| Titre : | Pédagogie et révolution - Questions de classes et (re)lectures pédagogiques : Grégory Chambat | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Grégory CHAMBAT, Auteur | | Editeur : | Libertalia | | Année de publication : | 2015 | | Importance : | 225p. | | Présentation : | couv. coul.illu.coul.noir&blanc | | Format : | 18 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-918059-56-1 | | Prix : | 10 € | | Langues : | Français (fre) | | Catégories : | 5. Information et communication:5.15 Gestion de l'information
| | Index. décimale : | 370.115 | | Note de contenu : | Cantonné à la seule question des moyens ou englué dans l'artificielle querelle opposant «réac-publicains» et « pédagogistes», le débat autour de l'école est aujourd'hui dans l'impasse. Proposer une relecture des classiques de la pédagogie et questionner leur actualité à la lumière des enjeux présents est une manière de réactiver l'inspiration qui guidait les éducateurs d'hier. De Francisco Ferrer à Jacques Rancière, en passant par Célestin Freinet, Paulo Freire, Pierre Bourdieu, Simone Weil ou Ivan Illich, ce recueil esquisse le bilan d'un siècle de pratiques et de luttes pour une éducation réellement émancipatrice.
Si la postérité a conservé la trace de quelques-unes des figures convoquées ici, elle ne doit pas nous faire oublier que le combat pour une école de la liberté et de l'égalité fut toujours une pratique collective et sociale.
Ce parcours pédagogique emprunte également des chemins oubliés ou plus inattendus : l’apport du syndicalisme révolutionnaire, de Fernand Pelloutier à Albert Thierry ou l’œuvre éducative de la révolution libertaire espagnole. Car, si la postérité a conservé la trace de quelques-unes des figures convoquées ici, elle ne doit pas nous faire oublier que le combat pour une école de la liberté et de l’égalité fut toujours une pratique collective et sociale. Dans le domaine de la pédagogie, comme dans celui de l’action militante, ceux qui savent de quoi ils parlent sont ceux qui font…
Montaigne l’affirmait : « Éduquer, ce n’est pas emplir un vase, c’est allumer un feu »… il est temps de souffler sur les braises !
L’auteur
Enseignant depuis 1995, Grégory Chambat (né en 1974) travaille avec des élèves non-francophones dans un collège de Mantes-la-Ville (78). Membre du collectif d’animation du site et de la revue Questions de classe(s), il a publié L’École des barricades. Vingt-cinq textes pour une autre école (2014), et coécrit, avec Laurence Biberfeld, Apprendre à désobéir, petite histoire de l’école qui résiste (2014). 
Il anime également un blog, « L’école des réac-publicains », qui propose un décryptage des discours réactionnaires sur l’école.
SOMMAIRE :
VERS UNE PEDAGOGIE SOCIALEMENT CRITIQUE
UN MYTHE QUI A LA VIE DURE : L’ECOLE DE FERRY SELON FOUCAMBERT
AUX SOURCES DU SYNDICALISME : NI CURES NI PATRONS NI ETAT
«INSTRUIRE POUR REVOLTER», PELLOUTIER OU LA PEDAGOGIE D’ACTION DIRECTE
ALBERT THIERRY L’HOMME EN PROIE AUX ENFANTS
FRANCISCO FERRER ; UNE ECOLE POUR LA SOCIALE ?
L’ECOLE FAIT SA REVOLUTION
SIMONE WEIL ET LA QUESTION DE L’EDUCATION OUVRIERE
KORCZAK ; L’AUTRE INSURRECTION DE VARSOVIE
UNE SOCIETE SANS ECOLE : IVAN ILLICH
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Pédagogie et révolution - Questions de classes et (re)lectures pédagogiques : Grégory Chambat [texte imprimé] / Grégory CHAMBAT, Auteur . - [S.l.] : Libertalia, 2015 . - 225p. : couv. coul.illu.coul.noir&blanc ; 18 cm. ISBN : 978-2-918059-56-1 : 10 € Langues : Français ( fre) | Catégories : | 5. Information et communication:5.15 Gestion de l'information
| | Index. décimale : | 370.115 | | Note de contenu : | Cantonné à la seule question des moyens ou englué dans l'artificielle querelle opposant «réac-publicains» et « pédagogistes», le débat autour de l'école est aujourd'hui dans l'impasse. Proposer une relecture des classiques de la pédagogie et questionner leur actualité à la lumière des enjeux présents est une manière de réactiver l'inspiration qui guidait les éducateurs d'hier. De Francisco Ferrer à Jacques Rancière, en passant par Célestin Freinet, Paulo Freire, Pierre Bourdieu, Simone Weil ou Ivan Illich, ce recueil esquisse le bilan d'un siècle de pratiques et de luttes pour une éducation réellement émancipatrice.
Si la postérité a conservé la trace de quelques-unes des figures convoquées ici, elle ne doit pas nous faire oublier que le combat pour une école de la liberté et de l'égalité fut toujours une pratique collective et sociale.
Ce parcours pédagogique emprunte également des chemins oubliés ou plus inattendus : l’apport du syndicalisme révolutionnaire, de Fernand Pelloutier à Albert Thierry ou l’œuvre éducative de la révolution libertaire espagnole. Car, si la postérité a conservé la trace de quelques-unes des figures convoquées ici, elle ne doit pas nous faire oublier que le combat pour une école de la liberté et de l’égalité fut toujours une pratique collective et sociale. Dans le domaine de la pédagogie, comme dans celui de l’action militante, ceux qui savent de quoi ils parlent sont ceux qui font…
Montaigne l’affirmait : « Éduquer, ce n’est pas emplir un vase, c’est allumer un feu »… il est temps de souffler sur les braises !
L’auteur
Enseignant depuis 1995, Grégory Chambat (né en 1974) travaille avec des élèves non-francophones dans un collège de Mantes-la-Ville (78). Membre du collectif d’animation du site et de la revue Questions de classe(s), il a publié L’École des barricades. Vingt-cinq textes pour une autre école (2014), et coécrit, avec Laurence Biberfeld, Apprendre à désobéir, petite histoire de l’école qui résiste (2014). 
Il anime également un blog, « L’école des réac-publicains », qui propose un décryptage des discours réactionnaires sur l’école.
SOMMAIRE :
VERS UNE PEDAGOGIE SOCIALEMENT CRITIQUE
UN MYTHE QUI A LA VIE DURE : L’ECOLE DE FERRY SELON FOUCAMBERT
AUX SOURCES DU SYNDICALISME : NI CURES NI PATRONS NI ETAT
«INSTRUIRE POUR REVOLTER», PELLOUTIER OU LA PEDAGOGIE D’ACTION DIRECTE
ALBERT THIERRY L’HOMME EN PROIE AUX ENFANTS
FRANCISCO FERRER ; UNE ECOLE POUR LA SOCIALE ?
L’ECOLE FAIT SA REVOLUTION
SIMONE WEIL ET LA QUESTION DE L’EDUCATION OUVRIERE
KORCZAK ; L’AUTRE INSURRECTION DE VARSOVIE
UNE SOCIETE SANS ECOLE : IVAN ILLICH
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