| Titre : | CHANTS DE LA TERRE NATALE | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Friedrich HOLDERLIN, Auteur ; Ludwig LEHNEN, Traducteur | | Editeur : | Paris [France] : Éditions La Différence | | Année de publication : | 2014 | | Collection : | Orphéee | | Importance : | 127 p. | | Format : | 16,2 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7291-2067-2 | | Prix : | Don | | Langues : | Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) | | Catégories : | Littératures des langues germaniques Littérature allemande
| | Index. décimale : | 831.6 Poésie allemande - 18è siècle | | Résumé : | Sa jeunesse rencontre des temps tourmentés. Réchappé du pastorat, le jeune idéaliste cherche dans l’exaltation spirituelle des idées révolutionnaires et l’idéal d’un modèle d’Harmonie antique dont il célèbre, dans une langue magnifique, les paysages et les rêves. Il est, sans que la plupart ne l’admettent parmi eux, le contemporain des grands romantiques allemands, dont Schiller, qui publiera son élégie annonciatrice, « La Grèce ». Hölderlin va se laisser envahir par une antiquité rêvée, en opposition aux réalités qu’il lui faut affronter. Vision splendide mais fracturée du divin que la réalité heurte sans cesse. Mais sans jamais − du moins avant les poèmes de la déraison − se détacher de sa terre natale, de ses fleuves, de ses montagnes qu’il voit et sait peuplés de divinités vivantes. |
CHANTS DE LA TERRE NATALE [texte imprimé] / Friedrich HOLDERLIN, Auteur ; Ludwig LEHNEN, Traducteur . - Paris (103, rue La Fayette, 75010, France) : Éditions La Différence, 2014 . - 127 p. ; 16,2 cm. - ( Orphéee) . ISBN : 978-2-7291-2067-2 : Don Langues : Français ( fre) Langues originales : Allemand ( ger) | Catégories : | Littératures des langues germaniques Littérature allemande
| | Index. décimale : | 831.6 Poésie allemande - 18è siècle | | Résumé : | Sa jeunesse rencontre des temps tourmentés. Réchappé du pastorat, le jeune idéaliste cherche dans l’exaltation spirituelle des idées révolutionnaires et l’idéal d’un modèle d’Harmonie antique dont il célèbre, dans une langue magnifique, les paysages et les rêves. Il est, sans que la plupart ne l’admettent parmi eux, le contemporain des grands romantiques allemands, dont Schiller, qui publiera son élégie annonciatrice, « La Grèce ». Hölderlin va se laisser envahir par une antiquité rêvée, en opposition aux réalités qu’il lui faut affronter. Vision splendide mais fracturée du divin que la réalité heurte sans cesse. Mais sans jamais − du moins avant les poèmes de la déraison − se détacher de sa terre natale, de ses fleuves, de ses montagnes qu’il voit et sait peuplés de divinités vivantes. |
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