Titre :	LE UN Hebdo N° 244 magazine MERCREDI 10 AVRIL 2019 - Privatisations, la grande braderie ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Collectif, Auteur
Editeur :	société CRI
Année de publication :	2019
ISBN/ISSN/EAN :	5274
Langues :	Français (fre)
Catégories :	5. Information et communication
Index. décimale :	741.6 (Graphisme, Illustration, Art publicitaire)
Note de contenu :	Depuis la crise financière de 2008, on pensait les privatisations sorties des préoccupations des Français. La vandalisation de péages par les Gilets jaunes, puis la fronde d’une partie des élus franciliens contre la future privatisation des aéroports parisiens montrent qu’il n’en est rien. La cession de ces infrastructures symboliques semble vécue comme une perte de souveraineté. La réalité est pourtant plus complexe : loin d’être massivement rejeté, le désengagement de l’État reste relatif : avec un contrôle direct sur 89 sociétés et indirect sur 1 632 autres, il emploie 795 000 salariés hors fonction publique. La France serait-elle moins libérale qu’on le croit ? Grand entretien « Les privatisations ne mettent pas la souveraineté nationale en jeu » Jacques Lévy Revenant en détail sur la privatisation future des aéroports parisiens, le géographe juge infondée la crainte d’une atteinte à la souveraineté nationale. Récit Un rêve de paradis dans une cage d’escalier Aurélien Bellanger Empruntant malicieusement quelques idées à son voisin du sixième, l’auteur du Grand Paris et de L’Aménagement du territoire rêve d’échapper au pénible duopole que forment les secteurs public et privé. Contrepied Retour sur un cliché Barbara Stiegler À travers le débat qui opposa, aux États-Unis, les philosophes Walter Lippman et John Dewey, la philosophe rappelle que la question centrale n’est pas de savoir si l’État doit s’engager ou se désengager.

LE UN Hebdo N° 244 magazine MERCREDI 10 AVRIL 2019 - Privatisations, la grande braderie ? [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : société CRI, 2019.
ISSN : 5274
Langues : Français (fre)

Catégories :	5. Information et communication
Index. décimale :	741.6 (Graphisme, Illustration, Art publicitaire)
Note de contenu :	Depuis la crise financière de 2008, on pensait les privatisations sorties des préoccupations des Français. La vandalisation de péages par les Gilets jaunes, puis la fronde d’une partie des élus franciliens contre la future privatisation des aéroports parisiens montrent qu’il n’en est rien. La cession de ces infrastructures symboliques semble vécue comme une perte de souveraineté. La réalité est pourtant plus complexe : loin d’être massivement rejeté, le désengagement de l’État reste relatif : avec un contrôle direct sur 89 sociétés et indirect sur 1 632 autres, il emploie 795 000 salariés hors fonction publique. La France serait-elle moins libérale qu’on le croit ? Grand entretien « Les privatisations ne mettent pas la souveraineté nationale en jeu » Jacques Lévy Revenant en détail sur la privatisation future des aéroports parisiens, le géographe juge infondée la crainte d’une atteinte à la souveraineté nationale. Récit Un rêve de paradis dans une cage d’escalier Aurélien Bellanger Empruntant malicieusement quelques idées à son voisin du sixième, l’auteur du Grand Paris et de L’Aménagement du territoire rêve d’échapper au pénible duopole que forment les secteurs public et privé. Contrepied Retour sur un cliché Barbara Stiegler À travers le débat qui opposa, aux États-Unis, les philosophes Walter Lippman et John Dewey, la philosophe rappelle que la question centrale n’est pas de savoir si l’État doit s’engager ou se désengager.