| Titre : | Guillaume Bijl : Installations & Compositions | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | CAUTEREN VAN, Philippe, Auteur ; HOLTHOF, Marc, Auteur ; SEYFARTH, Ludwig, Auteur ; BRAMS, Koen, Auteur ; PÜLTAU, Dirk, Auteur ; PEREC, Georges, Auteur | | Editeur : | Köln [Allemagne] : Verlag der Buchhandlung Walther König | | Année de publication : | 2000 | | Importance : | 372 pages | | Présentation : | Ill. en coul et n&b | | Format : | 31 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-3-86560-424-8 | | Note générale : | Artiste autodidacte, Guillaume Bijl (né en 1946 à Anvers, où il vit et travaille) est principalement reconnu pour son approche alternative de l'art conceptuel, sa volonté d'engager directement le spectateur et ses « Installations de Transformation » débutées à la fin des années Depuis 1979, année où Guillaume Bijl décide de transformer une galerie d’art d’Anvers en auto-école, l’artiste est passé maître en reconstitutions minutieuses d’espaces sociaux et commerciaux de la société marchande. Au fil des expositions, des centres d'art, musées ou galeries se sont métamorphosés en clinique psychiatrique, plateau de télévision, casino, magasin de luminaires, laverie automatique, salon de coiffure, friterie, gymnase, supermarché ou salle de billard.
Progressivement, Guillaume Bijl a classifié ses interventions en une typologie détaillée : il distingue dans son œuvre les Installations de transformation où l'espace mue, où l’artiste imbrique "une réalité dans une autre réalité" ; les Installations de situation où l'événementiel installe une dissonance au sein d'un espace ; les Compositions trouvées, ensembles d’objets souvent mis sous vitrine, "natures mortes archéologiques contemporaines" qui introduisent la question du banal ; et enfin, les Sorry Works, assemblages d'objets visant une "extension poétique absurde" de son œuvre. À chaque contexte, l’artiste adapte sa forme d’intervention, car la charge critique frappe bien sûr différemment dans un environnement urbain, une foire d’art contemporain ou un centre d’art. Au plus juste, l’adéquation entre le lieu et l’installation doit faire trembler le réel. | | Langues : | Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) | | Catégories : | 3. Culture Biographie
| | Mots-clés : | 'installation' 'archéologie contemporaine' 'bijl' 'quotidien' 'objets' 'société marchande' 'reconstitutions' 'maquette' 'réalité' 'typologie' 'évolution de l’habitat' 'utopie' 'modernisme' 'civilisation' 'urbanisme' | | Index. décimale : | 750.82 | | Résumé : | Depuis la fin des années 70, Guillaume Bijl explore les limites entre l'art et la réalité. ll puise souvent des éléments banals de la réalité quotidienne et les transmet vers un emplacement inattendu. Ainsi, l'artiste a transformé divers musées, galeries et centres culturels en, par exemple, agence de voyage, supermarché, abri antiatomique, centre d'informations de l'armée, magasin de matelas, commerce de tapis orientaux, agence matrimoniale ou décor de jeu télévisé.
Dans le S.M.A.K., Bijl a la possibilité de retravailler l’entièreté du musée et de présenter une sorte d'amalgame de plusieurs installations. Auparavant, ses œuvres représentaient souvent des interventions isolées aux Biennales et d'autres manifestations artistiques. Le S.M.A.K. rassemble pour la première fois une grande partie de ses installations de transformation (intégrées dans une nouvelle réalisation), les musées touristiques et culturels et une série de 'Sorry's' dans une exposition avec un caractère rétrospectif. En général nous pouvons dire que Bijl visualise de cette façon 'l'archéologie de notre civilisation, aujourd'hui'. |
Guillaume Bijl : Installations & Compositions [texte imprimé] / CAUTEREN VAN, Philippe, Auteur ; HOLTHOF, Marc, Auteur ; SEYFARTH, Ludwig, Auteur ; BRAMS, Koen, Auteur ; PÜLTAU, Dirk, Auteur ; PEREC, Georges, Auteur . - Köln (Allemagne) : Verlag der Buchhandlung Walther König, 2000 . - 372 pages : Ill. en coul et n&b ; 31 cm. ISBN : 978-3-86560-424-8 Artiste autodidacte, Guillaume Bijl (né en 1946 à Anvers, où il vit et travaille) est principalement reconnu pour son approche alternative de l'art conceptuel, sa volonté d'engager directement le spectateur et ses « Installations de Transformation » débutées à la fin des années Depuis 1979, année où Guillaume Bijl décide de transformer une galerie d’art d’Anvers en auto-école, l’artiste est passé maître en reconstitutions minutieuses d’espaces sociaux et commerciaux de la société marchande. Au fil des expositions, des centres d'art, musées ou galeries se sont métamorphosés en clinique psychiatrique, plateau de télévision, casino, magasin de luminaires, laverie automatique, salon de coiffure, friterie, gymnase, supermarché ou salle de billard.
Progressivement, Guillaume Bijl a classifié ses interventions en une typologie détaillée : il distingue dans son œuvre les Installations de transformation où l'espace mue, où l’artiste imbrique "une réalité dans une autre réalité" ; les Installations de situation où l'événementiel installe une dissonance au sein d'un espace ; les Compositions trouvées, ensembles d’objets souvent mis sous vitrine, "natures mortes archéologiques contemporaines" qui introduisent la question du banal ; et enfin, les Sorry Works, assemblages d'objets visant une "extension poétique absurde" de son œuvre. À chaque contexte, l’artiste adapte sa forme d’intervention, car la charge critique frappe bien sûr différemment dans un environnement urbain, une foire d’art contemporain ou un centre d’art. Au plus juste, l’adéquation entre le lieu et l’installation doit faire trembler le réel. Langues : Français ( fre) Langues originales : Allemand ( ger) | Catégories : | 3. Culture Biographie
| | Mots-clés : | 'installation' 'archéologie contemporaine' 'bijl' 'quotidien' 'objets' 'société marchande' 'reconstitutions' 'maquette' 'réalité' 'typologie' 'évolution de l’habitat' 'utopie' 'modernisme' 'civilisation' 'urbanisme' | | Index. décimale : | 750.82 | | Résumé : | Depuis la fin des années 70, Guillaume Bijl explore les limites entre l'art et la réalité. ll puise souvent des éléments banals de la réalité quotidienne et les transmet vers un emplacement inattendu. Ainsi, l'artiste a transformé divers musées, galeries et centres culturels en, par exemple, agence de voyage, supermarché, abri antiatomique, centre d'informations de l'armée, magasin de matelas, commerce de tapis orientaux, agence matrimoniale ou décor de jeu télévisé.
Dans le S.M.A.K., Bijl a la possibilité de retravailler l’entièreté du musée et de présenter une sorte d'amalgame de plusieurs installations. Auparavant, ses œuvres représentaient souvent des interventions isolées aux Biennales et d'autres manifestations artistiques. Le S.M.A.K. rassemble pour la première fois une grande partie de ses installations de transformation (intégrées dans une nouvelle réalisation), les musées touristiques et culturels et une série de 'Sorry's' dans une exposition avec un caractère rétrospectif. En général nous pouvons dire que Bijl visualise de cette façon 'l'archéologie de notre civilisation, aujourd'hui'. |
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