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Collection Milieux
- Editeur : Editions 205
- ISSN : pas d'ISSN
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Titre : Qu’est-ce qu’une image dans l’espace public ? Type de document : texte imprimé Auteurs : PHILIZOT, Vivien, Auteur Editeur : LYON [FRANCE] : Editions 205 Année de publication : 2022 Collection : Milieux Importance : 84 p. Présentation : ill. N&B Format : 10,5 × 16,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-919380-62-6 Prix : 10,00 € Langues : Français (fre) Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
Design d'information Graphisme
Graphisme, illustration, art publicitaireMots-clés : graphisme, design graphique, espace public, urbain, culture visuelle, matérialité, pratiques sociales, arts visuels Index. décimale : 741.6 Graphisme, Illustration, Art publicitaire Résumé : Comme l’a fait remarquer Thierry Paquot, l’espace public se donne habituellement à entendre de deux manières: au singulier, c’est l’espace de discussion ouvert par la pratique démocratique, le lieu du débat et de la confrontation politique; au pluriel, ce sont les espaces physiques et symboliques dans lesquels et par lesquels les publics circulent et communiquent.
La question principale qui oriente les réflexions développées dans cet ouvrage est située précisément à l’intersection de ces deux définitions. Elle s’accompagne de l’hypothèse qu’à cette intersection se tiennent des images, qui jouent un rôle de premier plan dans les pratiques sociales et les situations visuelles dont est fait notre quotidien. Une œuvre d’art dans l’espace urbain, une manifestation parsemée d’affiches, une publicité, un graffiti ou une affiche institutionnelle… Quelles sont les conséquences sur l’espace public et sur le débat démocratique de ces formes visuelles adressées publiquement au regard?
Chercher à savoir ce qu’est une image dans cet espace, c’est avant tout observer ce que font les images dans des environnements qu’elles occupent et qu’elles partagent avec nous. Si les images sont aussi bien insérées dans la trame de nos expériences, c’est qu’elles ont une véritable vie sociale.Note de contenu : SOMMAIRE :
L'auteur - p. 4
L'image à revers. L'a priori critique dans lequel est enfermée l'image - p. 5
Le public, la publicité et la pub - p. 13
Convoquer les absents. Présence, ubiquité, coordination - p. 27
Occuper l'espace et le temps. Attention, spatialisation, prolifération - p. 39
Équiper les collectifs. Information, médiation, investigation - p. 55
Prendre soin des images - p. 65
Index des noms cités - p. 71
Bibliographie - p. 73En ligne : https://www.editions205.fr/products/qu-est-ce-qu-une-image-dans-l-espace-public Qu’est-ce qu’une image dans l’espace public ? [texte imprimé] / PHILIZOT, Vivien, Auteur . - LYON (24 rue commandant Faurax, 69006, FRANCE) : Editions 205, 2022 . - 84 p. : ill. N&B ; 10,5 × 16,5 cm. - (Milieux) .
ISBN : 978-2-919380-62-6 : 10,00 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
Design d'information Graphisme
Graphisme, illustration, art publicitaireMots-clés : graphisme, design graphique, espace public, urbain, culture visuelle, matérialité, pratiques sociales, arts visuels Index. décimale : 741.6 Graphisme, Illustration, Art publicitaire Résumé : Comme l’a fait remarquer Thierry Paquot, l’espace public se donne habituellement à entendre de deux manières: au singulier, c’est l’espace de discussion ouvert par la pratique démocratique, le lieu du débat et de la confrontation politique; au pluriel, ce sont les espaces physiques et symboliques dans lesquels et par lesquels les publics circulent et communiquent.
La question principale qui oriente les réflexions développées dans cet ouvrage est située précisément à l’intersection de ces deux définitions. Elle s’accompagne de l’hypothèse qu’à cette intersection se tiennent des images, qui jouent un rôle de premier plan dans les pratiques sociales et les situations visuelles dont est fait notre quotidien. Une œuvre d’art dans l’espace urbain, une manifestation parsemée d’affiches, une publicité, un graffiti ou une affiche institutionnelle… Quelles sont les conséquences sur l’espace public et sur le débat démocratique de ces formes visuelles adressées publiquement au regard?
Chercher à savoir ce qu’est une image dans cet espace, c’est avant tout observer ce que font les images dans des environnements qu’elles occupent et qu’elles partagent avec nous. Si les images sont aussi bien insérées dans la trame de nos expériences, c’est qu’elles ont une véritable vie sociale.Note de contenu : SOMMAIRE :
L'auteur - p. 4
L'image à revers. L'a priori critique dans lequel est enfermée l'image - p. 5
Le public, la publicité et la pub - p. 13
Convoquer les absents. Présence, ubiquité, coordination - p. 27
Occuper l'espace et le temps. Attention, spatialisation, prolifération - p. 39
Équiper les collectifs. Information, médiation, investigation - p. 55
Prendre soin des images - p. 65
Index des noms cités - p. 71
Bibliographie - p. 73En ligne : https://www.editions205.fr/products/qu-est-ce-qu-une-image-dans-l-espace-public Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : L’affiche a-t-elle un genre ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Vanina PINTER, Auteur Editeur : LYON [FRANCE] : Editions 205 Année de publication : 2022 Collection : Milieux Importance : 84 p. Présentation : ill. N&B et coul. Format : 10,5 × 16,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 6876 Prix : 10,00 € Langues : Français (fre) Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
Graphisme, illustration, art publicitaireMots-clés : graphisme, design graphique, espace public, urbain, culture visuelle, matérialité, pratiques sociales, arts visuels, affiche, genre, femmes, graphiste, homme, épistémologie, Index. décimale : 745.3 Affiches Résumé : Le design graphique s’est construit à travers des préceptes privilégiant l’idée de neutralité. Dans cet idéal, allié à ceux d’objectivité et de fonctionnalité, se lit une prise de conscience: se libérer de certains assujettissements afin d’approcher la composition d’un corps de texte, l’agencement d’un corpus d’images en étant le moins possible soumis à une quelconque domination idéologique. Hiérarchiser l’information, faire image, sans répéter les exclusions de la société.
Le genre affiche s’impose en France vers 1880 avec des corps féminins comme motif principal, promouvant spectacles ou produits. Dans les années soixante, l’affiche comme structure patriarcale interroge. Comment aborder, résoudre la problématique présence des corps humains dans l’affiche, surface reproductible, étendard de la communication de masse dans l’espace public?
Comment l’affiche, écrit informatif, image intrigante, crieuse publique, imprimée ou numérique, affronte-elle les mécanismes du plaisir visuel et les codifications iconographiques liés à la construction et la déconstruction des genres? Que peut-elle: les reproduire en tant que miroir d’une époque? Les intensifier? Les déformer? Peut-elle déjouer, troubler les normes liées au genre? Que veut-elle?Note de contenu : SOMMAIRE :
L'auteur - p. 4
Les débuts : filles de rues - p. 9
Affiches intemporelles : Sois belle et tais-toi - p. 25
Des temps difficiles, des tabliers et du tricot - p. 29
Une affichiste, dangers publics - p. 33
Informer et construire une nouvelle objectivité - p. 41
Au pays de Beauvoir, Cixous, Wittig, Irigaray, Delphy... - p. 47
Consommation et simulacre : dos bleu, seins nus et sucettes - p. 53
Post-68 : donner à voir des corps libres et pensants - p. 61
Troubler dans les recoin du réel - p. 65
L'affiche fait corps avec le corps - p. 71
Index des noms cités - p. 75
Bibliographie - p. 77En ligne : https://www.editions205.fr/products/l-affiche-a-t-elle-un-genre L’affiche a-t-elle un genre ? [texte imprimé] / Vanina PINTER, Auteur . - LYON (24 rue commandant Faurax, 69006, FRANCE) : Editions 205, 2022 . - 84 p. : ill. N&B et coul. ; 10,5 × 16,5 cm. - (Milieux) .
ISSN : 6876 : 10,00 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
Graphisme, illustration, art publicitaireMots-clés : graphisme, design graphique, espace public, urbain, culture visuelle, matérialité, pratiques sociales, arts visuels, affiche, genre, femmes, graphiste, homme, épistémologie, Index. décimale : 745.3 Affiches Résumé : Le design graphique s’est construit à travers des préceptes privilégiant l’idée de neutralité. Dans cet idéal, allié à ceux d’objectivité et de fonctionnalité, se lit une prise de conscience: se libérer de certains assujettissements afin d’approcher la composition d’un corps de texte, l’agencement d’un corpus d’images en étant le moins possible soumis à une quelconque domination idéologique. Hiérarchiser l’information, faire image, sans répéter les exclusions de la société.
Le genre affiche s’impose en France vers 1880 avec des corps féminins comme motif principal, promouvant spectacles ou produits. Dans les années soixante, l’affiche comme structure patriarcale interroge. Comment aborder, résoudre la problématique présence des corps humains dans l’affiche, surface reproductible, étendard de la communication de masse dans l’espace public?
Comment l’affiche, écrit informatif, image intrigante, crieuse publique, imprimée ou numérique, affronte-elle les mécanismes du plaisir visuel et les codifications iconographiques liés à la construction et la déconstruction des genres? Que peut-elle: les reproduire en tant que miroir d’une époque? Les intensifier? Les déformer? Peut-elle déjouer, troubler les normes liées au genre? Que veut-elle?Note de contenu : SOMMAIRE :
L'auteur - p. 4
Les débuts : filles de rues - p. 9
Affiches intemporelles : Sois belle et tais-toi - p. 25
Des temps difficiles, des tabliers et du tricot - p. 29
Une affichiste, dangers publics - p. 33
Informer et construire une nouvelle objectivité - p. 41
Au pays de Beauvoir, Cixous, Wittig, Irigaray, Delphy... - p. 47
Consommation et simulacre : dos bleu, seins nus et sucettes - p. 53
Post-68 : donner à voir des corps libres et pensants - p. 61
Troubler dans les recoin du réel - p. 65
L'affiche fait corps avec le corps - p. 71
Index des noms cités - p. 75
Bibliographie - p. 77En ligne : https://www.editions205.fr/products/l-affiche-a-t-elle-un-genre Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : La salle de classe, un objet graphique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Éloïsa PÉREZ, Auteur Editeur : LYON [FRANCE] : Editions 205 Année de publication : 2021 Collection : Milieux Importance : 84 p. Présentation : ill. en coul. Format : 10,5 × 16,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 6877 Prix : 10,00 € Langues : Français (fre) Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
GraphismeMots-clés : graphisme, design graphique, espace public, urbain, culture visuelle, matérialité, pratiques sociales, arts visuels, école, pédagogie, transmission, enseignant, élève, institution, apprentissage, grammaire Index. décimale : 741.6 Graphisme, Illustration, Art publicitaire Résumé : L’observation d’une salle de classe s’apparente à celle d’une scène de théâtre. Des pratiques actives s’y déroulent, portées par un vaste spectre d’objets mis au service des enseignements dispensés. Qu’ils soient conçus à des fins pédagogiques ou qu’ils revêtent cette fonction par l’usage qui leur est assigné, ces dispositifs possèdent des caractéristiques matérielles investies dans le processus de transmission des savoirs.
Leurs formes graphiques — aspect, couleur, volume — constituent une “matérialité pédagogique”, dont il est possible de définir les effets sur l’apprentissage. Parce qu’à l’école maternelle les enfants développent leur motricité et découvrent peu à peu les codes requis pour l’exercice du langage, les premiers échanges sollicitent de nombreux outils tangibles. Leurs formes acquièrent, de fait, un rôle central dans l’acte pédagogique. On peut alors en comprendre les caractéristiques, pour améliorer les méthodes en usage.
En abordant la salle de classe à l’école maternelle comme un support de formes graphiques, cet essai propose une lecture matérielle de l’enseignement élémentaire. Dès lors, une double question se pose : quelles formes graphiques accompagnent les pratiques éducatives contemporaines et dans quelle mesure contribuent-elles à la formation de l’esprit critique des enseignants et des élèves?Note de contenu :
SOMMAIRE :
L'auteur - p. 4
Introduction - p. 5
Contexte - p. 7
Formes et supports de la matérialité pédagogique - p. 15
Objectiver les savoirs - p. 17
Comprendre l'étendue matérielle - p. 20
Situer la salle de classe - p. 25
Descriptif matériel de la salle de classe - p. 27
Formats, volumes, couleurs, signes, images - p. 28
Un support polyphonique - p. 40
Spatialisation des savoirs - p. 47
Fonctions et usages du mobilier scolaire - p. 49
Unités graphiques structurantes - p. 53
Gestuelles d'apprentissage - p. 59
La forme engage le geste - p. 61
Le geste configure l'espace - p. 66
Conclusion - p. 69
La logique de la boîte à outils - p. 71
Index des noms cités - p. 77
Bibliographie - p. 78En ligne : https://www.editions205.fr/products/l-affiche-a-t-elle-un-genre La salle de classe, un objet graphique ? [texte imprimé] / Éloïsa PÉREZ, Auteur . - LYON (24 rue commandant Faurax, 69006, FRANCE) : Editions 205, 2021 . - 84 p. : ill. en coul. ; 10,5 × 16,5 cm. - (Milieux) .
ISSN : 6877 : 10,00 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
GraphismeMots-clés : graphisme, design graphique, espace public, urbain, culture visuelle, matérialité, pratiques sociales, arts visuels, école, pédagogie, transmission, enseignant, élève, institution, apprentissage, grammaire Index. décimale : 741.6 Graphisme, Illustration, Art publicitaire Résumé : L’observation d’une salle de classe s’apparente à celle d’une scène de théâtre. Des pratiques actives s’y déroulent, portées par un vaste spectre d’objets mis au service des enseignements dispensés. Qu’ils soient conçus à des fins pédagogiques ou qu’ils revêtent cette fonction par l’usage qui leur est assigné, ces dispositifs possèdent des caractéristiques matérielles investies dans le processus de transmission des savoirs.
Leurs formes graphiques — aspect, couleur, volume — constituent une “matérialité pédagogique”, dont il est possible de définir les effets sur l’apprentissage. Parce qu’à l’école maternelle les enfants développent leur motricité et découvrent peu à peu les codes requis pour l’exercice du langage, les premiers échanges sollicitent de nombreux outils tangibles. Leurs formes acquièrent, de fait, un rôle central dans l’acte pédagogique. On peut alors en comprendre les caractéristiques, pour améliorer les méthodes en usage.
En abordant la salle de classe à l’école maternelle comme un support de formes graphiques, cet essai propose une lecture matérielle de l’enseignement élémentaire. Dès lors, une double question se pose : quelles formes graphiques accompagnent les pratiques éducatives contemporaines et dans quelle mesure contribuent-elles à la formation de l’esprit critique des enseignants et des élèves?Note de contenu :
SOMMAIRE :
L'auteur - p. 4
Introduction - p. 5
Contexte - p. 7
Formes et supports de la matérialité pédagogique - p. 15
Objectiver les savoirs - p. 17
Comprendre l'étendue matérielle - p. 20
Situer la salle de classe - p. 25
Descriptif matériel de la salle de classe - p. 27
Formats, volumes, couleurs, signes, images - p. 28
Un support polyphonique - p. 40
Spatialisation des savoirs - p. 47
Fonctions et usages du mobilier scolaire - p. 49
Unités graphiques structurantes - p. 53
Gestuelles d'apprentissage - p. 59
La forme engage le geste - p. 61
Le geste configure l'espace - p. 66
Conclusion - p. 69
La logique de la boîte à outils - p. 71
Index des noms cités - p. 77
Bibliographie - p. 78En ligne : https://www.editions205.fr/products/l-affiche-a-t-elle-un-genre Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Pourquoi sourit-on en photographie? Type de document : texte imprimé Auteurs : GUNTHERT, André, Auteur Editeur : LYON [FRANCE] : Editions 205 Année de publication : 2023 Collection : Milieux Importance : 84 p. Présentation : ill. N&B et coul. Format : 10,5 × 16,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-919380-74-9 Prix : 12,00€ Langues : Français (fre) Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle
3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art
3. Culture:3.50 Arts visuels:Photographie
PortraitMots-clés : photographie, sourire, sociologie, étude, Walter Benjamin, Marcel Astruc, Maria A. Arapova, Gilbert de Cambertrand, Shiry Ginosar, August Sander, Angus Trumble, Élisabeth Vigée Le Brun Index. décimale : 770.1 La Photographie Philosophie et Théorie Résumé : Pourquoi sourit-on en photographie? On a longtemps cru qu’il ne s’agissait que d’un problème de temps de pose. Mais derrière cette question simple se cache une énigme passionnante: une évolution restée longtemps invisible, à la croisée de l’anthropologie et de l’histoire visuelle.
Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, la photographie n’a fait que prolonger les conventions du portrait peint, où une mine sérieuse exprime la maîtrise des émotions en public. L’arrivée du cinéma muet impose de nouvelles règles. Intensifiée par l’effet de loupe du gros plan, l’expressivité du visage devient une clé de la narration visuelle.
À partir des années 1930, le succès de cette formule la fait adopter en photographie. L’alliance de l’authenticité et de la lisibilité nourrit l’essor de l’illustration de presse. Dans le portrait, le visage souriant apparaît comme le garant d’une sociabilité moderne et égalitaire. Du moins en apparence: marqueur d’une mutation de la présentation de soi dans l’espace occidental, le sourire forcé de la pose photographique n’est plus l’expression d’une émotion, mais un signe de communication normalisé. Il incarne la nouvelle influence des images, dans un monde de plus en plus médiatisé.
André Gunthert est historien des cultures visuelles, enseignant-chercheur à l’EHESS. Il est spécialiste des médias d’enregistre-ment, de l’édition illustrée et des cultures populaires contemporaines. Il a publié ou dirigé une dizaine d’ouvrages et fondé la première revue scientifique francophone consacrée à l’histoire de la photographie (Études photographiques, 1996-2017). Militant de l’éducation à l’image, il a notamment étudié la construction narrative des images médiatiques, le tournant de l’authenticité documentaire ou le basculement vers l’image numérique (L’Image partagée. La photographie numérique, Textuel, 2015). Ses recherches récentes portent sur la politisation des pratiques culturelles.Note de contenu : SOMMAIRE :
L'énigme du sourire photographique - p.7
Les conditions de l'expressivité - p.21
La révolution de la narration expressive - p.33
Quand l'image change la société - p.45
Un signe photographique - p.53
Du sourire forcé au sourire animé - p.61
Index des noms cités - p.73
Œuvres citées - p.75En ligne : https://www.editions205.fr/products/pourquoi-sourit-on-en-photographie Pourquoi sourit-on en photographie? [texte imprimé] / GUNTHERT, André, Auteur . - LYON (24 rue commandant Faurax, 69006, FRANCE) : Editions 205, 2023 . - 84 p. : ill. N&B et coul. ; 10,5 × 16,5 cm. - (Milieux) .
ISBN : 978-2-919380-74-9 : 12,00€
Langues : Français (fre)
Catégories : 3. Culture:3.05 Culture:Culture:Sociologie culturelle
3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art
3. Culture:3.50 Arts visuels:Photographie
PortraitMots-clés : photographie, sourire, sociologie, étude, Walter Benjamin, Marcel Astruc, Maria A. Arapova, Gilbert de Cambertrand, Shiry Ginosar, August Sander, Angus Trumble, Élisabeth Vigée Le Brun Index. décimale : 770.1 La Photographie Philosophie et Théorie Résumé : Pourquoi sourit-on en photographie? On a longtemps cru qu’il ne s’agissait que d’un problème de temps de pose. Mais derrière cette question simple se cache une énigme passionnante: une évolution restée longtemps invisible, à la croisée de l’anthropologie et de l’histoire visuelle.
Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, la photographie n’a fait que prolonger les conventions du portrait peint, où une mine sérieuse exprime la maîtrise des émotions en public. L’arrivée du cinéma muet impose de nouvelles règles. Intensifiée par l’effet de loupe du gros plan, l’expressivité du visage devient une clé de la narration visuelle.
À partir des années 1930, le succès de cette formule la fait adopter en photographie. L’alliance de l’authenticité et de la lisibilité nourrit l’essor de l’illustration de presse. Dans le portrait, le visage souriant apparaît comme le garant d’une sociabilité moderne et égalitaire. Du moins en apparence: marqueur d’une mutation de la présentation de soi dans l’espace occidental, le sourire forcé de la pose photographique n’est plus l’expression d’une émotion, mais un signe de communication normalisé. Il incarne la nouvelle influence des images, dans un monde de plus en plus médiatisé.
André Gunthert est historien des cultures visuelles, enseignant-chercheur à l’EHESS. Il est spécialiste des médias d’enregistre-ment, de l’édition illustrée et des cultures populaires contemporaines. Il a publié ou dirigé une dizaine d’ouvrages et fondé la première revue scientifique francophone consacrée à l’histoire de la photographie (Études photographiques, 1996-2017). Militant de l’éducation à l’image, il a notamment étudié la construction narrative des images médiatiques, le tournant de l’authenticité documentaire ou le basculement vers l’image numérique (L’Image partagée. La photographie numérique, Textuel, 2015). Ses recherches récentes portent sur la politisation des pratiques culturelles.Note de contenu : SOMMAIRE :
L'énigme du sourire photographique - p.7
Les conditions de l'expressivité - p.21
La révolution de la narration expressive - p.33
Quand l'image change la société - p.45
Un signe photographique - p.53
Du sourire forcé au sourire animé - p.61
Index des noms cités - p.73
Œuvres citées - p.75En ligne : https://www.editions205.fr/products/pourquoi-sourit-on-en-photographie Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire

