| Titre : | Art queer - Une théorie freak | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | LORENZ, Renate, Auteur ; Marie-Mathilde Bortolotti, Traducteur | | Editeur : | Paris [France] : Éditions B42 | | Année de publication : | 2018 | | Importance : | 184p. | | Présentation : | couv.coul.Ill. en coul et n&b | | Format : | 22 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-917855-93-5 | | Prix : | 24 € | | Langues : | Français (fre) | | Catégories : | 3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art
| | Mots-clés : | essai, queer, freak, théorie, déconstruction, corps, drag, performance, genre, sida, subjectivités, déviants, sexualité | | Index. décimale : | 700.1 Philosophie et théorie des arts | | Résumé : | Art queer s’intéresse à la façon dont les stratégies de dénormalisation mises en place par les arts visuels peuvent se prolonger par le biais de l’écriture. Dans les trois chapitres de ce livre, les discussions théoriques et artistiques s’associent à la théorie queer, aux études sur la handicap et à la théorie postcoloniale pour définir trois pratiques : le drag radical, le drag transtemporel et le drag abstrait. Une des caractéristiques de l’art queer, tel que le définit Renate Lorenz, est sa possibilité d’agir à travers le temps, désorganisant une chronologie positiviste et se saisissant d’objets historiques par affinité. L’art queer cultive l’anachronisme comme méthode.
En s’appuyant sur le travail de onze artistes, le livre est moins une tentative de relecture de l’histoire de l’art, que la manifestation d’une méthode, que l’auteure nomme drag, qui rendrait apparents des modes d’assemblages, « des connections productives entre le naturel et l’artificiel, l’animé et l’inanimé, tout ce qui permet de produire des connections aux autres et aux choses plutôt que de les représenter. »
Parmi les artistes étudié·e·s figurent notamment Zoe Leonard, Shinique Smith, Jack Smith, Wu Tsang, Ron Vawter, Bob Flanagan, Henrik Olesen, Felix Gonzalez-Torres, Sharon Hayes et Pauline Boudry/Renate Lorenz, dont les œuvres sont reproduites en couleurs dans le livre. | | Note de contenu : |
SOMMAIRE :
Préface - p. 25
Une introduction - p. 31
Prépendice : Épistémologie freak/y - p. 51
I. UN DRAG RADICAL - p. 65
A) Un corps/paquet (Shinique Smith)
B) Travail drag (Ron Vawter)
C) Dédoubler l'incarnation/douleur et douleur (Bob Flanagan et Sheree Rose)
II. DRAG TRANSTEMPOREL - p. 105
A) La chronopolitique du devenir-salomé
B) Parler à l'envers (Henrik Olesen)
C) La beauté de la forme du temps exposée (Jack Smith)
III. DRAG ABSTRAIT - p. 141
A) Une activité dans l'absence (Zoe Leonard)
B) La topographie du désir (Felix Gonzalez-Torres)
C) Reprononcer (Sharon Hayes)
Une fin - p. 167
Appendice : méthodologie - p. 173
Bibliographie - p. 189
Liste des illustrations - p. 197 |
Art queer - Une théorie freak [texte imprimé] / LORENZ, Renate, Auteur ; Marie-Mathilde Bortolotti, Traducteur . - Paris (32, rue de Paradis, France) : Éditions B42, 2018 . - 184p. : couv.coul.Ill. en coul et n&b ; 22 cm. ISBN : 978-2-917855-93-5 : 24 € Langues : Français ( fre) | Catégories : | 3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art
| | Mots-clés : | essai, queer, freak, théorie, déconstruction, corps, drag, performance, genre, sida, subjectivités, déviants, sexualité | | Index. décimale : | 700.1 Philosophie et théorie des arts | | Résumé : | Art queer s’intéresse à la façon dont les stratégies de dénormalisation mises en place par les arts visuels peuvent se prolonger par le biais de l’écriture. Dans les trois chapitres de ce livre, les discussions théoriques et artistiques s’associent à la théorie queer, aux études sur la handicap et à la théorie postcoloniale pour définir trois pratiques : le drag radical, le drag transtemporel et le drag abstrait. Une des caractéristiques de l’art queer, tel que le définit Renate Lorenz, est sa possibilité d’agir à travers le temps, désorganisant une chronologie positiviste et se saisissant d’objets historiques par affinité. L’art queer cultive l’anachronisme comme méthode.
En s’appuyant sur le travail de onze artistes, le livre est moins une tentative de relecture de l’histoire de l’art, que la manifestation d’une méthode, que l’auteure nomme drag, qui rendrait apparents des modes d’assemblages, « des connections productives entre le naturel et l’artificiel, l’animé et l’inanimé, tout ce qui permet de produire des connections aux autres et aux choses plutôt que de les représenter. »
Parmi les artistes étudié·e·s figurent notamment Zoe Leonard, Shinique Smith, Jack Smith, Wu Tsang, Ron Vawter, Bob Flanagan, Henrik Olesen, Felix Gonzalez-Torres, Sharon Hayes et Pauline Boudry/Renate Lorenz, dont les œuvres sont reproduites en couleurs dans le livre. | | Note de contenu : |
SOMMAIRE :
Préface - p. 25
Une introduction - p. 31
Prépendice : Épistémologie freak/y - p. 51
I. UN DRAG RADICAL - p. 65
A) Un corps/paquet (Shinique Smith)
B) Travail drag (Ron Vawter)
C) Dédoubler l'incarnation/douleur et douleur (Bob Flanagan et Sheree Rose)
II. DRAG TRANSTEMPOREL - p. 105
A) La chronopolitique du devenir-salomé
B) Parler à l'envers (Henrik Olesen)
C) La beauté de la forme du temps exposée (Jack Smith)
III. DRAG ABSTRAIT - p. 141
A) Une activité dans l'absence (Zoe Leonard)
B) La topographie du désir (Felix Gonzalez-Torres)
C) Reprononcer (Sharon Hayes)
Une fin - p. 167
Appendice : méthodologie - p. 173
Bibliographie - p. 189
Liste des illustrations - p. 197 |
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