégories : | 3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art:Esthétique
| | Mots-clés : | essai, documentaire, art, naturalisme, paysage, nature, histoire de l'art, philosophie, vivant, perspective, écologie, environnement, Philippe Descola, communication, Deep ecology, anthropocène | | Index. décimale : | 704.943 Natures vivantes et natures mortes | | Résumé : | Une forêt ? Un paysage charmant. Un corbeau ? Un sinistre présage. Une rose ? L’être aimé. Le monde vivant est à la fois omniprésent dans notre culture et décidément absent. Car percevoir le vivant comme un décor, un symbole ou un support de nos émotions sont autant de manières de ne pas le voir. Et si nous apprenions à voir le vivant autrement ? Si nous entrions dans un monde réanimé, repeuplé par les points de vue d’autres êtres que nous ? Ce livre se propose d’équiper notre oeil pour saisir le vivant autour de nous comme foisonnant d’histoires immémoriales, de relations invisibles et de significations insoupçonnées. Sur le chemin de cette métamorphose, nous avons pour guides celles et ceux qui ont passé leur vie à apprendre à voir le vivant dans son abondance de signes et de sens : des artistes peintres et des femmes naturalistes du XIXe siècle anglais et américain. Le livre enquête sur leurs arts de l’attention, différents mais complémentaires, qui ont su tisser ensemble savoirs et sensibilité. À travers cette exploration, c’est une autre disponibilité au monde qui fait surface.
Chaque jour est une occasion inouïe et renouvelée d’apprendre à voir. | | Note de contenu : | SOMMAIRE :
8 — Introduction
31 — Partie I : Du décor au monde peuplé : apprendre à voir qu’il y a quelqu’un
33 — Rendre le vivant inévitable. Éléments pour une histoire environnementale de l’art
57 — Des journées entières parmi les vivants. À la rencontre des femmes écrivaines et naturalistes
85 — Partie 2. De l’ennui à l’enquête : apprendre à voir le sens
87 — La fougère qu’un instant je suis devenue
133 — Si le sublime est habitable
179 — Partie 3 : De la séparation à la vie tissée : apprendre à voir l’invisible
181 — L’espace plein entre les corps
207 — Le recours aux fairies
236 — Conclusion |
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