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Auteur Keyvane ALINAGHI
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Affiner la recherche Interroger des sources externesAthénéa / Keyvane ALINAGHI ; Caroline TRON-CARROZ ; SOUÊTRE, Bruno ; Louis CAUWELIER ; Antoine DAMAY ; Vinciane DAHÉRON ; Anaïs GILLET ; Aline JAN ; Ning JIANG ; Camille LELEU ; Killian MAGUET ; Jade MISSUWE ; Louis SOUÊTRE ; Élisa YUSTE
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Titre : Athénéa Type de document : texte imprimé Auteurs : Keyvane ALINAGHI, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Caroline TRON-CARROZ, Directeur de publication, rédacteur en chef ; SOUÊTRE, Bruno, Directeur artistique ; Louis CAUWELIER, Auteur ; Antoine DAMAY, Auteur ; Vinciane DAHÉRON, Auteur ; Anaïs GILLET, Auteur ; Aline JAN, Auteur ; Ning JIANG, Auteur ; Camille LELEU, Auteur ; Killian MAGUET, Auteur ; Jade MISSUWE, Auteur ; Louis SOUÊTRE, Auteur ; Élisa YUSTE, Auteur Editeur : Cambrai [France] : École Supérieure d'Art de Cambrai Année de publication : 2021 ISBN/ISSN/EAN : 6931 Langues : Français (fre) Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : école d'art, Cambrai, recherche, Retour aux sources, Ésac, Institut National de l’Audiovisuel, INA, cybernétique Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Athénéa est un objet hybride (pochette, stickers, affiche, image) issu des recherches des étudiant·es de 4e année de l'École supérieure d'art et de communication de Cambrai à l’Institut National de l’Audiovisuel à partir du mot "cybernétique". Chaque personne recevant l’objet est invitée à découvrir le contenu via son écran (smartphone ou tablette). athenea.esac-cambrai.net
Groupe « écriture » : Camille Leleu, Jade Missuwe, Elisa Yuste, accompagné·es par Caroline Tron-Carroz
Groupe « images et sons » : Louis Cauwelier, Vinciane Daheron, Aline Jan, Ning Jiang, Anaïs Gillet, Louis Souêtre
Groupe « mise en page » : Antoine Damay et Killian Maguet
Keyvane Alinaghi co-coordinateur de RAS s’est chargé d’une partie du suivi des recherches INA et a pu initier l’ensemble des étudiant-e-s aux contenus en réalité augmentée
Bruno Souêtre, graphiste, a suivi la mise en forme de l’afficheNote de contenu : Athénéa. Comprendre la cybernétique en école d’art.
Depuis son lancement en 2019, le programme de recherche « Retour aux sources » de l’ESAC de Cambrai a pour ambition d’initier les étudiant-e-s en 4e année à la recherche documentaire à travers les archives de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA). Cette année, c’est le mot-clé « cybernétique » qui a été choisi comme point de départ de la recherche. Pourtant, de prime abord, sa signification n’est pas facile à saisir.
CONTEXTE
La cybernétique est à la fois une discipline, une science, un concept, pour analyser les systèmes complexes et les machines pensantes. Comme le rappelle le chercheur en sociologie Raphaël Josset :
Quoique possédant un caractère futuriste, c’est pourtant au monde grec antique qu’il faut se référer pour retrouver l’origine étymologique et épistémologique de la cybernétique comme discipline. Le mot vient en effet du grec kubernètikos qui a notamment donné « gouvernail », « gouvernement » et au sens premier, signifie l’art de la timonerie, de la navigation, le pilotage d’un navire et, par extension, l’art de gouverner les hommes […] Mais le néologisme cybernétique apparaît pour la première fois dans la langue française en 1834 sous la plume du fameux physicien fondateur de l’électro-dynamique André-Marie Ampère, pour dénommer dans le même sens « les sciences du gouvernement des hommes ». Cependant, ce n’est qu’avec le mot anglais cybernetics, qui apparaît en 1948 comme titre d’un ouvrage du mathématicien Norbert Wiener, que celui-ci entre définitivement dans le vocabulaire usuel. Aujourd’hui, la cybernétique est un « savoir, à la fois science et art, concernant le gouvernement des êtres vivants, des machines, des sociétés. [Elle] s’intéresse aux processus de commande et de communication dans des ensembles organisés1. »
En effet, Norbert Wiener, mathématicien américain, conceptualise la cybernétique au cours de la Seconde Guerre mondiale, en imaginant des systèmes autonomes capables de réguler (control) leurs actions, autrement dit de se piloter et de s’autoréguler. Dans les années 1950, la cybernétique apparaît comme une science nouvelle, dans une période où les mathématiques, l’informatique, l’électronique et les sciences de la communication sont perçus comme des moyens de décrypter la société de plus en plus portée vers la technique.
Si, en amont de la recherche à l’INA, les étudiant-es ont pu avoir accès à des ressources textuelles et vidéo pour comprendre les ouvrages de Norbert Wiener et la réception de la cybernétique en France2, il n’a pas été toujours évident de circonscrire les dimensions tentaculaires de la cybernétique, l’opacité de certains termes, surtout lorsque l’on n’est pas spécialiste. Or la « cybernétique » ouvre des pistes passionnantes de recherche et de réflexions : les expérimentations dans le domaine scientifique ou artistique suscitent autant l’imaginaire que la création.
Les images de l’INA montrent que la cybernétique devient assez rapidement la science de la machine et de l’âge des robots (des idées véhiculées également par la littérature de science-fiction et le cinéma). Les archives consultées, notamment dans les années 1950, 1960 et 1970, traitent de la question des automates et des machines à calculer, des progrès scientifiques et techniques mais aussi de l’automation (la régulation automatique des machines) dans l’industrie. C’est aussi un contexte culturel et social très caractérisé, où la femme est encore assignée à l’univers domestique, aidée par les robots-ménagers, de plus en plus présents au quotidien. Cependant, la question du système de rétroaction (feedback), l’effet qui rétroagit sur la cause qui l’a produit (au cœur de la pensée cybernéticienne) reste peu ou pas développée dans les émissions. De même, l’étude des communications entre les machines, les êtres vivants et les communautés qui forment la pensée de Wiener est peu évoquée dans les archives consultées, hormis lorsque certains penseurs sont interviewés, comme Abraham Moles.
En revanche, la machine développant une forme d’intelligence et d’autonomie, une machine pensante en somme, capable d’interagir avec son environnement (cellules photo-électriques, transistors, relais sensibles) est plus largement abordée, à l’image des travaux de Nicolas Schöffer (grand lecteur des écrits de Wiener), utilisant l’ordinateur pour piloter ses œuvres cybernétiques, des créations avec des comportements intelligents.
À partir des années 1960, on ne compte plus les locutions formées avec cybernétique : « société cybernétique », « culture cybernétique », « machine cybernétique »,.... En réalité, c’est le terme cyber qui est retenu, désormais synonyme de réseaux et d’espace internet, depuis qu’il a été employé pour composer le terme cyberespace. Comme le résume Gérard Klein : « Les raisons de succès du préfixe "cyber" sont claires. Après avoir signifié "robot", il désigne désormais l’ensemble complexe et mal délimité qui combine informatique et intelligence artificielle, multimédia et réseaux, réalité virtuelle et augmentée3 ».
RESTITUER
La recherche documentaire est un moyen de penser les formes d’écriture pour analyser les documents qui ont été vus à l’INA. Cette méthode expérimentale de restitution écrite est au cœur du programme de recherche RAS, enrichie par la dimension technique. Ce n’est pas à proprement parler une analyse exhaustive, mais l’intention scientifique est bien présente : faire la liste précise des archives regardées, comprendre leurs natures, analyser leur contexte de création et de diffusion.
Puisque la synthèse des recherches dépasse la stricte analyse scientifique des documents, la restitution a pris cette année la forme d’une fiction en sept chapitres indépendants dont le personnage principal est une intelligence artificielle (IA) qui plonge dans les archives de la télévision française. Entre enthousiasme et anxiété, l’IA est ici capable de démontrer qu’elle comprend ses origines dans la cybernétique. Aujourd’hui, si l’IA nourrit les peurs et les imaginaires, on se rend compte en consultant les archives de l’INA que le terme cybernétique suscitait les mêmes effets.
L’IA au cœur de cette fiction « pense », elle établit son projet de recherche, mais c’est bien la voix des étudiant-e-s qui est entendue à travers le jeu narratif, l’analyse des images et des contenus. Faire en sorte que l’idéalisme cybernétique soit compréhensible par le plus grand nombre.
1 Raphaël Josset « La destinée cybernétique du monde », Sociétés, n° 131, 2016, en ligne https://www.cairn.info/revue-societes-2016-1-page-9.htm.
2 Notamment l’influence des philosophes, des mathématiciens, des neurologues et des physiciens. Voir la séance du séminaire de recherche « Postdigital 2017-2019 » de l’ENS, consacrée à « Cybernétique, intelligence et imagination », notamment l’exposé de Mathieu Triclot « Retour à la cybernétique. Ontologie et politique de l’information », en ligne (https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=3183). Notre recherche s’est surtout concentrée sur le point N°2 (artefacts cybernétiques, récits, techniques projetées en situation dans le social et les questions autour de l’automation, le remplacement du travail humain par les intelligences artificielles).
3 Gérard Klein, « De la cybernétique à la cyberculture », lemonde.fr, 21 janvier 1996 (consulté en mars 2021).En ligne : https://esac.go.yj.fr/athenea/ Athénéa [texte imprimé] / Keyvane ALINAGHI, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Caroline TRON-CARROZ, Directeur de publication, rédacteur en chef ; SOUÊTRE, Bruno, Directeur artistique ; Louis CAUWELIER, Auteur ; Antoine DAMAY, Auteur ; Vinciane DAHÉRON, Auteur ; Anaïs GILLET, Auteur ; Aline JAN, Auteur ; Ning JIANG, Auteur ; Camille LELEU, Auteur ; Killian MAGUET, Auteur ; Jade MISSUWE, Auteur ; Louis SOUÊTRE, Auteur ; Élisa YUSTE, Auteur . - Cambrai (France) : École Supérieure d'Art de Cambrai, 2021.
ISSN : 6931
Langues : Français (fre)
Catégories : 3. Culture:3.50 Arts visuels:Arts visuels Mots-clés : école d'art, Cambrai, recherche, Retour aux sources, Ésac, Institut National de l’Audiovisuel, INA, cybernétique Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Athénéa est un objet hybride (pochette, stickers, affiche, image) issu des recherches des étudiant·es de 4e année de l'École supérieure d'art et de communication de Cambrai à l’Institut National de l’Audiovisuel à partir du mot "cybernétique". Chaque personne recevant l’objet est invitée à découvrir le contenu via son écran (smartphone ou tablette). athenea.esac-cambrai.net
Groupe « écriture » : Camille Leleu, Jade Missuwe, Elisa Yuste, accompagné·es par Caroline Tron-Carroz
Groupe « images et sons » : Louis Cauwelier, Vinciane Daheron, Aline Jan, Ning Jiang, Anaïs Gillet, Louis Souêtre
Groupe « mise en page » : Antoine Damay et Killian Maguet
Keyvane Alinaghi co-coordinateur de RAS s’est chargé d’une partie du suivi des recherches INA et a pu initier l’ensemble des étudiant-e-s aux contenus en réalité augmentée
Bruno Souêtre, graphiste, a suivi la mise en forme de l’afficheNote de contenu : Athénéa. Comprendre la cybernétique en école d’art.
Depuis son lancement en 2019, le programme de recherche « Retour aux sources » de l’ESAC de Cambrai a pour ambition d’initier les étudiant-e-s en 4e année à la recherche documentaire à travers les archives de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA). Cette année, c’est le mot-clé « cybernétique » qui a été choisi comme point de départ de la recherche. Pourtant, de prime abord, sa signification n’est pas facile à saisir.
CONTEXTE
La cybernétique est à la fois une discipline, une science, un concept, pour analyser les systèmes complexes et les machines pensantes. Comme le rappelle le chercheur en sociologie Raphaël Josset :
Quoique possédant un caractère futuriste, c’est pourtant au monde grec antique qu’il faut se référer pour retrouver l’origine étymologique et épistémologique de la cybernétique comme discipline. Le mot vient en effet du grec kubernètikos qui a notamment donné « gouvernail », « gouvernement » et au sens premier, signifie l’art de la timonerie, de la navigation, le pilotage d’un navire et, par extension, l’art de gouverner les hommes […] Mais le néologisme cybernétique apparaît pour la première fois dans la langue française en 1834 sous la plume du fameux physicien fondateur de l’électro-dynamique André-Marie Ampère, pour dénommer dans le même sens « les sciences du gouvernement des hommes ». Cependant, ce n’est qu’avec le mot anglais cybernetics, qui apparaît en 1948 comme titre d’un ouvrage du mathématicien Norbert Wiener, que celui-ci entre définitivement dans le vocabulaire usuel. Aujourd’hui, la cybernétique est un « savoir, à la fois science et art, concernant le gouvernement des êtres vivants, des machines, des sociétés. [Elle] s’intéresse aux processus de commande et de communication dans des ensembles organisés1. »
En effet, Norbert Wiener, mathématicien américain, conceptualise la cybernétique au cours de la Seconde Guerre mondiale, en imaginant des systèmes autonomes capables de réguler (control) leurs actions, autrement dit de se piloter et de s’autoréguler. Dans les années 1950, la cybernétique apparaît comme une science nouvelle, dans une période où les mathématiques, l’informatique, l’électronique et les sciences de la communication sont perçus comme des moyens de décrypter la société de plus en plus portée vers la technique.
Si, en amont de la recherche à l’INA, les étudiant-es ont pu avoir accès à des ressources textuelles et vidéo pour comprendre les ouvrages de Norbert Wiener et la réception de la cybernétique en France2, il n’a pas été toujours évident de circonscrire les dimensions tentaculaires de la cybernétique, l’opacité de certains termes, surtout lorsque l’on n’est pas spécialiste. Or la « cybernétique » ouvre des pistes passionnantes de recherche et de réflexions : les expérimentations dans le domaine scientifique ou artistique suscitent autant l’imaginaire que la création.
Les images de l’INA montrent que la cybernétique devient assez rapidement la science de la machine et de l’âge des robots (des idées véhiculées également par la littérature de science-fiction et le cinéma). Les archives consultées, notamment dans les années 1950, 1960 et 1970, traitent de la question des automates et des machines à calculer, des progrès scientifiques et techniques mais aussi de l’automation (la régulation automatique des machines) dans l’industrie. C’est aussi un contexte culturel et social très caractérisé, où la femme est encore assignée à l’univers domestique, aidée par les robots-ménagers, de plus en plus présents au quotidien. Cependant, la question du système de rétroaction (feedback), l’effet qui rétroagit sur la cause qui l’a produit (au cœur de la pensée cybernéticienne) reste peu ou pas développée dans les émissions. De même, l’étude des communications entre les machines, les êtres vivants et les communautés qui forment la pensée de Wiener est peu évoquée dans les archives consultées, hormis lorsque certains penseurs sont interviewés, comme Abraham Moles.
En revanche, la machine développant une forme d’intelligence et d’autonomie, une machine pensante en somme, capable d’interagir avec son environnement (cellules photo-électriques, transistors, relais sensibles) est plus largement abordée, à l’image des travaux de Nicolas Schöffer (grand lecteur des écrits de Wiener), utilisant l’ordinateur pour piloter ses œuvres cybernétiques, des créations avec des comportements intelligents.
À partir des années 1960, on ne compte plus les locutions formées avec cybernétique : « société cybernétique », « culture cybernétique », « machine cybernétique »,.... En réalité, c’est le terme cyber qui est retenu, désormais synonyme de réseaux et d’espace internet, depuis qu’il a été employé pour composer le terme cyberespace. Comme le résume Gérard Klein : « Les raisons de succès du préfixe "cyber" sont claires. Après avoir signifié "robot", il désigne désormais l’ensemble complexe et mal délimité qui combine informatique et intelligence artificielle, multimédia et réseaux, réalité virtuelle et augmentée3 ».
RESTITUER
La recherche documentaire est un moyen de penser les formes d’écriture pour analyser les documents qui ont été vus à l’INA. Cette méthode expérimentale de restitution écrite est au cœur du programme de recherche RAS, enrichie par la dimension technique. Ce n’est pas à proprement parler une analyse exhaustive, mais l’intention scientifique est bien présente : faire la liste précise des archives regardées, comprendre leurs natures, analyser leur contexte de création et de diffusion.
Puisque la synthèse des recherches dépasse la stricte analyse scientifique des documents, la restitution a pris cette année la forme d’une fiction en sept chapitres indépendants dont le personnage principal est une intelligence artificielle (IA) qui plonge dans les archives de la télévision française. Entre enthousiasme et anxiété, l’IA est ici capable de démontrer qu’elle comprend ses origines dans la cybernétique. Aujourd’hui, si l’IA nourrit les peurs et les imaginaires, on se rend compte en consultant les archives de l’INA que le terme cybernétique suscitait les mêmes effets.
L’IA au cœur de cette fiction « pense », elle établit son projet de recherche, mais c’est bien la voix des étudiant-e-s qui est entendue à travers le jeu narratif, l’analyse des images et des contenus. Faire en sorte que l’idéalisme cybernétique soit compréhensible par le plus grand nombre.
1 Raphaël Josset « La destinée cybernétique du monde », Sociétés, n° 131, 2016, en ligne https://www.cairn.info/revue-societes-2016-1-page-9.htm.
2 Notamment l’influence des philosophes, des mathématiciens, des neurologues et des physiciens. Voir la séance du séminaire de recherche « Postdigital 2017-2019 » de l’ENS, consacrée à « Cybernétique, intelligence et imagination », notamment l’exposé de Mathieu Triclot « Retour à la cybernétique. Ontologie et politique de l’information », en ligne (https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=3183). Notre recherche s’est surtout concentrée sur le point N°2 (artefacts cybernétiques, récits, techniques projetées en situation dans le social et les questions autour de l’automation, le remplacement du travail humain par les intelligences artificielles).
3 Gérard Klein, « De la cybernétique à la cyberculture », lemonde.fr, 21 janvier 1996 (consulté en mars 2021).En ligne : https://esac.go.yj.fr/athenea/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire DNA 2022 / Keyvane ALINAGHI ; Caroline TRON-CARROZ ; Catherine CHEVALIER ; SOUÊTRE, Bruno ; Emilia BERNARD ; Jérémy BRETON ; Rachel DELAMER ; Clément DENGREMONT ; Hortense DRIGUET ; Élisa DUBOSC ; Clément DUVAL ; Chici FANG ; Léo FAURE ; Axel FONTENIL ; Alice FORTIN ; Yun-Hsuan KU ; Seona LIM ; Léna MONOT ; Gabin NIVARD ; Justin VANKIEKEN ; Matthieu ZAMMIT
Titre : DNA 2022 : Articles de recherche menés par les étudiant·es de l’École supérieure d’art et de communication de Cambrai (Diplôme National d’Art 2022). Type de document : texte imprimé Auteurs : Keyvane ALINAGHI, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Caroline TRON-CARROZ, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Catherine CHEVALIER, Directeur de publication, rédacteur en chef ; SOUÊTRE, Bruno, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilia BERNARD, Auteur ; Jérémy BRETON, Auteur ; Rachel DELAMER, Auteur ; Clément DENGREMONT, Auteur ; Hortense DRIGUET, Auteur ; Élisa DUBOSC, Auteur ; Clément DUVAL, Auteur ; Chici FANG, Auteur ; Léo FAURE, Auteur ; Axel FONTENIL, Auteur ; Alice FORTIN, Auteur ; Yun-Hsuan KU, Auteur ; Seona LIM, Auteur ; Léna MONOT, Auteur ; Gabin NIVARD, Auteur ; Justin VANKIEKEN, Auteur ; Matthieu ZAMMIT, Auteur Editeur : Cambrai [France] : École Supérieure d'Art de Cambrai Année de publication : 2022 Collection : Diplôme National d’Art Importance : 17 articles Présentation : ill. N&B et coul. Format : 21 x 29,7 cm ISBN/ISSN/EAN : 6742 Langues : Français (fre) Catégories : Graphisme Mots-clés : DNA, Diplôme National d’Art, Ésac Cambrai, École supérieure d'art et de communication, recherche, article, design graphique Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Articles de recherche menés par les étudiantes et les étudiants
de l’École supérieure d’art et de communication - Cambrai dans le cadre du Diplôme National d’Art 2022.
Keyvane Alinaghi, coordinateur de l’année 3, Caroline Tron-Carroz et Catherine Chevalier, suivi des écrits, Bruno Souêtre, suivi des mises en forme graphiques.Note de contenu : Matrimoine
Poétique, le feu ardent de la plume
EMILIA BERNARD
The World versus USA: comment la pratique et la culture du basket- ball se sont répandues à travers le monde?
JÉRÉMY BRETON
L’artiste et l’invisible.
Comment la transe chamanique peut-elle aider les artistes?
RACHEL DELAMER
Graphic design as graphic design
CLÉMENT DENGREMONT
Brouillard
HORTENSE DRIGUET
Mes ressources ne sont pas inépuisables.
Interview exclusive de La Terre.
ÉLISA DUBOSC
Observer ou ne pas être observé
CLÉMENT DUVAL
Le monstre mystérieux
CHICI FANG
De contre-culture à culture populaire.
Le rap: une révolution culturelle et économique
LÉO FAURE
Nous respirons du langage invisible
AXEL FONTENIL
ROTA FORTUNA
ALICE FORTIN
Évolution de rituel de deuil et de la fonction consolatrice de l’art
YUN-HSUAN KU
Quelques perspectives sur les traumatismes dans l’art
SEONA LIM
Du journalisme éthique: rôle et responsabilité des designers graphiques
LÉNA MONOT
Écrit sur la création d’une Typothèque étudiante open source
GABIN NIVARD
La simulation politique dans les œuvres de Hito Steyerl
JUSTIN VANKIEKEN
Dimensions. La création par l’exploration de différents univers graphiques
MATTHIEU ZAMMITDNA 2022 : Articles de recherche menés par les étudiant·es de l’École supérieure d’art et de communication de Cambrai (Diplôme National d’Art 2022). [texte imprimé] / Keyvane ALINAGHI, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Caroline TRON-CARROZ, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Catherine CHEVALIER, Directeur de publication, rédacteur en chef ; SOUÊTRE, Bruno, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emilia BERNARD, Auteur ; Jérémy BRETON, Auteur ; Rachel DELAMER, Auteur ; Clément DENGREMONT, Auteur ; Hortense DRIGUET, Auteur ; Élisa DUBOSC, Auteur ; Clément DUVAL, Auteur ; Chici FANG, Auteur ; Léo FAURE, Auteur ; Axel FONTENIL, Auteur ; Alice FORTIN, Auteur ; Yun-Hsuan KU, Auteur ; Seona LIM, Auteur ; Léna MONOT, Auteur ; Gabin NIVARD, Auteur ; Justin VANKIEKEN, Auteur ; Matthieu ZAMMIT, Auteur . - Cambrai (France) : École Supérieure d'Art de Cambrai, 2022 . - 17 articles : ill. N&B et coul. ; 21 x 29,7 cm. - (Diplôme National d’Art) .
ISSN : 6742
Langues : Français (fre)
Catégories : Graphisme Mots-clés : DNA, Diplôme National d’Art, Ésac Cambrai, École supérieure d'art et de communication, recherche, article, design graphique Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Articles de recherche menés par les étudiantes et les étudiants
de l’École supérieure d’art et de communication - Cambrai dans le cadre du Diplôme National d’Art 2022.
Keyvane Alinaghi, coordinateur de l’année 3, Caroline Tron-Carroz et Catherine Chevalier, suivi des écrits, Bruno Souêtre, suivi des mises en forme graphiques.Note de contenu : Matrimoine
Poétique, le feu ardent de la plume
EMILIA BERNARD
The World versus USA: comment la pratique et la culture du basket- ball se sont répandues à travers le monde?
JÉRÉMY BRETON
L’artiste et l’invisible.
Comment la transe chamanique peut-elle aider les artistes?
RACHEL DELAMER
Graphic design as graphic design
CLÉMENT DENGREMONT
Brouillard
HORTENSE DRIGUET
Mes ressources ne sont pas inépuisables.
Interview exclusive de La Terre.
ÉLISA DUBOSC
Observer ou ne pas être observé
CLÉMENT DUVAL
Le monstre mystérieux
CHICI FANG
De contre-culture à culture populaire.
Le rap: une révolution culturelle et économique
LÉO FAURE
Nous respirons du langage invisible
AXEL FONTENIL
ROTA FORTUNA
ALICE FORTIN
Évolution de rituel de deuil et de la fonction consolatrice de l’art
YUN-HSUAN KU
Quelques perspectives sur les traumatismes dans l’art
SEONA LIM
Du journalisme éthique: rôle et responsabilité des designers graphiques
LÉNA MONOT
Écrit sur la création d’une Typothèque étudiante open source
GABIN NIVARD
La simulation politique dans les œuvres de Hito Steyerl
JUSTIN VANKIEKEN
Dimensions. La création par l’exploration de différents univers graphiques
MATTHIEU ZAMMITExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Marges N° 36, printemps/été 2023 - Art et réseaux sociaux / Josias PADILHA ; Keyvane ALINAGHI ; Nicolas BAILLEUL ; Davide DA PIEVE ; Théodora DOMENECH ; Rime FETNAN ; Paul HEINTZ ; Corentin LAHOUSTE ; David MARTENS ; Julie MARTIN ; Antoine MOREAU
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Titre : Marges N° 36, printemps/été 2023 - Art et réseaux sociaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Josias PADILHA, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Keyvane ALINAGHI, Auteur ; Nicolas BAILLEUL, Auteur ; Davide DA PIEVE, Auteur ; Théodora DOMENECH, Auteur ; Rime FETNAN, Auteur ; Paul HEINTZ, Auteur ; Corentin LAHOUSTE, Auteur ; David MARTENS, Auteur ; Julie MARTIN, Auteur ; Antoine MOREAU, Auteur Editeur : Saint-Denis [France] : Presses Universitaires de Vincennes Année de publication : 2023 Importance : 208 p. Présentation : ill. N&B Format : 15 x 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-379-24303-5 Prix : 15,00 € Note générale : Marges a pour ambition de confronter des analyses issues de toutes les approches de la création et de la pensée contemporaines (arts plastiques, esthétique, histoire de l’art, philosophie de l’art...) et de mettre en mouvement des approches interdisciplinaires.
Langues : Français (fre) Catégories : 5. Information et communication Mots-clés : revue Marges, art, art contemporain, communication, esthétique, histoire de l'art, réseaux sociaux, sociaux numériques, World Wide Web, 2.0, socialisation, interaction, utilisateur, identité, multimédia, flux RSS, publicité, participation, net post-média, post-digital, post-internet, data-activisme, démocratisation Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, TikTok, Snapchat, émancipation, profit, diffusion perception, jeu vidéo, liberté, utopie, Georges Orwell, Usenet Résumé : Ce numéro s’inscrit dans une suite d’études menées par la revue Marges sur les conditions de la création en ce début de 21e siècle. Il s’agit cette fois d’aborder la question de l’influence des réseaux sociaux sur la création artistique.
Les réseaux sociaux numériques, parfois qualifiés de médias sociaux, envahissent le quotidien, transformant le monde contemporain. Ces transformations ne sont pas sans conséquences sur les pratiques des artistes – le regard porté sur les réseaux sociaux, mais aussi l’intégration de ceux-ci dans les pratiques – ; de même que les dispositifs de monstration ou de diffusion, ainsi que la manière dont les œuvres et les commentaires circulent désormais. Ce numéro présente des positions d’artistes, mais aussi de chercheurs en art et en sciences de l’information et de la communication.Note de contenu :
SOMMAIRE :
Éditorial – Jérôme Glicenstein - p.5
DOSSIER : ART ET RÉSEAUX SOCIAUX
Josias Padilha, « Introduction : Art et réseaux sociaux » - p.10
Keyvane Alinaghi, « Followers, Likes, Vues : l’illusion d’une valorisation artistique par la quantification ? » - p.23
Cet article analyse les différents modes d’adaptation de la représentation du travail de l’artiste sur les Réseaux Sociaux Numériques (RSN). Une transformation de la dynamique de création liée à une nouvelle organisation de la profession, régie par l’évaluation constante des internautes. Le geste banal de la validation d’un contenu aux likes, vues ou abonnements, redéfinit la valeur d’une publication au risque de conformer les propositions artistiques aux tendances des RSN.
Davide Da Pieve, « De l’exposition instagramable à Instagram comme espace d’exposition » - p.39
Avec une recherche sur l’utilisation du réseau social Instagram (qu’il s’agisse de profils de personnes ou de lieux institutionnels) l’article vise à tenter de définir ce que sont les expositions instagramables, à étudier quelles sont les manières dont les expositions sont véhiculées sur Instagram et réfléchir sur la possibilité de pouvoir entendre la plateforme comme un vrai espace d’exposition artistique.
Rime Fetnan, « Les NFT et le “crypto-art”, réflexions autour d’un nouvel écosystème » - p.52
Cet article entend proposer une réflexion autour d’un phénomène émergent et peu étudié : le développement du marché des NFT dans le secteur de l’art contemporain. À travers le cas spécifique du « crypto-art » il s’agit de circonscrire les principales spécificités de ce nouvel écosystème en retraçant l’émergence de ce « label » afin de comprendre ce qu’il recouvre. À partir d’entretiens et de sources issues des principales plateformes de diffusion du crypto-art, nous souhaitons mettre en lumière les dimensions esthétiques et thématiques qui lui sont propres, mais également les stratégies d’attribution de valeur auxquelles elles donnent lieu. La spécificité des dispositifs numériques qui accompagnent la production et la circulation des œuvres conduit en effet à une reconfiguration des figures d’autorité et des intermédiaires de l’art contemporain, et est corrélée à l’émergence d’une idéologie de l’empowerment de l’individu.
Julie Martin, « Facebook sur les planches : 33 tours et quelques secondes de Rabih Mroué et Lina Saneh » - p.65
Les artistes qui ambitionnent de livrer un récit du monde contemporain s’intéressent particulièrement aux media qui interviennent dans notre rapport à celui-ci. Il s’agit ici d’examiner comment certaines pratiques artistiques documentaires proposent un pas de côté en donnant à regarder les réseaux sociaux comme intermédiaires dans notre perception du monde. Nous faisons l’hypothèse qu’ils opèrent à travers des gestes de remédiation, en œuvre de façon exemplaire dans la pièce de Rabih Mroué et Lina Saneh intitulée 33 tours et quelques secondes.
Théodora Domenech, « Sensibilité en réseaux : une réalité-fiction, entre repli affectif et expansion sensorielle » - p.76
L’environnement numérique agit en profondeur sur nos comportements cognitifs, mais aussi affectifs. Cet article est basé sur une analyse d’œuvres ou de comptes Instagram d’artistes contemporains. Il interroge plusieurs effets des réseaux sociaux numériques sur l’expression et la circulation des émotions : l’influence des stéréotypes dans la construction de soi, la censure des émotions négatives et la recherche de cocons affectifs
TÉMOIGNAGES
Nicolas Bailleul, « De GTA-like à GTA life. Vers un réseau social vidéoludique » - p.88
Le film Bac à sable, réalisé par le duo d’artistes Charlotte Cherici et Lucas Azémar, documente l’activité d’une communauté de joueurs dans un serveur « totalement role play » issue du célèbre jeu vidéo Grand Theft Auto V. Dans cette ville virtuelle où se rejouent avec minutie les scènes banales d’une société contemporaine fantasmée, nous cherchons à comprendre comment l’activité du role play transforme l’univers vidéoludique de GTA V en un réseau social autonome. Pour étayer cette réflexion, nous revenons sur l’évolution de l’univers de la franchise des jeux GTA en un lieu commun ouvert aux expérimentations et aux activités sociales.
Antoine Moreau, « Envisager le réticulaire relationnel avec un certain art » - p.116
En partant de notre expérience de Usenet, réseau de forums de discussions actif avant que le web 2.0 ne permette la possibilité d’interactions entre utilisateurs, nous nous interrogerons sur ce qui est improprement nommé « réseaux sociaux ». Notre attention va se porter sur la possibilité d’un art de l’internet et du numérique de façon à privilégier une approche de l’art en phase avec la réalité matérielle du numérique et de l’internet.
ENTRETIEN
David Martens et Corentin Lahouste, « Paul Heintz. Une esthétique de la rencontre » - p.134
Entre la fin 2021 et le début de l’année 2022, Paul Heintz présentait au FRAC Lorraine une déclinaison de son projet Character, investissant l’espace prospectif « Degrés Est ». Le point de départ de cette exposition était une lecture de 1984 et le désir de rencontrer des homonymes du principal personnage du roman d’Orwell, Winston Smith. Présentée quelques mois auparavant à Paris sous une autre forme, la proposition Lorraine de l’artiste revêtait un triple ancrage : d’une part, une exposition des traces matérielles de l’enquête menée par l’artiste autour des Winston Smith vivant aujourd’hui en Angleterre ; d’autre part, un film d’une quarantaine de minutes présentant plusieurs des individus rencontrés ; enfin, un livre dans lequel l’artiste rapporte les aléas d’une recherche qui tend à éprouver l’infiltration de la fiction dans un réel placé sous la signe de la surveillance. Réalisé en mars 2022 à la suite d’une visite du FRAC, cet entretien s’inscrit dans une recherche collective lancée par certains membres des RIMELL qui porte sur des œuvres narratives déployées sur plusieurs supports/médiums concomitants.
PORTFOLIO
Julien Bourgain, « Quand la situation bifurque » - p.150
Notes de lecture et comptes rendus d’expositions - p.171
Abstracts français et anglais - p.195En ligne : https://www.puv-editions.fr/ouvrage/art-et-reseaux-sociaux/ Marges N° 36, printemps/été 2023 - Art et réseaux sociaux [texte imprimé] / Josias PADILHA, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Keyvane ALINAGHI, Auteur ; Nicolas BAILLEUL, Auteur ; Davide DA PIEVE, Auteur ; Théodora DOMENECH, Auteur ; Rime FETNAN, Auteur ; Paul HEINTZ, Auteur ; Corentin LAHOUSTE, Auteur ; David MARTENS, Auteur ; Julie MARTIN, Auteur ; Antoine MOREAU, Auteur . - Saint-Denis (France) : Presses Universitaires de Vincennes, 2023 . - 208 p. : ill. N&B ; 15 x 21 cm.
ISBN : 978-2-379-24303-5 : 15,00 €
Marges a pour ambition de confronter des analyses issues de toutes les approches de la création et de la pensée contemporaines (arts plastiques, esthétique, histoire de l’art, philosophie de l’art...) et de mettre en mouvement des approches interdisciplinaires.
Langues : Français (fre)
Catégories : 5. Information et communication Mots-clés : revue Marges, art, art contemporain, communication, esthétique, histoire de l'art, réseaux sociaux, sociaux numériques, World Wide Web, 2.0, socialisation, interaction, utilisateur, identité, multimédia, flux RSS, publicité, participation, net post-média, post-digital, post-internet, data-activisme, démocratisation Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, TikTok, Snapchat, émancipation, profit, diffusion perception, jeu vidéo, liberté, utopie, Georges Orwell, Usenet Résumé : Ce numéro s’inscrit dans une suite d’études menées par la revue Marges sur les conditions de la création en ce début de 21e siècle. Il s’agit cette fois d’aborder la question de l’influence des réseaux sociaux sur la création artistique.
Les réseaux sociaux numériques, parfois qualifiés de médias sociaux, envahissent le quotidien, transformant le monde contemporain. Ces transformations ne sont pas sans conséquences sur les pratiques des artistes – le regard porté sur les réseaux sociaux, mais aussi l’intégration de ceux-ci dans les pratiques – ; de même que les dispositifs de monstration ou de diffusion, ainsi que la manière dont les œuvres et les commentaires circulent désormais. Ce numéro présente des positions d’artistes, mais aussi de chercheurs en art et en sciences de l’information et de la communication.Note de contenu :
SOMMAIRE :
Éditorial – Jérôme Glicenstein - p.5
DOSSIER : ART ET RÉSEAUX SOCIAUX
Josias Padilha, « Introduction : Art et réseaux sociaux » - p.10
Keyvane Alinaghi, « Followers, Likes, Vues : l’illusion d’une valorisation artistique par la quantification ? » - p.23
Cet article analyse les différents modes d’adaptation de la représentation du travail de l’artiste sur les Réseaux Sociaux Numériques (RSN). Une transformation de la dynamique de création liée à une nouvelle organisation de la profession, régie par l’évaluation constante des internautes. Le geste banal de la validation d’un contenu aux likes, vues ou abonnements, redéfinit la valeur d’une publication au risque de conformer les propositions artistiques aux tendances des RSN.
Davide Da Pieve, « De l’exposition instagramable à Instagram comme espace d’exposition » - p.39
Avec une recherche sur l’utilisation du réseau social Instagram (qu’il s’agisse de profils de personnes ou de lieux institutionnels) l’article vise à tenter de définir ce que sont les expositions instagramables, à étudier quelles sont les manières dont les expositions sont véhiculées sur Instagram et réfléchir sur la possibilité de pouvoir entendre la plateforme comme un vrai espace d’exposition artistique.
Rime Fetnan, « Les NFT et le “crypto-art”, réflexions autour d’un nouvel écosystème » - p.52
Cet article entend proposer une réflexion autour d’un phénomène émergent et peu étudié : le développement du marché des NFT dans le secteur de l’art contemporain. À travers le cas spécifique du « crypto-art » il s’agit de circonscrire les principales spécificités de ce nouvel écosystème en retraçant l’émergence de ce « label » afin de comprendre ce qu’il recouvre. À partir d’entretiens et de sources issues des principales plateformes de diffusion du crypto-art, nous souhaitons mettre en lumière les dimensions esthétiques et thématiques qui lui sont propres, mais également les stratégies d’attribution de valeur auxquelles elles donnent lieu. La spécificité des dispositifs numériques qui accompagnent la production et la circulation des œuvres conduit en effet à une reconfiguration des figures d’autorité et des intermédiaires de l’art contemporain, et est corrélée à l’émergence d’une idéologie de l’empowerment de l’individu.
Julie Martin, « Facebook sur les planches : 33 tours et quelques secondes de Rabih Mroué et Lina Saneh » - p.65
Les artistes qui ambitionnent de livrer un récit du monde contemporain s’intéressent particulièrement aux media qui interviennent dans notre rapport à celui-ci. Il s’agit ici d’examiner comment certaines pratiques artistiques documentaires proposent un pas de côté en donnant à regarder les réseaux sociaux comme intermédiaires dans notre perception du monde. Nous faisons l’hypothèse qu’ils opèrent à travers des gestes de remédiation, en œuvre de façon exemplaire dans la pièce de Rabih Mroué et Lina Saneh intitulée 33 tours et quelques secondes.
Théodora Domenech, « Sensibilité en réseaux : une réalité-fiction, entre repli affectif et expansion sensorielle » - p.76
L’environnement numérique agit en profondeur sur nos comportements cognitifs, mais aussi affectifs. Cet article est basé sur une analyse d’œuvres ou de comptes Instagram d’artistes contemporains. Il interroge plusieurs effets des réseaux sociaux numériques sur l’expression et la circulation des émotions : l’influence des stéréotypes dans la construction de soi, la censure des émotions négatives et la recherche de cocons affectifs
TÉMOIGNAGES
Nicolas Bailleul, « De GTA-like à GTA life. Vers un réseau social vidéoludique » - p.88
Le film Bac à sable, réalisé par le duo d’artistes Charlotte Cherici et Lucas Azémar, documente l’activité d’une communauté de joueurs dans un serveur « totalement role play » issue du célèbre jeu vidéo Grand Theft Auto V. Dans cette ville virtuelle où se rejouent avec minutie les scènes banales d’une société contemporaine fantasmée, nous cherchons à comprendre comment l’activité du role play transforme l’univers vidéoludique de GTA V en un réseau social autonome. Pour étayer cette réflexion, nous revenons sur l’évolution de l’univers de la franchise des jeux GTA en un lieu commun ouvert aux expérimentations et aux activités sociales.
Antoine Moreau, « Envisager le réticulaire relationnel avec un certain art » - p.116
En partant de notre expérience de Usenet, réseau de forums de discussions actif avant que le web 2.0 ne permette la possibilité d’interactions entre utilisateurs, nous nous interrogerons sur ce qui est improprement nommé « réseaux sociaux ». Notre attention va se porter sur la possibilité d’un art de l’internet et du numérique de façon à privilégier une approche de l’art en phase avec la réalité matérielle du numérique et de l’internet.
ENTRETIEN
David Martens et Corentin Lahouste, « Paul Heintz. Une esthétique de la rencontre » - p.134
Entre la fin 2021 et le début de l’année 2022, Paul Heintz présentait au FRAC Lorraine une déclinaison de son projet Character, investissant l’espace prospectif « Degrés Est ». Le point de départ de cette exposition était une lecture de 1984 et le désir de rencontrer des homonymes du principal personnage du roman d’Orwell, Winston Smith. Présentée quelques mois auparavant à Paris sous une autre forme, la proposition Lorraine de l’artiste revêtait un triple ancrage : d’une part, une exposition des traces matérielles de l’enquête menée par l’artiste autour des Winston Smith vivant aujourd’hui en Angleterre ; d’autre part, un film d’une quarantaine de minutes présentant plusieurs des individus rencontrés ; enfin, un livre dans lequel l’artiste rapporte les aléas d’une recherche qui tend à éprouver l’infiltration de la fiction dans un réel placé sous la signe de la surveillance. Réalisé en mars 2022 à la suite d’une visite du FRAC, cet entretien s’inscrit dans une recherche collective lancée par certains membres des RIMELL qui porte sur des œuvres narratives déployées sur plusieurs supports/médiums concomitants.
PORTFOLIO
Julien Bourgain, « Quand la situation bifurque » - p.150
Notes de lecture et comptes rendus d’expositions - p.171
Abstracts français et anglais - p.195En ligne : https://www.puv-editions.fr/ouvrage/art-et-reseaux-sociaux/ Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire New Media in Art History. Tensions, Exchanges, Situations / Régine BONNEFOIT ; Melissa RÉRAT ; Samuel SCHELLENBERG ; Zsofi VALYI-NAGY ; Fleur CHEVALIER ; Katharina BRANDL ; Aline GUILLERMET ; Nina ZSCHOCKE ; Sarah AMSLER ; Thomas HÄNSLI ; Keyvane ALINAGHI ; Caroline TRON-CARROZ ; Dominik LENGYEL ; Catherine TOULOUSE
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Titre : New Media in Art History. Tensions, Exchanges, Situations Type de document : texte imprimé Auteurs : Régine BONNEFOIT, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Melissa RÉRAT, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Samuel SCHELLENBERG, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Zsofi VALYI-NAGY, Auteur ; Fleur CHEVALIER, Auteur ; Katharina BRANDL, Auteur ; Aline GUILLERMET, Auteur ; Nina ZSCHOCKE, Auteur ; Sarah AMSLER, Auteur ; Thomas HÄNSLI, Auteur ; Keyvane ALINAGHI, Auteur ; Caroline TRON-CARROZ, Auteur ; Dominik LENGYEL, Auteur ; Catherine TOULOUSE, Auteur Editeur : Berlin [Allemagne] : De Gruyter Année de publication : 2023 Importance : 144 p. Présentation : ill. N&B et coul. Format : 15 x 21,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-3-11-118592-7 Prix : 42,00 € Langues : Anglais (eng) Catégories : 2. Science:2.10 Administration de la science et de la recherc:Technologie
3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art:Histoire de l'artMots-clés : art history, theory, media art, video new media, studies Index. décimale : 302.231 Médias numériques Résumé : The history of art and new media are inextricably linked – both historically and in the present day. This publication can be described as an interdisciplinary reflection: it examines the confrontation and interaction between art history and new media, highlighting key developments, opportunities, and tensions.
In eight studies, eleven researchers present new findings and explore the techniques and methods of new media – from electronic to digital and post-digital media – and the challenges these pose for art history. The book covers a wide range of topics, from the history and historiography of new media to their practical application, use, and reception, as well as creative processes, material conservation, and mediation.
* With new research findings, this book bridges the gap between art history and media studies
* With contributions by Keyvane Alinaghi, Sarah Amsler, Katharina Brandl, Fleur Chevalier, Aline Guillermet, Thomas Hänsli, Dominik Lengyel, Catherine Toulouse, Caroline Tron-Carroz, Zsofi Valyi-Nagy, and Nina Zschocke
* Cooperative project between the Swiss Association of Art Historians (VKKS) and the University of NeuchâtelNote de contenu :
CONTENTS:
Foreword - p.7
Régine Bonnefoit, Melissa Rérat and Samuel Schellenberg
HISTORY AND HISTORIOGRAPHY OF MEDIA
# 01 Screenshots from the 1970s: Vera Molnar’s Experiments in Interactive Computing - p.17
Zsofi Valyi-Nagy
# 02 Cathodic Art in France: From Experimenting with the Medium to Experiencing the Media - p.29
Fleur Chevalier
# 03 Live on Twitch: The Art History Classification of Performances in Digital Games - p.41
Katharina Brandl
USE AND RECEPTION OF NEW MEDIA
# 04 Digital Art and the Quantification of Aesthetic Perception - p.55
Aline Guillermet
# 05 Software Garden: Life in Digital Matter - p.68
Nina Zschocke
CREATION, CONSERVATION, MEDIATION
# 06 Translation of the Art and Architecture Thesaurus® in Switzerland: Vision and Implementation - p.91
Sarah Amsler and Thomas Hänsli
# 07 The “Retour aux Sources” Research Project: How to Think and Practice Digital Creation in French Art Schools - p.104
Keyvane Alinaghi and Caroline Tron-Carroz
# 08 New Media for the Visualization of Architecture - p.116
Dominik Lengyel and Catherine Toulouse
Biographies - p.135
Index - p.139
Photo Credits - p.143En ligne : https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/9783111186009/html#overview New Media in Art History. Tensions, Exchanges, Situations [texte imprimé] / Régine BONNEFOIT, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Melissa RÉRAT, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Samuel SCHELLENBERG, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Zsofi VALYI-NAGY, Auteur ; Fleur CHEVALIER, Auteur ; Katharina BRANDL, Auteur ; Aline GUILLERMET, Auteur ; Nina ZSCHOCKE, Auteur ; Sarah AMSLER, Auteur ; Thomas HÄNSLI, Auteur ; Keyvane ALINAGHI, Auteur ; Caroline TRON-CARROZ, Auteur ; Dominik LENGYEL, Auteur ; Catherine TOULOUSE, Auteur . - Berlin (Genthiner Straße 13, 10785, Allemagne) : De Gruyter, 2023 . - 144 p. : ill. N&B et coul. ; 15 x 21,5 cm.
ISBN : 978-3-11-118592-7 : 42,00 €
Langues : Anglais (eng)
Catégories : 2. Science:2.10 Administration de la science et de la recherc:Technologie
3. Culture:3.45 Arts:Théorie de l'art:Histoire de l'artMots-clés : art history, theory, media art, video new media, studies Index. décimale : 302.231 Médias numériques Résumé : The history of art and new media are inextricably linked – both historically and in the present day. This publication can be described as an interdisciplinary reflection: it examines the confrontation and interaction between art history and new media, highlighting key developments, opportunities, and tensions.
In eight studies, eleven researchers present new findings and explore the techniques and methods of new media – from electronic to digital and post-digital media – and the challenges these pose for art history. The book covers a wide range of topics, from the history and historiography of new media to their practical application, use, and reception, as well as creative processes, material conservation, and mediation.
* With new research findings, this book bridges the gap between art history and media studies
* With contributions by Keyvane Alinaghi, Sarah Amsler, Katharina Brandl, Fleur Chevalier, Aline Guillermet, Thomas Hänsli, Dominik Lengyel, Catherine Toulouse, Caroline Tron-Carroz, Zsofi Valyi-Nagy, and Nina Zschocke
* Cooperative project between the Swiss Association of Art Historians (VKKS) and the University of NeuchâtelNote de contenu :
CONTENTS:
Foreword - p.7
Régine Bonnefoit, Melissa Rérat and Samuel Schellenberg
HISTORY AND HISTORIOGRAPHY OF MEDIA
# 01 Screenshots from the 1970s: Vera Molnar’s Experiments in Interactive Computing - p.17
Zsofi Valyi-Nagy
# 02 Cathodic Art in France: From Experimenting with the Medium to Experiencing the Media - p.29
Fleur Chevalier
# 03 Live on Twitch: The Art History Classification of Performances in Digital Games - p.41
Katharina Brandl
USE AND RECEPTION OF NEW MEDIA
# 04 Digital Art and the Quantification of Aesthetic Perception - p.55
Aline Guillermet
# 05 Software Garden: Life in Digital Matter - p.68
Nina Zschocke
CREATION, CONSERVATION, MEDIATION
# 06 Translation of the Art and Architecture Thesaurus® in Switzerland: Vision and Implementation - p.91
Sarah Amsler and Thomas Hänsli
# 07 The “Retour aux Sources” Research Project: How to Think and Practice Digital Creation in French Art Schools - p.104
Keyvane Alinaghi and Caroline Tron-Carroz
# 08 New Media for the Visualization of Architecture - p.116
Dominik Lengyel and Catherine Toulouse
Biographies - p.135
Index - p.139
Photo Credits - p.143En ligne : https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/9783111186009/html#overview Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire OGNI (Objet Graphique Non Identifié) / Axel FONTENIL
Titre : OGNI (Objet Graphique Non Identifié) Type de document : texte imprimé Auteurs : Axel FONTENIL, Auteur ; Keyvane ALINAGHI, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Cambrai [France] : École Supérieure d'Art de Cambrai Année de publication : 2023-2024 Collection : Mémoires Importance : 66 p. Présentation : 23 illustrations Format : 17 x 23,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 7092 Note générale : Mémoire de DNSEP option Communication
École supérieure d'art et de communication de Cambrai
2023-2024Langues : Français (fre) Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
Littératures des langues germaniques Littérature allemande:1.70 Installations et ressources éducatives:Publication éducativeMots-clés : Science fiction, nouvelles, punk, solarpunk, alternatives, open source, art combinatoire, numérique, Vera Molnar, Victor Papanek, Sol Lewitt, web2print. Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Entre dystopie et utopie, Axel Fontenil a souhaité ouvrir différents horizons sur des pensées et créations contemporaines qui touchent au domaine de la science-fiction afin d’envisager la création graphique dans des situations et écosystèmes fluides habités par divers artefacts et réflexions sur des devenirs possibles du métier de designer (graphique). Expérimenter et interroger des instruments de vision, de communication et de partage est un moyen d’envisager un futur soutenable. Chercher des limites aux objets techno-industriels permet de subvertir l’état des choses pour démystifier leur usage, de démontrer que rien n’est immuable et que la condition humaine ne doit pas être figée par des théories économiques et politiques au même titre que le design graphique.
Les techniques utilisées par les personnages de ces récits font appel à mon intérêt particulier pour le digital et le papier. Axel Fontenil nourrit quotidiennement ce dialogue concomitant entre virtuel et physique avec l’image numérique et imprimée, le software et le hardware, le bricolage, la débrouille et la recherche. Il pense que le code informatique permet d’hybrider supports immatériels et matériels. Son mémoire est conçue en web2print pour explorer les possibilités que permet la programmation dans la réalisation, la publication et la distribution d’un livre. La communication entre l'auteur·e l’éditeur·rice et l’imprimeur·euse peut être facilité grâce à ces outils.Note de contenu :
SOMMAIRE :
6 - Introduction
8 - La maison de Marcel
18 - Le potager d'Awa
26 - Le studio dodo
32 - La megalowthèque
38 - Le commerce d'énergies consommables
42 - Le chantier de l'étoile
50 - Conclusion
54 - Glossaire
58 - BibliographieOGNI (Objet Graphique Non Identifié) [texte imprimé] / Axel FONTENIL, Auteur ; Keyvane ALINAGHI, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Cambrai (France) : École Supérieure d'Art de Cambrai, 2023-2024 . - 66 p. : 23 illustrations ; 17 x 23,5 cm. - (Mémoires) .
ISSN : 7092
Mémoire de DNSEP option Communication
École supérieure d'art et de communication de Cambrai
2023-2024
Langues : Français (fre)
Catégories : 5. Information et communication:5.5 Design graphique
Littératures des langues germaniques Littérature allemande:1.70 Installations et ressources éducatives:Publication éducativeMots-clés : Science fiction, nouvelles, punk, solarpunk, alternatives, open source, art combinatoire, numérique, Vera Molnar, Victor Papanek, Sol Lewitt, web2print. Index. décimale : 707.6 Publications des Ecoles d'Art Résumé : Entre dystopie et utopie, Axel Fontenil a souhaité ouvrir différents horizons sur des pensées et créations contemporaines qui touchent au domaine de la science-fiction afin d’envisager la création graphique dans des situations et écosystèmes fluides habités par divers artefacts et réflexions sur des devenirs possibles du métier de designer (graphique). Expérimenter et interroger des instruments de vision, de communication et de partage est un moyen d’envisager un futur soutenable. Chercher des limites aux objets techno-industriels permet de subvertir l’état des choses pour démystifier leur usage, de démontrer que rien n’est immuable et que la condition humaine ne doit pas être figée par des théories économiques et politiques au même titre que le design graphique.
Les techniques utilisées par les personnages de ces récits font appel à mon intérêt particulier pour le digital et le papier. Axel Fontenil nourrit quotidiennement ce dialogue concomitant entre virtuel et physique avec l’image numérique et imprimée, le software et le hardware, le bricolage, la débrouille et la recherche. Il pense que le code informatique permet d’hybrider supports immatériels et matériels. Son mémoire est conçue en web2print pour explorer les possibilités que permet la programmation dans la réalisation, la publication et la distribution d’un livre. La communication entre l'auteur·e l’éditeur·rice et l’imprimeur·euse peut être facilité grâce à ces outils.Note de contenu :
SOMMAIRE :
6 - Introduction
8 - La maison de Marcel
18 - Le potager d'Awa
26 - Le studio dodo
32 - La megalowthèque
38 - Le commerce d'énergies consommables
42 - Le chantier de l'étoile
50 - Conclusion
54 - Glossaire
58 - BibliographieExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire

