| Titre : | Pratiques - Réflexions sur l'art N°10 | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Roselyne MARSAUD PERRODIN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François PERRODIN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; POUIVET, Roger, Auteur ; Reynald DROUHIN, Auteur ; Christian GLOBENSKY, Auteur ; Valérie LAGIER, Auteur ; Brigitte CHARPENTIER, Auteur | | Editeur : | Rennes : Presses universitaires de Rennes | | Année de publication : | 2001 | | Importance : | 112 pages | | Présentation : | Ill. coul et N&B | | Format : | 24 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86847-597-8 | | Prix : | 90 F | | Note générale : | La revue "PRATIQUES, Réflexions sur l'art" propose un recueil de documents destinés a mettre en evidence les enjeux des pratiques artistiques contemporaines, que ces enjeux relevent plus particulièrement du domaine du concept, de la forme plastique ou de la monstration.
Nous pensons en effet que cette articulation est aujourd'hui essentielle dans la mesure ou l'approche analytique, la concretisation et le "faire", la perception et la reception des oeuvres sont plus que jamais en interaction.
Cette approche en trois parties est developpee sous forme de dossiers monographiques ou thematiques dans les sections
"Theorie", "Pratique", et "Mediation",
qui definissent et structurent la revue.
"PRATIQUES" est soutenue par trois institutions en correspondance avec les axes de réflexions de la revue :
l'Ecole des beaux arts de Rennes,
le Laboratoire "Critique et Théorie" de l'Universite Rennes 2,
le Fonds Regional d'Art Contemporain de Bretagne.
Elle est éditée en collaboration avec les
Presses Universitaires de Rennes.
La parution de "PRATIQUES" est semestrielle. | | Langues : | Français (fre) | | Catégories : | Arts Beaux-Arts et arts décoratifs
| | Index. décimale : | 700.1 Philosophie et théorie des arts | | Résumé : |
EDITORIAL
Roselyne Marsaud Perrodin - François Perrodin
Le ton de l’article de Roger Pouivet, dans ce qu’il peut avoir de provocateur, révèle qu’un débat est actuellement nécessaire dans la réflexion sur l’esthétique en France. Ce n’est pas, nous semble-t-il, une simple querelle d’école, même si cet aspect est volontairement mis en évidence dans ce texte. Il s’agirait plutôt d’une volonté de ressourcer le débat, et pour ce faire d’en interroger et d’en diversifier les bases. Le regard que l’on peut porter, aujourd’hui, sur les enjeux de l’esthétique en France est en effet celui d’un lieu calme, où les accords tacites semblent être tellement forts qu’ils ne sont pas interrogés. Nous sommes dans le cas d’un paradigme, c’est à dire que le consensus autour d’un noyau fondateur semble tel qu’il ne peut, ni ne doit être remis en cause. Un paradigme qui semble s’épuiser sans qu’aucune situation de rechange n’apparaisse, ne fédère des énergies, n’introduise à une discussion. Si des données historiques de la structuration de la vie intellectuelle française expliquent cette situation, cela ne peut remettre en cause le fait que les sciences sociales françaises ont rencontré un fort intérêt à l’étranger, et plus particulièrement aux États-Unis depuis une vingtaine d’années, renforçant un débat actif sur les données de l’esthétique. À l’inverse, nous le constatons, aucune remise en question s’est produite chez nous. Ce qui revient à dire que nous sommes restés à l’écart de la richesse des interrogations qui, depuis un quart de siècle, ont enrichi les réflexions sur l’art et ses pratiques dans des milieux plus ouverts que le nôtre, et en particulier dans le cadre de la culture anglo-saxonne.
Nous poursuivons dans la partie Pratique notre investigation des médias numériques. Après le dossier Théorie du numéro 8, c’est aujourd’hui un ensemble d’essais et d’œuvres centré sur des artistes que nous avons souhaité présenter. L’idée est d’interroger ces nouvelles technologies dans des termes maintenant récurrents pour la revue : la place du spectateur, la cohérence des données spécifiques à l’outil dans la formalisation, la logique des référents à cet outil. Nous proposons des approches dont la diversité permet d’introduire à la richesse potentielle de ce médium. L’approche expressionniste de Du Zhenjun, celle cultivée de Christian Globensky ou encore essentiellement analytique de Reynald Drouhin n’ont rien de commun sur le papier ; pas plus que les moyens mis en œuvre, ou les travaux qui en sont les résultantes. Tous trois dessinent une étendue qui, de l’installation à l’image et au réseau, peut nous permettre de mieux appréhender ce territoire encore nouveau des activités humaines. Au-delà de leur utilisation d’un outil commun, ils respectent une logique de l’investigation des relations complexes que cet instrument entretient au contexte qu’il a généré : celui d’une accélération considérable de nos moyens d’échanges. Il s’agit pour chacun, au-delà des approches individuelles, d’interroger ces nouveaux outils dans le contexte prégnant de la culture de l’information, et d’envisager leurs possibles détournements comme propositions artistiques : dans des dispositifs spécifiques et dans des formes particulières.
Le musée des beaux-arts de Rennes et le Frac Bretagne mènent en collaboration étroite, depuis une dizaine d’années, une politique de médiation auprès de leurs publics. Cette tâche propose plusieurs moyens : la création d’une boîte pédagogique, les conférences, les expositions, ou encore les confrontations d’une œuvre contemporaine et d’une œuvre classique. Ces deux institutions ont mis en place, cette année 2000-2001, un cycle de conférences intitulé « L’art et la collection au XXe siècle ». Ce programme a tenté de désigner des questions fondamentales : Quels sont les processus de rassemblements d’œuvres ? Par qui sont-ils créés ? Quels rapports les objets entretiennent-ils entre eux et à la collection ? À partir de quel moment ces ensembles sont-ils reconnus ? De quelle nature peut-être la ligne cohérente qui lie une réunion d’œuvres ? Comment se met-elle en place ? Si de nombreuses structures créent, aujourd’hui, des collections diverses, le premier collectionneur est sans doute l’artiste qui accumule dans son atelier et ses réserves les produits de son travail. Ce fondement de la constitution d’un œuvre peut aussi former le principe même de son projet plastique en rassemblant des objets divers, en créant des œuvres qui évoquent les questions du collectage, de l’exposition et de l’archivage. Certains plasticiens élaborent des musées fictifs, endossant le double rôle d’artiste et de conservateur. Au-delà de ces différentes pratiques, les artistes désirent, assez souvent, vivre avec un ensemble d’objets réalisés par d’autres créateurs. Leurs collections sont le fruit d’échanges d’œuvres, de dons ou d’achats. Elles manifestent leur intérêt pour des cultures plus anciennes, leur admiration pour des aînés ou bien leurs amitiés avec des contemporains. Le collectionneur privé — qu’il soit amateur, mécène, marchand — est aussi un acteur important du monde de l’art avec lequel il entretient un dialogue permanent. Nous avons retenu pour cette publication les conférences de Valérie Lagier, conservatrice au musée des beaux-arts et de Brigitte Charpentier, responsable au Frac. La première traite de figures diverses de collectionneurs qui ont pris des risques à leur époque : d’artistes tels Pablo Picasso ou Jean Dubuffet, de marchands : Daniel-Henri Kahnweiler et Pierre Matisse, de la mécène Peggy Guggenheim ou encore du poète André Breton dont la collection est une œuvre en-soi. La seconde conférence aborde les musées fictions créés par Marcel Duchamp, Broodthaers ou Claes Oldenburg, les œuvres environnementales de Kurt Schwitters, d’El Lissitzky ou récemment celles d’Imi Knoebel ou Franz Erhard Walter et les créations d’artistes qui se sont appropriés les dispositifs et les méthodes de travail du musée des années soixante à nos jours.
Outre le fait que la collection est le moyen premier de médiation de l’art vers les publics, elle communique en tant qu’ensemble des histoires de rencontres révélant parfois des éléments de la personnalité de son initiateur. Nous pouvons envisager le principe accumulateur qui gouverne une collection comme un élément permettant l’ouverture de voies sans cesse renouvelées de perception, d’émotion et de réflexion. Publique, il existe peu de chances pour qu’elle soit arrêtée, au pire elle intègre une autre structure ; privée, elle peut également être donnée aux collections nationales ou reste simplement le témoignage singulier d’un regard et d’une passion pour l’art.
Ce numéro de Pratiques est le dixième. À cette occasion, nous tenons à remercier pour leur soutien constant l’École des beaux-arts de Rennes et le Frac Bretagne, ainsi que toutes les institutions, les lecteurs, les auteurs et les artistes qui, par leur engagement et leur fidélité, ont contribué à la création et à la poursuite de l’existence de ce travail. | | Note de contenu : |
SOMMAIRE :
Editorial
THÉORIE : ESTHÉTIQUES
— Roger Pouivet, « L’esthétique en France aujourd’hui : Un bilan sans perspective » - p. 2
* Comparaison n'est pas raison, mais tout de même...
* L'histoire de la philosophie de l'art et de l'esthétique
* L'histoire de l'art philosophante
* La critique d'art spéculative
* Gérard Genette, nouvel Aristote ?
* L'esthétique et la philosophie comtemporaines
* Adieu à l'esthétique ?
PRATIQUE : PLASTIQUES/NUMÉRIQUES
— François Perrodin « Plastiques/Numériques » - p. 26
— François Perrodin « Formaliser l’implication du spectateur. Notes sur les travaux de Du Zhenjun » - p. 29
— Reynald Drouhin « Des frags » - p. 40
— Christian Globensky « Un homme numérique » - p. 52
MÉDIATION : COLLECTIONS
— Valérie Lagier « Figures de collectionneurs » - p. 66
— Brigitte Charpentier « Musées fictions, musées d’artistes » - p. 84
Présentation des auteurs et des artistes - p. 103
English Summaries - p. 104 | | En ligne : | http://pratiques.online.fr/Pages/Pag_Prat/P10/f_prat10.html |
Pratiques - Réflexions sur l'art N°10 [texte imprimé] / Roselyne MARSAUD PERRODIN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François PERRODIN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; POUIVET, Roger, Auteur ; Reynald DROUHIN, Auteur ; Christian GLOBENSKY, Auteur ; Valérie LAGIER, Auteur ; Brigitte CHARPENTIER, Auteur . - Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2001 . - 112 pages : Ill. coul et N&B ; 24 cm. ISBN : 978-2-86847-597-8 : 90 F La revue "PRATIQUES, Réflexions sur l'art" propose un recueil de documents destinés a mettre en evidence les enjeux des pratiques artistiques contemporaines, que ces enjeux relevent plus particulièrement du domaine du concept, de la forme plastique ou de la monstration.
Nous pensons en effet que cette articulation est aujourd'hui essentielle dans la mesure ou l'approche analytique, la concretisation et le "faire", la perception et la reception des oeuvres sont plus que jamais en interaction.
Cette approche en trois parties est developpee sous forme de dossiers monographiques ou thematiques dans les sections
"Theorie", "Pratique", et "Mediation",
qui definissent et structurent la revue.
"PRATIQUES" est soutenue par trois institutions en correspondance avec les axes de réflexions de la revue :
l'Ecole des beaux arts de Rennes,
le Laboratoire "Critique et Théorie" de l'Universite Rennes 2,
le Fonds Regional d'Art Contemporain de Bretagne.
Elle est éditée en collaboration avec les
Presses Universitaires de Rennes.
La parution de "PRATIQUES" est semestrielle. Langues : Français ( fre) | Catégories : | Arts Beaux-Arts et arts décoratifs
| | Index. décimale : | 700.1 Philosophie et théorie des arts | | Résumé : |
EDITORIAL
Roselyne Marsaud Perrodin - François Perrodin
Le ton de l’article de Roger Pouivet, dans ce qu’il peut avoir de provocateur, révèle qu’un débat est actuellement nécessaire dans la réflexion sur l’esthétique en France. Ce n’est pas, nous semble-t-il, une simple querelle d’école, même si cet aspect est volontairement mis en évidence dans ce texte. Il s’agirait plutôt d’une volonté de ressourcer le débat, et pour ce faire d’en interroger et d’en diversifier les bases. Le regard que l’on peut porter, aujourd’hui, sur les enjeux de l’esthétique en France est en effet celui d’un lieu calme, où les accords tacites semblent être tellement forts qu’ils ne sont pas interrogés. Nous sommes dans le cas d’un paradigme, c’est à dire que le consensus autour d’un noyau fondateur semble tel qu’il ne peut, ni ne doit être remis en cause. Un paradigme qui semble s’épuiser sans qu’aucune situation de rechange n’apparaisse, ne fédère des énergies, n’introduise à une discussion. Si des données historiques de la structuration de la vie intellectuelle française expliquent cette situation, cela ne peut remettre en cause le fait que les sciences sociales françaises ont rencontré un fort intérêt à l’étranger, et plus particulièrement aux États-Unis depuis une vingtaine d’années, renforçant un débat actif sur les données de l’esthétique. À l’inverse, nous le constatons, aucune remise en question s’est produite chez nous. Ce qui revient à dire que nous sommes restés à l’écart de la richesse des interrogations qui, depuis un quart de siècle, ont enrichi les réflexions sur l’art et ses pratiques dans des milieux plus ouverts que le nôtre, et en particulier dans le cadre de la culture anglo-saxonne.
Nous poursuivons dans la partie Pratique notre investigation des médias numériques. Après le dossier Théorie du numéro 8, c’est aujourd’hui un ensemble d’essais et d’œuvres centré sur des artistes que nous avons souhaité présenter. L’idée est d’interroger ces nouvelles technologies dans des termes maintenant récurrents pour la revue : la place du spectateur, la cohérence des données spécifiques à l’outil dans la formalisation, la logique des référents à cet outil. Nous proposons des approches dont la diversité permet d’introduire à la richesse potentielle de ce médium. L’approche expressionniste de Du Zhenjun, celle cultivée de Christian Globensky ou encore essentiellement analytique de Reynald Drouhin n’ont rien de commun sur le papier ; pas plus que les moyens mis en œuvre, ou les travaux qui en sont les résultantes. Tous trois dessinent une étendue qui, de l’installation à l’image et au réseau, peut nous permettre de mieux appréhender ce territoire encore nouveau des activités humaines. Au-delà de leur utilisation d’un outil commun, ils respectent une logique de l’investigation des relations complexes que cet instrument entretient au contexte qu’il a généré : celui d’une accélération considérable de nos moyens d’échanges. Il s’agit pour chacun, au-delà des approches individuelles, d’interroger ces nouveaux outils dans le contexte prégnant de la culture de l’information, et d’envisager leurs possibles détournements comme propositions artistiques : dans des dispositifs spécifiques et dans des formes particulières.
Le musée des beaux-arts de Rennes et le Frac Bretagne mènent en collaboration étroite, depuis une dizaine d’années, une politique de médiation auprès de leurs publics. Cette tâche propose plusieurs moyens : la création d’une boîte pédagogique, les conférences, les expositions, ou encore les confrontations d’une œuvre contemporaine et d’une œuvre classique. Ces deux institutions ont mis en place, cette année 2000-2001, un cycle de conférences intitulé « L’art et la collection au XXe siècle ». Ce programme a tenté de désigner des questions fondamentales : Quels sont les processus de rassemblements d’œuvres ? Par qui sont-ils créés ? Quels rapports les objets entretiennent-ils entre eux et à la collection ? À partir de quel moment ces ensembles sont-ils reconnus ? De quelle nature peut-être la ligne cohérente qui lie une réunion d’œuvres ? Comment se met-elle en place ? Si de nombreuses structures créent, aujourd’hui, des collections diverses, le premier collectionneur est sans doute l’artiste qui accumule dans son atelier et ses réserves les produits de son travail. Ce fondement de la constitution d’un œuvre peut aussi former le principe même de son projet plastique en rassemblant des objets divers, en créant des œuvres qui évoquent les questions du collectage, de l’exposition et de l’archivage. Certains plasticiens élaborent des musées fictifs, endossant le double rôle d’artiste et de conservateur. Au-delà de ces différentes pratiques, les artistes désirent, assez souvent, vivre avec un ensemble d’objets réalisés par d’autres créateurs. Leurs collections sont le fruit d’échanges d’œuvres, de dons ou d’achats. Elles manifestent leur intérêt pour des cultures plus anciennes, leur admiration pour des aînés ou bien leurs amitiés avec des contemporains. Le collectionneur privé — qu’il soit amateur, mécène, marchand — est aussi un acteur important du monde de l’art avec lequel il entretient un dialogue permanent. Nous avons retenu pour cette publication les conférences de Valérie Lagier, conservatrice au musée des beaux-arts et de Brigitte Charpentier, responsable au Frac. La première traite de figures diverses de collectionneurs qui ont pris des risques à leur époque : d’artistes tels Pablo Picasso ou Jean Dubuffet, de marchands : Daniel-Henri Kahnweiler et Pierre Matisse, de la mécène Peggy Guggenheim ou encore du poète André Breton dont la collection est une œuvre en-soi. La seconde conférence aborde les musées fictions créés par Marcel Duchamp, Broodthaers ou Claes Oldenburg, les œuvres environnementales de Kurt Schwitters, d’El Lissitzky ou récemment celles d’Imi Knoebel ou Franz Erhard Walter et les créations d’artistes qui se sont appropriés les dispositifs et les méthodes de travail du musée des années soixante à nos jours.
Outre le fait que la collection est le moyen premier de médiation de l’art vers les publics, elle communique en tant qu’ensemble des histoires de rencontres révélant parfois des éléments de la personnalité de son initiateur. Nous pouvons envisager le principe accumulateur qui gouverne une collection comme un élément permettant l’ouverture de voies sans cesse renouvelées de perception, d’émotion et de réflexion. Publique, il existe peu de chances pour qu’elle soit arrêtée, au pire elle intègre une autre structure ; privée, elle peut également être donnée aux collections nationales ou reste simplement le témoignage singulier d’un regard et d’une passion pour l’art.
Ce numéro de Pratiques est le dixième. À cette occasion, nous tenons à remercier pour leur soutien constant l’École des beaux-arts de Rennes et le Frac Bretagne, ainsi que toutes les institutions, les lecteurs, les auteurs et les artistes qui, par leur engagement et leur fidélité, ont contribué à la création et à la poursuite de l’existence de ce travail. | | Note de contenu : |
SOMMAIRE :
Editorial
THÉORIE : ESTHÉTIQUES
— Roger Pouivet, « L’esthétique en France aujourd’hui : Un bilan sans perspective » - p. 2
* Comparaison n'est pas raison, mais tout de même...
* L'histoire de la philosophie de l'art et de l'esthétique
* L'histoire de l'art philosophante
* La critique d'art spéculative
* Gérard Genette, nouvel Aristote ?
* L'esthétique et la philosophie comtemporaines
* Adieu à l'esthétique ?
PRATIQUE : PLASTIQUES/NUMÉRIQUES
— François Perrodin « Plastiques/Numériques » - p. 26
— François Perrodin « Formaliser l’implication du spectateur. Notes sur les travaux de Du Zhenjun » - p. 29
— Reynald Drouhin « Des frags » - p. 40
— Christian Globensky « Un homme numérique » - p. 52
MÉDIATION : COLLECTIONS
— Valérie Lagier « Figures de collectionneurs » - p. 66
— Brigitte Charpentier « Musées fictions, musées d’artistes » - p. 84
Présentation des auteurs et des artistes - p. 103
English Summaries - p. 104 | | En ligne : | http://pratiques.online.fr/Pages/Pag_Prat/P10/f_prat10.html |
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