| Titre : | LES PARADIS ARTIFICIELS | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | BAUDELAIRE, Charles, Auteur | | Editeur : | Le livre de poche | | Année de publication : | 2018 | | Importance : | 312 p. | | Format : | 17,8 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-01438-6 | | Prix : | 3,10 € | | Langues : | Français (fre) | | Catégories : | Littérature
| | Mots-clés : | Lorsque Baudelaire publie Les Paradis artificiels en 1860, l’expérience du hachisch n’a guère été pour lui qu’une curiosité passagère, quand l’opium, au contraire, accompagne depuis longtemps le traitement de ses souffrances. Le Poème précède donc, dans les Paradis, Un mangeur d’opium, recomposition assez libre des Confessions d’un opiomane anglais Thomas De Quincey, où a tenté fondre « sensations personnelles avec opinions l’auteur original ».
Le livre fut jugé extravagant et immoral. On aurait tort pourtant d’y lire une apologie la drogue – l’adjectif sa pleine valeur dénigrement. Car s’ils transcrivent expériences, touchent à quête l’infini : art poétique dissimulé, traité moral marqué d’anecdotes, ils sont clef monde volonté volupté entrent concurrence que finalement triomphe lumière supérieure qui refuse l’abandon trop facile fantasmagoriques jouissances. Et c’est d’une poésie fondatrice. | | Index. décimale : | 809.3 Œuvres de fiction, romans | | Note de contenu : | Lorsque Baudelaire publie Les Paradis artificiels en 1860, l’expérience du hachisch n’a guère été pour lui qu’une curiosité passagère, quand l’opium, au contraire, accompagne depuis longtemps le traitement de ses souffrances. Le Poème du hachisch précède donc, dans les Paradis, Un mangeur d’opium, recomposition assez libre des Confessions d’un opiomane anglais de Thomas De Quincey, où Baudelaire a tenté de fondre ses « sensations personnelles avec les opinions de l’auteur original ».
Le livre fut jugé extravagant et immoral. On aurait tort pourtant d’y lire une apologie de la drogue – et l’adjectif artificiels a sa pleine valeur de dénigrement. Car s’ils transcrivent des expériences, les Paradis touchent à la quête de l’infini : art poétique dissimulé, traité moral marqué d’anecdotes, ils sont la clef d’un monde où la volonté et la volupté entrent en concurrence pour que finalement triomphe une lumière supérieure qui refuse l’abandon trop facile à de fantasmagoriques jouissances. Et c’est le livre d’une poésie fondatrice. |
LES PARADIS ARTIFICIELS [texte imprimé] / BAUDELAIRE, Charles, Auteur . - [S.l.] : Le livre de poche, 2018 . - 312 p. ; 17,8 cm. ISBN : 978-2-253-01438-6 : 3,10 € Langues : Français ( fre) | Catégories : | Littérature
| | Mots-clés : | Lorsque Baudelaire publie Les Paradis artificiels en 1860, l’expérience du hachisch n’a guère été pour lui qu’une curiosité passagère, quand l’opium, au contraire, accompagne depuis longtemps le traitement de ses souffrances. Le Poème précède donc, dans les Paradis, Un mangeur d’opium, recomposition assez libre des Confessions d’un opiomane anglais Thomas De Quincey, où a tenté fondre « sensations personnelles avec opinions l’auteur original ».
Le livre fut jugé extravagant et immoral. On aurait tort pourtant d’y lire une apologie la drogue – l’adjectif sa pleine valeur dénigrement. Car s’ils transcrivent expériences, touchent à quête l’infini : art poétique dissimulé, traité moral marqué d’anecdotes, ils sont clef monde volonté volupté entrent concurrence que finalement triomphe lumière supérieure qui refuse l’abandon trop facile fantasmagoriques jouissances. Et c’est d’une poésie fondatrice. | | Index. décimale : | 809.3 Œuvres de fiction, romans | | Note de contenu : | Lorsque Baudelaire publie Les Paradis artificiels en 1860, l’expérience du hachisch n’a guère été pour lui qu’une curiosité passagère, quand l’opium, au contraire, accompagne depuis longtemps le traitement de ses souffrances. Le Poème du hachisch précède donc, dans les Paradis, Un mangeur d’opium, recomposition assez libre des Confessions d’un opiomane anglais de Thomas De Quincey, où Baudelaire a tenté de fondre ses « sensations personnelles avec les opinions de l’auteur original ».
Le livre fut jugé extravagant et immoral. On aurait tort pourtant d’y lire une apologie de la drogue – et l’adjectif artificiels a sa pleine valeur de dénigrement. Car s’ils transcrivent des expériences, les Paradis touchent à la quête de l’infini : art poétique dissimulé, traité moral marqué d’anecdotes, ils sont la clef d’un monde où la volonté et la volupté entrent en concurrence pour que finalement triomphe une lumière supérieure qui refuse l’abandon trop facile à de fantasmagoriques jouissances. Et c’est le livre d’une poésie fondatrice. |
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