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Auteur Camille PAGEARD
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Affiner la recherche Interroger des sources externesRevue Faire #33 / Camille PAGEARD
Titre : Revue Faire #33 : Ligneous, tentacular forms: Man-eating plants and decorative invasions. / Formes ligneuses et tentaculaires : Plantes mangeuses d’hommes et invasions décoratives. Auteur: Camille Pageard Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille PAGEARD, Auteur ; LEOPOLD, Sacha, Directeur de publication, rédacteur en chef ; HAVEGEER, François, Directeur de publication, rédacteur en chef Mention d'édition : 24 novembre 2021 Editeur : Paris [France] : Éditions France-Empire Année de publication : 2021 Importance : 20 p. Présentation : ill. en coul. Format : 21 x 29,7 cm ISBN/ISSN/EAN : 6681 Prix : 7,00€ Note générale : Les revues critiques dédiées à l’analyse du design graphique sont malheureusement trop peu nombreuses aujourd’hui, particulièrement en France mais aussi en Europe.
Engagés dans une posture analytique et critique des formes et activités du graphisme, Sacha Léopold et François Havegeer mènent depuis octobre 2017 une revue imprimée sur ces pratiques. Publiées tous les quinze jours, Revue Faire invite des auteures aux pratiques multiples (auteures, graphistes, historiennes…) à contribuer. La liste des contributrices inclue Mathias Augustyniak, Stuart Bertolotti-Bailey, Arianne Bosshard, Lise Brosseau, Manon Bruet, Thierry Chancogne, Céline Chazalviel, Jérôme Dupeyrat, Catherine Geel, Catherine Guiral, Étienne Hervy, Olivier Huz, James Langdon, Victoire le Bars, Olivier Lebrun, Julie Martin, Alexandra Midal, Camille Pageard, Remi Parcollet, Sonia de Puineuf, Ziga Testen et Benjamin Thorel.
Revue Faire est publiée par les éditions Empire et dessinée par Syndicat.Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : Graphisme, illustration, art publicitaire Index. décimale : 741.6 Graphisme, Illustration, Art publicitaire Note de contenu : Au cours du XIXe siècle, un nouveau genre littéraire parcourt l’Angleterre. Le roman gothique s’empare de thématiques qui alimenteront l’imaginaire des productions culturelles modernes occidentales. Des esprits malfaisants, des corps abjects, des émotions exacerbées et une nature déréglée deviennent les protagonistes de représentations extra-rationnelles. Au sein de ce nouveau courant se développe un sous-genre où une végétation hostile tue et dévore les hommes à coup de lianes et de racines tentaculaires, de parfums empoisonnés et de gueules épineuses. Le goût littéraire pour l’horreur conduit à un nouveau « plaisir de l’œil » déployé par les illustrateurs sur les planches et les couvertures des livres. L’invasion des images au XIXe siècle est ainsi aussi celle de l’envahissement par une nature hybride moins pacifiée et régentée que le laisse entendre l’histoire de l’ornement. Revue Faire #33 : Ligneous, tentacular forms: Man-eating plants and decorative invasions. / Formes ligneuses et tentaculaires : Plantes mangeuses d’hommes et invasions décoratives. Auteur: Camille Pageard [texte imprimé] / Camille PAGEARD, Auteur ; LEOPOLD, Sacha, Directeur de publication, rédacteur en chef ; HAVEGEER, François, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 24 novembre 2021 . - Paris (68, rue Jean-Jacques-Rousseau, 75001, France) : Éditions France-Empire, 2021 . - 20 p. : ill. en coul. ; 21 x 29,7 cm.
ISSN : 6681 : 7,00€
Les revues critiques dédiées à l’analyse du design graphique sont malheureusement trop peu nombreuses aujourd’hui, particulièrement en France mais aussi en Europe.
Engagés dans une posture analytique et critique des formes et activités du graphisme, Sacha Léopold et François Havegeer mènent depuis octobre 2017 une revue imprimée sur ces pratiques. Publiées tous les quinze jours, Revue Faire invite des auteures aux pratiques multiples (auteures, graphistes, historiennes…) à contribuer. La liste des contributrices inclue Mathias Augustyniak, Stuart Bertolotti-Bailey, Arianne Bosshard, Lise Brosseau, Manon Bruet, Thierry Chancogne, Céline Chazalviel, Jérôme Dupeyrat, Catherine Geel, Catherine Guiral, Étienne Hervy, Olivier Huz, James Langdon, Victoire le Bars, Olivier Lebrun, Julie Martin, Alexandra Midal, Camille Pageard, Remi Parcollet, Sonia de Puineuf, Ziga Testen et Benjamin Thorel.
Revue Faire est publiée par les éditions Empire et dessinée par Syndicat.
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Catégories : Graphisme, illustration, art publicitaire Index. décimale : 741.6 Graphisme, Illustration, Art publicitaire Note de contenu : Au cours du XIXe siècle, un nouveau genre littéraire parcourt l’Angleterre. Le roman gothique s’empare de thématiques qui alimenteront l’imaginaire des productions culturelles modernes occidentales. Des esprits malfaisants, des corps abjects, des émotions exacerbées et une nature déréglée deviennent les protagonistes de représentations extra-rationnelles. Au sein de ce nouveau courant se développe un sous-genre où une végétation hostile tue et dévore les hommes à coup de lianes et de racines tentaculaires, de parfums empoisonnés et de gueules épineuses. Le goût littéraire pour l’horreur conduit à un nouveau « plaisir de l’œil » déployé par les illustrateurs sur les planches et les couvertures des livres. L’invasion des images au XIXe siècle est ainsi aussi celle de l’envahissement par une nature hybride moins pacifiée et régentée que le laisse entendre l’histoire de l’ornement. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Revue Faire #47 & 48 — Des traductions mécaniques : — Des machines, des voyelles et des affects. — Les lettres électriques. / LEOPOLD, Sacha ; HAVEGEER, François ; Simon RENAUD ; Camille PAGEARD
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Titre : Revue Faire #47 & 48 — Des traductions mécaniques : — Des machines, des voyelles et des affects. — Les lettres électriques. Type de document : texte imprimé Auteurs : LEOPOLD, Sacha, Directeur de publication, rédacteur en chef ; HAVEGEER, François, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Simon RENAUD, Auteur ; Camille PAGEARD, Auteur Editeur : Paris [France] : Éditions France-Empire Année de publication : 2024 Importance : 68 p. Présentation : ill. N&B et coul. Format : 21 x 29,7 cm ISBN/ISSN/EAN : 7210 Prix : 14,00 € Note générale :
Les revues critiques dédiées à l’analyse du design graphique sont malheureusement trop peu nombreuses aujourd’hui, particulièrement en France mais aussi en Europe.
Engagés dans une posture analytique et critique des formes et activités du graphisme, Sacha Léopold et François Havegeer mènent depuis octobre 2017 une revue imprimée sur ces pratiques. Publiées tous les quinze jours, Revue Faire invite des auteures aux pratiques multiples (auteures, graphistes, historiennes…) à contribuer. La liste des contributrices inclue Mathias Augustyniak, Stuart Bertolotti-Bailey, Arianne Bosshard, Lise Brosseau, Manon Bruet, Thierry Chancogne, Céline Chazalviel, Jérôme Dupeyrat, Catherine Geel, Catherine Guiral, Étienne Hervy, Olivier Huz, James Langdon, Victoire le Bars, Olivier Lebrun, Julie Martin, Alexandra Midal, Camille Pageard, Remi Parcollet, Sonia de Puineuf, Ziga Testen et Benjamin Thorel.
Revue Faire est publiée par les éditions Empire et dessinée par Syndicat.
Avec le soutien à l'édition du CNAP — Centre national des arts plastiques.
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : Graphisme Mots-clés : Revue Faire design graphique graphisme multiples représentation outils appareil conversation téléphotographie alphabet phonétique phonation enregistrement voix sciences linguistique mimétisme mime chant geste corps machine signalisation binaire écriture système dispositif transfert oral écrit informatique réticulaire manipulation code typologie typographie maîtrise clavier frappe combinaison linotype Résumé :
Numéro double
n°47 — Des machines, des accents des affects. Auteur : Camille Pageard
Construite à la toute fin du XIXe siècle pour une étude physiologique de la voix, la machine à voyelles du Dr Marage porte un nouvel éclairage sur les prémices de la mesure du son et le vaste champ de l’écriture de la voix. En traversant le XXe siècle, ses apparitions éditoriales relèvent autant d’une constante curiosité scientifique pour la reproduction mécanique de la voix que d’un bouleversement des relations affectives aux machines. Couplée à l’histoire de l’inscription graphique de la voix, apparaît alors l’histoire singulière de notre attirance et de notre répulsion envers les objets techniques. Mais de par ses représentations plastiques et son transfert mécanique et technologique, c’est aussi un « ordre-de-la-langue » qui affleure, une politique de la langue qui s’exercent encore dans des formes contemporaines d’assujettissements.
— — — — — — — — — — — — — — — — — — — —
n°48 — Les lettres électriques. Auteur : Simon Renaud
Pour penser et comprendre ce que le numérique (informatique) fait à l’écriture, il est intéressant de se pencher sur les origines de ce qui le constitue : le traitement du code binaire. Cette transformation de l’écriture par la machine et son émergence prend ses origines dans les télégraphes et l’avènement de l’électricité au XIXe siècle. La maîtrise de ce phénomène physique convertit notre alphabet en de nouveaux symboles issus de signaux électriques.
Nos écritures initialement adressées et interprétées par l’humain, sont complétées par un code manipulable par la machine. Chacun des deux mondes est intriqué pour qu’un code commun puisse exister. Chacun utilise le symbole lui correspondant, le signal pour la machine et le signe pour l’humain. Ce nouveau code trouve son fonctionnement dans la dimension matérielle des signaux et se base sur le passage ou non du courant électrique. Cette activité minimale lui impose sa forme et, paradoxalement, lui permet de s’en détacher entièrement.
En ligne : https://revue-faire.eu/fr/produit/n47-48-des-traductions-mecaniques-des-machines [...] Revue Faire #47 & 48 — Des traductions mécaniques : — Des machines, des voyelles et des affects. — Les lettres électriques. [texte imprimé] / LEOPOLD, Sacha, Directeur de publication, rédacteur en chef ; HAVEGEER, François, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Simon RENAUD, Auteur ; Camille PAGEARD, Auteur . - Paris (68, rue Jean-Jacques-Rousseau, 75001, France) : Éditions France-Empire, 2024 . - 68 p. : ill. N&B et coul. ; 21 x 29,7 cm.
ISSN : 7210 : 14,00 €
Les revues critiques dédiées à l’analyse du design graphique sont malheureusement trop peu nombreuses aujourd’hui, particulièrement en France mais aussi en Europe.
Engagés dans une posture analytique et critique des formes et activités du graphisme, Sacha Léopold et François Havegeer mènent depuis octobre 2017 une revue imprimée sur ces pratiques. Publiées tous les quinze jours, Revue Faire invite des auteures aux pratiques multiples (auteures, graphistes, historiennes…) à contribuer. La liste des contributrices inclue Mathias Augustyniak, Stuart Bertolotti-Bailey, Arianne Bosshard, Lise Brosseau, Manon Bruet, Thierry Chancogne, Céline Chazalviel, Jérôme Dupeyrat, Catherine Geel, Catherine Guiral, Étienne Hervy, Olivier Huz, James Langdon, Victoire le Bars, Olivier Lebrun, Julie Martin, Alexandra Midal, Camille Pageard, Remi Parcollet, Sonia de Puineuf, Ziga Testen et Benjamin Thorel.
Revue Faire est publiée par les éditions Empire et dessinée par Syndicat.
Avec le soutien à l'édition du CNAP — Centre national des arts plastiques.
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Catégories : Graphisme Mots-clés : Revue Faire design graphique graphisme multiples représentation outils appareil conversation téléphotographie alphabet phonétique phonation enregistrement voix sciences linguistique mimétisme mime chant geste corps machine signalisation binaire écriture système dispositif transfert oral écrit informatique réticulaire manipulation code typologie typographie maîtrise clavier frappe combinaison linotype Résumé :
Numéro double
n°47 — Des machines, des accents des affects. Auteur : Camille Pageard
Construite à la toute fin du XIXe siècle pour une étude physiologique de la voix, la machine à voyelles du Dr Marage porte un nouvel éclairage sur les prémices de la mesure du son et le vaste champ de l’écriture de la voix. En traversant le XXe siècle, ses apparitions éditoriales relèvent autant d’une constante curiosité scientifique pour la reproduction mécanique de la voix que d’un bouleversement des relations affectives aux machines. Couplée à l’histoire de l’inscription graphique de la voix, apparaît alors l’histoire singulière de notre attirance et de notre répulsion envers les objets techniques. Mais de par ses représentations plastiques et son transfert mécanique et technologique, c’est aussi un « ordre-de-la-langue » qui affleure, une politique de la langue qui s’exercent encore dans des formes contemporaines d’assujettissements.
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n°48 — Les lettres électriques. Auteur : Simon Renaud
Pour penser et comprendre ce que le numérique (informatique) fait à l’écriture, il est intéressant de se pencher sur les origines de ce qui le constitue : le traitement du code binaire. Cette transformation de l’écriture par la machine et son émergence prend ses origines dans les télégraphes et l’avènement de l’électricité au XIXe siècle. La maîtrise de ce phénomène physique convertit notre alphabet en de nouveaux symboles issus de signaux électriques.
Nos écritures initialement adressées et interprétées par l’humain, sont complétées par un code manipulable par la machine. Chacun des deux mondes est intriqué pour qu’un code commun puisse exister. Chacun utilise le symbole lui correspondant, le signal pour la machine et le signe pour l’humain. Ce nouveau code trouve son fonctionnement dans la dimension matérielle des signaux et se base sur le passage ou non du courant électrique. Cette activité minimale lui impose sa forme et, paradoxalement, lui permet de s’en détacher entièrement.
En ligne : https://revue-faire.eu/fr/produit/n47-48-des-traductions-mecaniques-des-machines [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire

